D'un château l'autre

Introduction La séquence a pour objectif d’étudier un roman de Chrétien de Troyes, Yvain ou le chevalier au lion, en œuvre intégrale. Dans les programmes, elle s’inscrit dans l’objet d’étude « agir sur le monde : héros, héroïnes » pour une classe de 5eme. Cette séquence abordera l’œuvre sous l’angle du parcours initiatique du héros, lequel devient un chevalier exemplaire. Une attention particulière sera portée à la question du merveilleux et des valeurs dominantes de la société courtoise. Une

crocs. Maki, ne pouvant pas croire ce qui était en face d'elle,  se retourna rapidement et a couru pour sa vie chère. Elle pouvait entendre des pas derrière elle mais elle préfèrerait mieux regarder avant que de regarder derrière elle. Mais tout d'un coup, elle a été attrapé par la main et jeté à l'intérieur d'une sorte de boîte. Elle a essayé de claquer ses mains contre les murs, mais en vain, elle ne put y échapper. Etant un peu claustrophobe, sa respiration est devenue lourde jusqu'à ce qu'elle

W. Osterwald) qui faisait d'Yvain un dieu celtique du printemps. Chrétien de Troyes n'a pas tiré de sa propre imagination l'argument de son roman, il l'a repris d'une tradition orale dont l'origine celtiques est difficilement contestable. Le rôle d'un écrivain au Moyen Age n'est pas d'inventer sa propre histoire, c'est plutôt d'adapter des histoires qui existent déjà. Le nom des personnages, la toponymie (L'ensemble des noms de lieux propres à une région, à une langue.), semble indiquer que

« voyages » et « hospitalités » pour ceux qui l’entreprennent et pour ceux qui reçoivent ? Plan : Ici nous allons analyser la rencontre des deux regards, un qui observe et l’autre qui se révèle. Nous nous demanderons tout d’abord si le voyage comme montré par Lacarrière en Crète est essentiellement basé sur l’ouverture à l’autre et donc par composé une hospitalité de la part de l’habitant qui met en avant une recherche d’accueillir son prochain, hospitalité qu’on appelle « réelle », ou bien est ce

décrit aussi ses idées sur les notions comme : le mal, le bonheur, l’utopie etc. Il expose ces idées par l’intermédiaire d’un jeune homme méritant son nom, Candide. Il vit très heureusement dans un château avec son précepteur Dr Pangloss. Candide sous l’influence des idées de Pangloss, croit que « tout va pour le mieux dans le meilleur du monde » Candide chassera de ce château. Il commence un voyage aventureux au tour du monde. Dans ce voyage nous voyons le monde de point de vue de Voltaire. Voltaire

siècles de notre ère, les habitants de ce bord de Seine vivent de l’agriculture, de la chasse et de la pêche. La forêt d’Iveline attire les seigneurs et les rois qui y bâtissent des résidences. Robert II le Pieux, fils d’Hugues Capet, reconstruit le château royal et pose en 1016 la première pierre d’une église dédiée à sainte Marie, église rebâtie au XIIe siècle. Il y avait un pont entre le pays de la Chartre (Poissy) et le Vexin (Carrières) qui passait au-dessus de la Seine. L'histoire du vieux pont

une nature déserté contrairement à l’autre partie, l’humanité semble condamnée au travail, on ne voit ici que le corps d’Orphée. Le château brûlant représente la rupture du monde face au mythe. Ici, on voit seulement le corps d’Eurydice qui n’a l’oreille que pour la musique de la lyre. Figure 3 : On peut voir dans cette image le visage de Narcisse qui est en train de se reposer. Celui-ci est à côté d’un ange et d’une femme vierge représentant ainsi la pureté d’un être qui est pour l’auteur le double

17-30) Un riche commerçant de Rouen a porté atteinte à la pudeur d’une jeune fille dans le train qui le ramenait de Paris. Il est désormais la risée de toute la contrée et se fait appeler « ce cochon de Morin ». Une connaissance, rédacteur en chef d’un journal et futur député, va chez la parenté de la jeune institutrice pour régler l’affaire. Ce bel homme, narrateur de la nouvelle, est séduit par la charmante demoiselle et réussit à la séduire. Le lendemain, l’affaire est arrangée et Morin est soulagé

déchainée lorsque Myriame nous avait annoncé ce qui était à mes yeux une nouvelle de la plus haute importance: les CP B venaient de nous lancer un défi. Myriame était une jeune africaine obèse aux yeux globuleux. Loin d’être dotée d’une beauté divine ou d’un caractère charmeur, elle représentait pour la majorité d’entre nous la personnification même de la sottise. C’est d’ailleurs pourquoi je persiste encore à croire que c’est par l’un des nombreux miracles de Dieu que Myriame s’est retrouvée chef de notre

voler de ses propres ailes. . Des valets l'habillent d'écarlate et l'introduisent dans une vaste salle carrée au milieu de laquelle gît, à demi couché sur un lit, un homme vêtu de zibeline. Pendant que Perceval s'entretient avec lui, il est témoin d'un spectacle étrange : Un valet qui tient une lance resplendissante de blancheur s'avance. «A la pointe du fer de la lance perlait une goutte de sang et jusqu'à la main du valet coulait cette goutte vermeille». Deux autres valets suivent avec des chandeliers