Dure-mère

Ludovic est le fruit d'un viol. C'est un enfant indésiré. Passant une partie de son enfance dans un grenier, haï par sa mère, méprisé par son entourage, puis considéré comme fou et étrange, l'enfant est envoyé dans l'équivalence d'un asile psychiatrique. Avec beaucoup de force et de rigueur Queffélec nous décrit la vie abominable de ce malheureux Ludovic, à qui beaucoup attribue la fonction de bouc émissaire. On remarquera l'insertion dans le roman de phrases plus ou moins maladroites qui nous font

père, la mère et la grand-mère maternelle. L'histoire débute avec une description de la grand-mère; on insiste beaucoup sur le fait qu'elle est dominante et détient l'autorité. Suite à ceci, on raconte la naissance d'Emmanuel (un petit garçon): il est le dernier né. Emmanuel se fait placer sous la garde de sa grand-mère tandis que sa mère travaIl sur la terre. On y décrit la vie quotidienne de la famille, qui reste sans nom dans le texte): l'arrivée des enfants de l'école, la grand-mère qui leur

de l’organisme. b) Témoignage exceptionnel La famille Vanderweert est une famille beige de 4 personnes : la mère Godelieve, le père Wim et les deux enfants Michiel et Amber. Cette famille a fortement attiré notre attention car les enfants de celle-ci sont tout deux atteint de Progéria. Cela est fort impressionnant car avant la naissance d’Amber, la seconde, aucune autre mère auparavant n’avait donné naissance à deux enfants atteints de cette affection. Effectivement Godelieve donne naissance

nous narre avec précision sa vie de religieuse, qu’elle subit suite à l’adultère de sa mère, qui voulant se faire pardonner de Dieu décide d’enfermer le fruit de son infidélité dans un couvent. Choix que Suzanne n’acceptera jamais vraiment au fond d’elle… La naissance de Suzanne est-elle à la fois sa condamnation ? Afin de développer cela nous allons d’abord voir que non il n’en n’est rien puisque c’est sa mère qui voulant se faire pardonner son infidélité la met au couvent plutôt que de la laisser

tous dans la demeure, pour ne pas conduire dans un état légèrement ivre ou trop fatigué pour ne pas avoir d’accident sur la route du retour. C’était des gens responsables et prudents. Pendant quelques mois, le père eut quelques soucis d’argent, la mère était au courant, mais en rôle de parent, ils essayaient le plus possible de le cacher aux enfants pour ne pas les inquiétaient. Arriver à noël, les enfants demandaient beaucoup de cadeaux, mais ils les comblaient toujours avec de l’argent emprunté

grandissait, elle se rapprocha de sa mère et voyait son père d’une autre manière. Ce dernier ne voulait pas que sa fille soit comme lui. Son père était un ancien ouvrier devenu cafetier, qui avait trouvé sa place dans la société. Son enfance était dure car il a dû quitter l’école à 12 ans (il savait parfaitement lire et écrire) pour aider son propre père qui était illettré. Par après, il a quitté son milieu et a rencontré son épouse qui est devenue la mère d’Annie… Dans son roman ‘’La place’’

n’exista que dans le langage maternel (en noms de lieux, de garnisons). Sa mère, Vitalie Cuif, était une paysanne accrochée à sa terre, Fière, indépendante, forte. Celle qu’Arthur appelait la « mère Rimb’ » était une femme robuste et austère (« aussi inflexible que soixante-quinze administrations à casquettes de plomb », écrivit-il à son ami, Delahaye), obligée, il est vrai, pour élever seule ses quatre enfants, d’être dure avec elle-même et avec eux ; mais Rimbaud se plaignit d’avoir trop fréquemment

un manque de maternité dans sa jeunesse, sa mère étant une " dure femme ". L'image de la mère est ici clairement définie, et commencer par le biais du " boulanger ". Il symbolise le plus souvent le compagnon de la femme, et plus encore dans la 1ère partie du XXème siècle. Le " souffle du four " peut alors être assimilé au ventre de la mère ; il y a de plus un rapprochement avec le " sein ", et les petits sont " blottis ", comme dans le ventre de leur mère. Mais ces petits sont toujours à la grille

fonctionnement particulier. Quand est ce qu’un complexe devient un mode de fonctionnement maladif -> complexe (sens large, corps etc...). Pathologies : présente un Pb d’adaptation sociale, souffrance psychique. Complexe deviens maladif lorsqu’il dure et deviens pathologie. JANET : « le complexe ne devient une formation maladive que lorsque cette conduite est acquise par une expérience traumatique initiale » Traumatisme : dépassement de ce qu’un sujet peu accepté psychologiquement. Plus le sujet

Grand-père Grand-père Grand-mère Grand-mère L'arbre généalogique : La mère Le père L'enfant a) Le premiers processus est le lien avec la mère: Un enfant n'évolue pas seul, sauf l'enfant sauvage qui n'a plus de mère ni de père (le livre « L'enfant sauvage ». Le bébé évolue dans le ventre de sa mère, il y a donc un lien fort qui se lie entre les deux êtres. b) Le deuxième processus est le lien parentés: La base de l'enfant resté lié entre le père, la mère et lui-même, ceci est la