Dysfonctionnement Du Système Monétaire International

qu’inefficaces. C’est la première fois qu’a été mis en place un programme d’une telle ampleur pour aider les banques. L’effacement de la dette du secteur financier avait pour objectif de relancer la croissance via une relance du crédit. Cette politique monétaire a été impuissante pour relancer l’économie. Les taux obligataires étant toujours trop hauts, les intérêts sur le passif de la dette des Etats restaient trop importants et la dette souveraine a fini pas augmenter. Les taux de financement pour les

Chapitre 1 : les fondements des échanges internationaux L’échange international se justifie par l’intérêt que les coéchangistes y trouvent. Il s’agit de s’approvisionner en biens : * Non disponibles sur le territoire national ; * Dont les coûts (ou la qualité) sont différents de ceux que l’on trouve dans le pays. L’échange international prend appui sur la complémentarité des économies et la spécialisation de certaines d’entre elles (exploitation d’un avantage). I. Les théories classiques

un changement d’espace politique, cette guerre va modifier les esprits, oblige à la société à se modifier. - le conflit qui modifie durablement les relations internationales durablement dans le temps : il n’y a pas de retour à la normale en 1918 Section 1 / La grande guerre De ce premier conflit va émerger un nouvel ordre international. Cependant, il s’avère fragile dès le départ puisqu’il est tout de suite contesté et repose sur des fondations peu saines. Nous verrons comment ce dernier n’arrive

FESF (fonds européen de stabilité financière). - Quid de la BCE ? Qu’advient la BCE ? Laxisme… Régulation de la finance mondiale - Objectif du G20 (cf réunion à Canne du 3 et 4 Novembre). - Vers un nouveau SMI (système monétaire international) système multipolaire ? (euro, dollars, yuan) - Certes, nouvelles règles de régulation… ex : Les banques doivent avoir un minimum de fonds propre (7%)… - Mais « banques de l’ombre » (shadow banking) qui échappent aux nouvelles règles

Comité sur les systèmes de paiement et de règlement Orientations générales pour le développement d’un système national de paiement Janvier 2006 Pour obtenir des exemplaires des publications, s’adresser à : Banque des Règlements Internationaux Presse et communication CH-4002 Bâle, Suisse Mél : publications@bis.org Télécopie : +41 61 280 9100 et +41 61 280 8100 La présente publication est disponible sur le site Internet BRI (www.bis.org). © Banque des Règlements Internationaux, 2006. Tous droits

pour endiguer la crise (II) I Les facteurs à l’origine de la crise Après avoir envisagé le contexte dans lequel cette crise se développe (11) nous verrons son déroulement et ses effets (12) 11 Une situation macroéconomique instable et des dysfonctionnements microéconomiques Le « paradoxe de la tranquillité » est une expression que l’on doit à l’économiste américain Hyman Minsky. Ce dernier a développé dans les années soixante-dix l’idée que les crises de surendettement se préparent lorsque tout

de la performance économique. En second lieu, cette domination s’explique par la prégnance du paradigme classique de la firme, celui de la maximisation des profits à court terme pour les actionnaires. Ce paradigme, dont l’outil privilégié est le système d’information comptable d’inspiration systémique (Dupuy, 1995) a conduit à une vision de la performance qui laisse dans l’ombre les potentialités sociales et stratégiques de la firme. D’ailleurs la main d’œuvre était représentée comme un coût et

permanents (gagnants de la guerre). Etats-Unis et URSS. Etats-Unis : 1ere puissance écoK et militaire du monde. Bombe A et riche, production x2, 60% stock or, $ = monnaie des échanges internationaux à BW en 44. URSS : immense prestige moral au sortir de la guerre, prend des territoires. Impose son système écoK et polK aux pays d’Epe centrale et orientale occupés par Armée Rouge. Epe dominait monde avant 1914, a perdu la 1ere place ds la hiérarchie des puissances. DE LA SOCIETE INDUS A LA

la comptabilité bancaire Les autorités monétaires exigent beaucoup d’informations comptables de la part des banques, d’une part à titre de source d’informations et, d’autre part, pour exercer leur surveillance sur les établissements. La politique monétaire s'élabore à partir de données directement observées sur les marchés, principalement les taux de change et d’intérêt, ainsi que d’informations portant notamment sur les différentes masses monétaires (M1, M2, M3). Pour établir ces dernières, les

sub-souveraines (municipalités, régions, provinces …), les obligations des entreprises, des banques et des compagnies d'assurance, les financements structurés, les dépôts bancaires et les organismes de placement collectif en valeurs mobilières monétaires et obligataires". La notation peut donc porter sur les émetteurs d’emprunts qui peuvent être privés comme des entreprises, des banques, des sociétés d'assurance ou publics comme des collectivités locales ou des Etats mais près des deux tiers des