Jean-Jacques Aillagon

ça ! »[7] affirme Jean-Jacques Aillagon, président de l’Établissement public du musée et du domaine national de Versailles. Il n’y a rien d’insultant à faire dialoguer deux époques, à concilier deux modernités dans un esprit pédagogique. Rejeter la modernité inhérente à Versailles à une époque prérévolutionnaire révolue, c’est trahir l’esprit de ses fondateurs. Cette vision d'un palais « tabernacle à la mémoire de l’Ancien Régime »[8] pour reprendre Jean-Jacques Aillagon, est certes fidèle

Pompidou-Metz s’inscrit également dans des coproductions en lien avec les spectacles vivants du Centre Pompidou et des compagnies. Il impulse des créations spécifiques qui mettent en lien un chorégraphe, avec un artiste ou un auteur. Lorsque Jean-Jacques Aillagon fût nommé Président du Centre Georges-Pompidou en 1996, d’importants travaux impliquèrent une longue fermeture du Centre. La volonté d’exposer les collections nationales, même durant cette période, conduit alors à la création du programme « Hors

chargé de la Culture, ainsi, il dispose de plus d’autonomie administrative et financière. En 2010, le Château de Versailles devient l’établissement public du Château, du musée et du domaine national de Versailles, présidé actuellement par Jean-Jacques Aillagon. L’établissement public administratif comprend dorénavant le Château de Versailles, le Grand Trianon et le Petit Trianon, les jardins ainsi que le domaine de Marie-Antoinette. Comme tout établissement public, le Château de Versailles est responsable

modernise entre octobre 1997 et décembre 1999, sous l'ordre de Jean-Jacques Aillagon. Le musée modernise aussi son organisation pour mieux répondre à tous les besoins (Inventaire, conservation, restauration et enrichissement du fonds). Le Centre Pompidou rouvre ses portes aux publics le 1er Janvier 2000, et reçoit près de 16000 visiteurs par jour cette année. 1- Richard Rodgers 2- Gianfranco Franchini 3- Renzo Piano 4- Jean-Jacques Aillagon Quoi ? L’architecture est un ensemble de formes complexes

choix de la ville de Lens Pour des raisons politiques de décentralisation, Jean-Pierre Raffarin et Jean-Jacques Aillagon, alors Premier ministre et ministre de la Culture, ont décidé de créer une antenne du Louvre ailleurs en France. Six villes du nord de la France s'étaient déclarées candidates. Et c'est le site de Lens, au coeur de l'ancien bassin minier du Nord - Pas de Calais, qui a finalement été retenu par Jean-Pierre Raffarin le 29 novembre 2004. Le Louvre-Lens s'implante au sein de la région

en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret, qui prend effet au 1er janvier 2002 et sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 21 novembre 2002. Jean-Pierre Raffarin Par le Premier ministre : Le ministre de la culture et de la communication, Jean-Jacques Aillagon Le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, Francis Mer, etc. *** 4 Décret n° 2001-210 du 7 mars 2001 portant code des marchés publics Article 112 Le titulaire d'un marché

| Le modèle de Beaubourg à Metz | | | L a création du musée Beaubourg à Metz est née d’une volonté de décentralisation de la culture. En effet, dès 1997, Jean-Jacques Aillagon, alors dirigeant du centre Pompidou-Paris, met en place une politique de diffusion « hors les murs » avec des prêts et dépôts d’œuvres dans les musées de province. Il s’agit de lutter contre l’inégalité culturelle et de rééquilibrer l’offre culturelle entre Paris et les régions grâce à la décentralisation

hisser Metz au rang des grandes métropoles culturelles en Europe. À très bientôt… à Metz ! Jean-Marie Rausch Maire de Metz, Président de la Communauté d’Agglomération de Metz Métropole (CA2M) P.2/3 DIALOGUES JEAN-MARIE RAUSCH BRUNO RACINE P.4/5 ARCHITECTURE LE PROJET DE SHIGERU BAN ET JEAN DE GASTINES P.8 DÉCODAGE LA COLLECTION DU MUSÉE NATIONAL D’ART MODERNE P. 2/3 dialogues JEAN-MARIE RAUSCH PRÉSIDENT DE LA COMMUNAUTÉ D’AGGLOMÉRATION DE METZ MÉTROPOLE « Pourquoi

Ministère de la Culture et de la Communication Mission d’évaluation, d’analyse et de propositions relative aux représentations violentes à la télévision. LA VIOLENCE A LA TELEVISION RAPPORT de Madame Blandine Kriegel à Monsieur Jean-Jacques Aillagon, Ministre de la Culture et de la Communication. 1 LA VIOLENCE A LA TELEVISION Résumé du rapport de la mission Kriegel La dérive de la violence dans notre société républicaine démocratique particulièrement attachée à la liberté est un

d’essayer de comprendre les stratégies qui peuvent en découler. Pour favoriser ce travail, j’ai décidé de mettre en pratique l’étude menée dans la première partie en m’intéressant à un territoire : celui de Marseille et de sa région. 3 Jean-Jacques Aillagon, communication en conseil des ministres sur la politique en faveur du cinéma, 30 avril 2003. 6 PREMIÈRE PARTIE Vers une relocalisation des tournages en France 7 SECTION 1 : Quel politique au niveau national ? “La France compte