Duce

serveşte la pedepsirea celui care încalcă legea, în timp ce riturile condiţionează poporul pentru a evita încălcarea normelor. Astfel, se consideră că religia are un rol mai important decât dreptul, deoarece conform acestei gândiri, doar religia poate duce la îndreptarea moravurilor şi la evitarea problemelor, în timp ce singurul rol al dreptului este de a pedepsi.[6] Taoismul Taoismul este religia « Chinei profunde », pentru că face apel la credinţele unei tradiţii antice atingând straturile

l'avenir de l'économie capitaliste. III – Les limites (Le malaise social/Une modernisation relative) Alors que l'objectif du parti fasciste était de créer une unité nationale, un malaise social se faisait sentir. Malgré une grande confiance envers le Duce, le monde agricole et les employés d'Etat ressentent à la fin des années 30, une sorte de rancune et de jalousie envers les ouvriers, qui faisaient l'objet à leurs yeux, d'un traitement économique privilégié. “ Il est dit que tous les organismes compétents

le salue soudain Mussolini aperçoit le veilleur de nuit et s’approche de lui en fronçant les sourcils Alors on se salue plus Je n’ai jamais salué personne dit le veilleur de nuit et le Duce est très embêté cet homme seul… ce sans-gêne… cette lanterne peut-être que c’est Diogène on ne sait jamais et le Duce qui ne tient pas à avoir d’ennuis avec l’antiquité entraîne le veilleur de nuit dans un salon plus discret les voilà assis sur une banquette Moi ce que je souhaite dit Mussolini c’est

collectivité nationale. Un autre point caractéristique du fascisme est la prégnance de la hiérarchie sociale : le groupe doit être mené par un chef, surnommé en Italie le Duce (« le Guide »), dont l'autorité ne saurait être remise en question. C'est au cours de sa période socialiste que Mussolini fut qualifié pour la première fois de Duce, selon un terme en usage dans la gauche italienne. Excluant tout contre-pouvoir, le fascisme est un système qui se veut totalitaire Il se définit lui-même comme «

avait participé à la révolution russe au côté de Lénine. Mussolini maintient le roi sur le trône mais n’a plus de pouvoir. Il est le seul Chef de l’Etat italien et a tous les pouvoirs. Il organise un culte de la personnalité et se fait appelé ‘’le Duce ‘’. Dans les commandements du milicien fasciste, on peut trouver : ‘’Mussolini a toujours raison’’. Hitler se présente comme un chef unique. En août 1934 à la mort du maréchal Hindenburg, il va cumuler les deux fonctions : chancelier et président

ces périodes. Dans les 3 pays il y a un véritable culte de la personnalité (propagande), les chefs sont représentés comme guides et sauveurs. On ne peut donc pas le contester. Ils ont tous les 3 le nom de « guide » : Hitler : Führer Mussolini : Duce Staline : Vodj Tous ces régimes politiques utilisent la violence : arrestation, travaux forcés (Goulag, camps de concentration). Chacun des régimes possède une police militaire qui se charge des exécutions. URSS : NKVD (Commissariat du peuple aux

exercice diffère. Staline entretient la fiction d’un régime démocratique, garanti par la Constitution de 1936. En Italie, si la monarchie est conservée et les relations avec l’Église catholique préservées par les accords du Latran, Mussolini est le Duce, le guide. Hitler est le Führer : guide et chef, son autorité est absolue. Tous lui doivent serment fidélité. Enfin, le rapport des populations au chef n’est pas identique. Si Hitler et Mussolini sont très populaires au cours des années 1930

governo, con il tacito consenso delle autorità e soprattutto del re che non autorizzò la proclamazione dello stato d'assedio. Mussolini aveva l'appoggio dei liberali e dei popolari, molti dei quali ritenevano il fascismo un fenomeno passeggero. Ma il duce del fascismo, forte del sostegno della monarchia, della Chiesa e di gran parte della borghesia, tra il 1924 e il 1926 distrusse lo Stato liberale e diede vita a uno Stato autoritario. Il regime fascista aspirava a diventare totalitario, ossia a dominare

reposant sur le multipartisme et le débat poltique dans le cadre du Parlement. Des exemples peuvent être donnés avec le PCUS ou le NSDAP. De même le rôle du Chef -chef avant tout du parti unique- est fondamental: pouvoir illimité, non contestable du Duce ou du Fuhrer, culte de la personnalité omniprésent, forme extrême avec Hitler vu comme sauveur de l'Allemagne. 3° L'usage de la terreur qui va de pair avec le conditionnement des esprits et une propagande obsédante: contrôle et détournement des

dont le nom diffère selon les cas. Hitler est le Führer en Allemagne, Staline est le Vojd en URSS et Mussolini est le Duce en Italie. Ce chef est l'objet d'un culte à l'égal d'un dieu. Dans les trois cas, on voit se développer un culte de la personnalité. Ce chef détient l'autorité autours de laquelle l'Etat s'organise. Elle ne supporte aucune forme de contestation : « Le duce a toujours raison. ». Cette autorité vient de l'ascendant qu'exerce le chef sur les foules. Il est censé s'imposer de manière