Duché de Bretagne

des appliques en formes d'abeilles (-> Napoléon) CHAPITRE 1 : La Gaule Mérovingienne germains romanisés mais germains avant tout fin du 5e s : géographie politique confuse, formation de blocs, Gaule grossièrement découpée : – Armorique (=Bretagne) submergée par les Bretons au 6e s – Royaume Wisigothique de Toulouse (Pyrénées->Loire->Provence) – Royaume des Burgondes (Sud-Est) peuples chrétiens mais ariens (Christ pas divin) – Royaume de Syagrius (aristocrate gallo-romain) Gaule du

une nationalité est la française : le juge fçais applique la nationalité fçaise. Cause : le juge applique la loi fçaise qu’il connait → idée de d’Argentré qui disait qu’il était préférable que les juges bretons au 16ème S applique la coutume de Bretagne. * Si la psn en cause n’a aucune nationalité fçaise. Le juge retient la nationalité la + effective, celle qui compte +. 2. Défaut de rattachement * La psn en cause n’a aucune nationalité ds les faits car elle est apatride *

cercles de sociabilité s'isolant les unes des autres et commençant à déformer le latin d'une façon de plus en plus accéléré. Les langues déformées n'ont pus plus être éradiqués. Ailleurs en Europe la puissance romaine a été éphémère comme en grande-Bretagne où aucune langue latine ne s'est imposée. A la frontière linguistique qui traverse l'Europe occidentale, il faut en rajouter une c'est la frontière religieuse: pays protestants/catholique. Le catholicisme Romain s'est imposé, les pays catholique

autres Etats, la société internationale, mais également avec leurs propres citoyens et les collectivités existant sur son territoire. La France est très souvent citée comme l’exemple le plus topique d’Etat unitaire, au même titre que la Grande-Bretagne et que l’Italie (attention avec l’exemple italien qui sera repris dans le cadre de nos développements à venir sur l’Etat régional). Section 2 : La centralisation A l’origine, l’Etat unitaire était fortement centralisé (mouvement de centralisation)

idylliques et insouciantes selon ses Confessions, Rousseau s'adonne à la lecture en puisant dans l'importante bibliothèque de M. de Conzié avec laquelle il va se fabriquer un magasin d'idées. Il travaille aux services administratifs du cadastre du duché de Savoie, puis comme maître de musique auprès des jeunes filles de la bourgeoisie et de la noblesse chambériennes. Mais sa santé est fragile. Maman l'envoie en septembre 1737 consulter un professeur de Montpellier. C'est au cours de ce voyage qu'il

fait que la France carolingienne était loin d'être unifiée. Ainsi, des grandes régions comme la Bourgogne, donc l'ancien territoire des Burgondes, ou l'Aquitaine, qui avait fortement romanisée et avait constitué pendant longtemps un royaume, ou la Bretagne, qui a un peuplement spécifique (les bretons qui sont venus d'Angleterre) et qui a conservé une certaine autonomie par rapport au pouvoir central, profitent des difficultés du pouvoir central pour s'en affranchir assez largement. Cas un peu spécial

but de continuer la joute oratoire entre bardes. Les bardes sont alors perçus comme continuateurs des druides. Edward Williams, renommé Ido Morganwg conçoit une religion druidique. Elle se base sur une mythologie rapportée aux mégalithes de Grande-Bretagne. Il fonde des assiocations néo-druidiques : les Gorseddau. Cette religion est mise au service d’un critique de cléricalisme et d’une réinvention du christianisme comme religion populaire fondée sur la paix et la liberté. Pour la France, les Gaulois

l’Europe. En fa, les hommes ont légué la culture de l’Europe. Par ailleurs, la période romaine a constitué une étape importante dans l’histoire de l’Europe. Sous la domination romaine tout le bassin méditerranéen, la gaule, la Germanie et même la Grande-Bretagne forment un ensemble homogène soumis à un même pouvoir Rome et relié par des axes routiers. Pendant plusieurs siècles, l’Europe va conserver la nostalgie de cette unité culturelle romaine. L’Europe du Moyen Age va garder le souvenir de l’unité de

aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve bien moins dans la nécessité de déplaire à ses sujets : il en est par cela même bien plus aimé ; et, à moins que des vices extraordinaires ne le fassent haïr, ils doivent naturellement

doter leurs fils puinés (cadets) en biens issus du domaine royal. Ces apanages sont sensés permettre à leurs titulaires de tenir le rang de prince de sang royal. Ainsi, en 1363, le roi Jean II le bon, père de Charles V, décide de donner en apanage le duché de Bourgogne dont il vient d’hériter à son fils cadet : Philippe le Hardi. Sans doute est-ce une façon de remercier ce dernier pour la bravoure dont il a témoigné quelques années plus tôt en 1356 sur le champ de bataille de Poitiers. Le Hardi en effet