Duce

-l’humiliation nationale -la dénonciation d’une prétendue incompétence manifestée par le parlementarisme. Le fascisme veut avant tout la restauration de la force de l’Etat. Pour Marcel Prélot le fascisme italien est avant tout une statocratie. Le Duce n’a-t-il pas déclaré « tout dans l’Etat, rien contre l’Etat, rien en dehors de l’Etat » ? Ce qui pourrait constituer une définition du totalitarisme valable. -une crise économique, certains auteurs dont Lipset estiment que c’est une réaction des

apparitions publiques et forge sa propre légende. C) Le personnage Il est vrai que Hitler sait s'y prendre : son ascension ne s'est pas faite seule. Hitler redouble d'efforts pour convaincre son peuple et à travers de nombreux moyens. Tout comme de Duce (Mussolini) dont il s'inspire. L'ascension de son personnage s'appuie sur son charisme, son sens du contact humain, son travail acharné, son intelligence et ses talents d'orateur. En effet, nous avons recueilli dans un livre le propos d'un historien

beaucoup ne veulent pas en entendre parler et sous prétexte de ne pas se mêler de politique, envisagent une aristocratie de savants qui pourraient conseiller un prince, une assemblée, un tyran, ou un quelconque conducteur de peuples (caudillo, Fürher, Duce, etc.) par un mépris intellectuel associé à une totale indifférence politique. Il faudrait alors, pour n’en pas rester au vœu pieu d’une science avec conscience, favoriser l’émergence de ce civisme en restituant aux hommes ce qu’un savoir aveugle

publique italienne en raison de la propagande de la part de la presse nationaliste. Canalisant les mécontentements, Benito Mussolini prit le pouvoir en 1922et institua un régime autoritaire, militariste et nationaliste en se faisant désigner du titre de Duce («chef», «guide».  Conformément au principe imposé par le président américain Woodrow Wilson, le traité de Versailles appliquait le «droit des peuples à disposer d'eux-mêmes», ce qui impliquait surtout les Polonais, les Hongrois, les Roumains, les

construction, l’immeuble Novocomum (1927-1928) construit à Côme., édifice moderne avec porte-à-faux, façade épurée et nombreux panneaux vitrés. Le plan est traditionnel et insiste sur les angles et à la symétrie 2ème : la Casa del Fascio : Le « Duce » affirmait que le « fascisme était une maison de verre ».. trancription jouant sur l’idée de transparence : fenêtres alignées et encastrées de manières symétriques, géométrie donnant à l’édifice son aspect dictatorial et totalitaire Mais à la fin

| | | | |Luttes en Indochine, attaquée par le Japon. Combats en Allemagne, mort d’Hitler. |184 | | |Avril |Portrait du Duce |194 | | |Mars |Bilan : Mussolini, Hitler |197 | | |1er

Le modèle nazi : en Allemagne, Hitler et la montée du nazismeL’accession au pouvoir des nazisProfitant de la crise économique et politique qui secoue l’Allemagne au début des années 1930, Adolf Hitler et le NSDAP séduisent les électeurs allemands qui cherchent une solution pour sortir de la crise avec une rhétorique populiste et revancharde. Hitler lui propose des ennemis : les Juifs, les communistes et les vainqueurs de la Grande Guerre. Hitler s’associe alors à de grands noms de l’industrie30

contre son pouvoir. © S. Dallot 6 le parti bolchevik devient alors une organisation monolithique ; il est interdit de le combatte mais aussi d’exprimer une opinion différente de celle de ses dirigeants. 2. Un chef charismatique • Le « guide » (Duce, Führer) assure le lien entre la classe dominante qui renforce sa puissance économique et inspire, dans une large mesure, les options fondamentales du régime et la classe moyenne qui assume la gestion. • La clé de voûte du processus est le culte qui

fonctionner le service public et qui prêteront même main-forte à l'armée pendant la révolte des Asturies. Gil Robles, lui- même était appelé par certains de ses partisans "jefe" comme Mussolini était nommé par ses partisans "Duce". Il assiste, escorté par la JAP en 1933 au congrès de Nuremberg organisé par le parti nazi ce qui contribua à ne guère rassurer les partis de gauche. Il essuyait aussi de nombreuses critiques de la part de l'extrême droite de son parti par son attitude

|« C’est la fin. L’Axe est vaincu. Ses chefs succombent. Le 1er mai, les dernières antennes de la radio allemande lancent la nouvelle de la mort d’Hitler. On avait, quelque jours avant, appris le meurtre de Mussolini. […] ce | | |« Duce » ambitieux, audacieux, orgueilleux, cet homme d’Etat aux larges visées et aux gestes dramatiques, cet orateur entraînant et excessif » | |p.249 |« Pourtant