Dulcinée

Michael. Ce dernier la rencontre par hasard durant la fin de sa maladie, la jaunisse. Michael tombe littéralement sous le charme de cette mystérieuse inconnue. Pendant plusieurs mois les deux protagonistes entretiennent un rituel : Michael retrouve sa dulcinée fréquemment ; durant leurs heures passées ensemble, Hanna lave Michael, puis Michael fait la lecture à Hanna, & ensuite Michael & Hanna font l’amour. Au fur et à mesure de la relation entre nos 2 personnages principaux, Michael éprouve le

malheureux n’a d’autre choix que de se perdre lui-même pour assurer le bonheur de son aimée. L’Amour a tant de fois fait dépérir de grands hommes ! S’il est une mauvaise chose c’est bien l’Amour quand il s’attaque aux hommes de talent ! La mort de sa dulcinée aurait pu lui être salvatrice s’il était parvenu à surmonter sa perte et à remonter la pente. Il est fort dommage qu’il n’en soit pas ainsi ! J’eus préféré le voir heureux, décidé à mener une vie tranquille mais je me suis résignée, il vous est impossible

froid aux yeux, et c’est pourquoi je l’ai choisi. «  A Mademoiselle » est un poème du recueil « Poésies Nouvelles » conçut par Alfred de Musset entre 1836 et 1852. En cinq quatrains, Musset évoque le charme qu’exerce sur l’amoureux transi sa dulcinée… Mis en position de victime, il ne peut se retirer des rets posés par son bourreau. Malgré cette position douloureuse, l’amoureux ne changerait pour rien sa place… J’ai pris ce poème car il décrit une demoiselle qui représente toutes les femmes

« vivait » « s’effaçait ». Les comparaisons permettent également de dynamiser la description de la charogne : « comme un épais liquide » « comme une vague ». « ce monde » reste dans une imprécision.III. Le vanité (strophe 10 à 12) A. assimile la dulcinée à la charogneV25 Le tiret cadratin + l’adverbe « pourtant »+ retour au dialogue avec le pronom « vous » Marque une rupture : après le récit, le poète semble entamer une moraleV25 futur de certitude « serez » « irez »Certitude ironique et horrible

souffrir, te font pleurer, te font souhaiter la mort ? -Parce que malgré les larmes, les peines et les blessures, je les aimes ! Le Mal dut abdiquer, car l'Amour était l'allié de son jumeau, un puissant allié qui l'empêchait encore de contrôler sa dulcinée. Peu importe qu'elle pleura, qu'elle souffrit, qu'elle pensa à la mort, qu'elle voulu abandonner... Elle continua a aimer ses amis, bien qu'elle fut au bord du précipice et qu'ils la poussaient plus bas encore. Et le Mal resta là, impuissant, à voir

de l’absence de reconnaissance des amants qui culmine dans l’appellatif « Monsieur ? » inscrit dans une tournure interrogative. En effet, cet appellatif dissout le narrateur dans l’anonymat de la foule et nie son individualité d’amant élu par sa dulcinée. A travers cette première rencontre entre le narrateur Félix Vendenesse et Blanche Henriette de Mortsauf, ce narrateur décrit la naissance d’un amour et d’une jouissance olfactive.. Ainsi, à travers l’échec de cette rencontre, Balzac met en relief

cabinet de Madame ! », puis, par la suite de l'intrigue, en se déguisant pour tromper le Comte. On retrouve souvent cet aspect du valet dans la comédie de caractère. Chez Molière, le valet sert d'entremetteur et de lien entre son jeune maître et sa dulcinée. Finalement, le valet mène parfois l'intrigue comme dans Les Fourberies de Scapin, aventures du valet éponyme qui cherche à aider Léandre, son jeune maître. On peut aussi citer Figaro dans La Folle Journée qui est lié à la fois à l'intrigue principal

d’Alcools, Apollinaire a eu une relation avec une peintre nommée Marie Laurencin. Pour le poète, cette rupture fût extrêmement douloureuse ce qui explique la tristesse des premiers poèmes du recueil. D’après certains écrits biographiques, le poète et sa dulcinée venaient souvent sur le pont Mirabeau, ainsi dans le premier paragraphe, on sent la souffrance du poète. En effet, le poète met une certaine distance entre ses souvenirs et son amour comme au v.3 lorsqu’il dit “Faut-il qu’il m’en souvienne”. Cela

émotions pour en créer une nouvelle. Ainsi, le poème « Si je mourais là-bas… » du recueil posthume d’Apollinaire Poèmes à Lou (1955) transmet l’horreur du sang versé à la Grande Guerre qui se mêle métaphoriquement à l’admirable beauté féminine de la dulcinée du poète, créant ainsi chez le lecteur la culpabilité. L’émotion dépend donc de l’universalité, de l’actualité ou de l’innovation thématiques. L’émotion ressentie tient moins évidemment mais tout autant à son aspect La musique étant la

émotions pour en créer une nouvelle. Ainsi, le poème « Si je mourais là-bas… » du recueil posthume d’Apollinaire Poèmes à Lou (1955) transmet l’horreur du sang versé à la Grande Guerre qui se mêle métaphoriquement à l’admirable beauté féminine de la dulcinée du poète, créant ainsi chez le lecteur la culpabilité.    L’émotion dépend donc de l’universalité, de l’actualité ou de l’innovation thématiques. L’émotion ressentie tient moins évidemment mais tout autant à son aspect    La musique étant la transmission