Duché de Lorraine

statut théoriquement égal à celui de l’anglais dans les institutions internationales. On se sert souvent de la notion «français» pour désigner toutes les variantes d’oïl, c’est-à-dire les dialectes parlés en France et en Belgique (wallon, picard, lorrain). La plupart de ces dialectes ont reculé devant l’expansion de la langue 7 standard, et le domaine gallo-roman présente une situation de diglossie (français/ dialecte) ou de monolinguisme (surtout dans une vaste zone autour de Paris). De toutes

votre droite, vous pourrez entrer dans la Chambre des Cinq Reines, ainsi nommée en souvenir des deux filles et des trois-belles filles de Catherine de Médicis : La Reine Margot, Elisabeth de France, Marie Stuart, Elisabeth d'Autriche et Louise de Lorraine. Il servit d'hôpital pendant la Première Guerre mondiale. - Il vous faudra ensuite redescendre au rez-de-chaussée. D'ici, vous pourrez achever votre visite par la découverte des cuisines au sous-sol. Petit détail de la visite qui a toute son importance

au rococo ou "style rocaille". Le rococo se traduit souvent dans la décoration extérieure des bâtiments grâce au talent des ferronniers, à qui l'on confie parfois de grands ensembles, comme Place Stanislas à Nancy, alors capitale politique du Duché de Lorraine. Les grilles en fer forgé de Jean Lamour sont un exemple fameux de l'apogée du style rocaille. Ce style rocaille fût inventé par des ornemanistes et architectes décorateurs tels que : Gilles-Marie Oppenord, Juste-Aurèle Meissonnier et Nicolas

Wurtemberg. Les petits enfants Napoléon François Charles Joseph (Napoléon II) (Paris, 20 mars 1811-Schönbrunn,Autriche,près de Vienne, juillet 1832) Surnommé “l’Aiglon”. Il est le fils de Napoléon 1er et de Marie Louise de Habsbourg-Lorraine. Dès sa naissance il reçu le titre de roi de Rome, de prince de Parme, de prince impérial et il fut reconnu empereur par les Chambres (assemblées parlementaires) lors de la deuxième abdication de Napoléon 1er ( en 1815). C’est sa gouvernante, Madame

le nouveau groupe est officiellement baptisé Arcelor. Le 21 novembre 2001, la Commission européenne donne son accord à la fusion à condition que soient vendues des usines pour le maintien de la concurrence. En France : usines de Beautor, de Sollac Lorraine à Strasbourg et Cofrafer; en Europe: LDD (Luxembourg), Galmed (Espagne), Lusosider (Portugal) et ISP Arvedi (Italie)[4]. La fusion est devenue effective le 18 février 2002 avec la cotation en bourse de l'action Arcelor. La même année, le groupe Arcelor

envahisseurs venus de Scandinavie (holl, scandinaves,..) Raids dans les pays Francs avec au IXème siècle des pillages, destructions de villes,… Charles le Simple leur cède le littoral au-delà de la Manche. La Normandie actuelle est devenue le « duché de Normandie ». Les Vikings prêtent allégeance au roi de France et cessent alors les pillages et s’intègrent tant au niveau politique que linguistique. Il y a alors une petite influence du parler scandinave. Dans la toponymie des villages français :

le parlement. On constate qu'à la base, les décisions sont prises par les instances centrales. Ce centralisme va heurter les particularismes locaux et suite à cette procédure très peu de coutumes seront rédigées. En 1459 seules les coutumes du duché et du conté de Bourgogne étaient mises par écrit. La bourgogne étant un apanage, ne faisait plus intégralement parti du royaume donc la procédure pouvait être prise sans rien risquer. C'est de là que les coutumes sont mises par écrit. En 1498 et

conflit franco-prussien et la perte de l’Alsace Lorraine ; à la suite de la guerre de 1870 la France perd Alsace lorraine, cela devient un prétexte de reconquête et de guerre entre les deux états. Cette reconquête fondée sur la nation. Les Allemands vont invoquer le nationalisme involontaire, pour eux alsaciens lorrains ont une culture attachée aux germains. Mais pour les français ils invoquent le nationalisme volontaire, pensent que alsaciens et lorrains veulent être français. L’attitude d’un état se

906 et, depuis lors, plusieurs fois mise à mal. Dans l’Italie, on les vit pousser jusqu’à Otrante. En 917, ils se faufilèrent, par la forêt vosgienne et le col de Saales, jusqu’aux riches abbayes qui se groupaient autour de la Meurthe. Désormais la Lorraine et la Gaule du nord devinrent un de leurs terrains familiers. De là, ils se hasardèrent jusqu’en Bourgogne et au sud même de la Loire. Hommes des plaines, ils ne craignaient point cependant de franchir au besoin les Alpes. Ce fut « par les détours

invasions Normandes vers 840. Elles concernent surtout le Nord-ouest et l’ouest de la France. Mais dans certain cas, elles sont allées ailleurs comme en Bourgogne et dans le milieu de la France. Les invasions hongroises atteignent par exemple la Lorraine en 913 la Bourgogne en 935 et la région de Nîmes, Narbonne et Bézier en 925. C’est le roi qui doit défendre le pays selon les principes Carolingiens avec les hommes libres qu’il convoque à son armée. Le problème c’est que la dynastie Carolingienne