Dysmorphophobie

délirants persistants Troubles dans lesquels l’idée ou les idées délirantes sont accompagnées d’hallucinations auditives persistantes à type de voix ou de symptômes schizophréniques qui ne justifient pas un diagnostic de schizophrénie (F20.–). Dysmorphophobie délirante État paranoïaque d’involution Paranoïa quérulente F22.9 F23 Trouble délirant persistant, sans précision Troubles psychotiques aigus et transitoires Groupe hétérogène de troubles caractérisés par la survenue aigüe de symptômes psychotiques

caloriques indépendamment de l’état de maigreur et constitue chez ces malades une préoccupation constante justifiant d’incessant contrôles (pesée, mensuration) et les recours a diverses médications (laxatifs, diurétiques, amphétamines). Cette dysmorphophobie particulière est associée à une dispersion de l’image corporelle, à une crainte constante de reprendre globalement du poids, appelée par certains auteurs une « dysmorpho-obsession », centrée sur une partie du corps (souvent la ventre ou la partie

subjective à travers l’expression de sa personnalité : Traits de caractères (sensible, autoritaire…) ~ C’est à partir de ces critères là que l’on va définir des appartenances ! I- Introduction : le corps entre expérience intime et sociale ~ Dysmorphophobie = Peur de son apparence corporelle (obésité par exemple) ⇨ On voit véritablement son corps déformé. ~ On est sur l’expression du sujet, ce qu’il ressent de son existence : il donne à voir son identité à travers son discours qui est un

considéré comme le summum de la beauté masculine. Les personnes atteintes souffrent généralement d’addiction à l’exercice, en plus d’autres troubles, principalement : La bigorexie : ils avalent d’importantes quantités de nourriture ; La dysmorphophobie : ils sont atteints d’un trouble de la perception de leur propre corps, se trouvant toujours plus maigre et plus petit qu’une personne de corpulence équivalente. Une équipe britannique de l'Université de Glamorgan soutient que « certains amateurs

visible de cette maladie peut mettre mal alaise le malade et le déranger tout comme pour l’éreutophobie. Une dégradation de l’estime de soi, complexe physique, perte d’objectivité peuvent survenir face aux effets de la maladie. On parle alors de dysmorphophobie. Dans les croyances populaires, la rosacée est souvent associée à l’alcoolisme. En effet ne vous est-il jamais arrivé de croiser dans la rue un vieil homme marqué de forte rougeur au niveau du nez que l’on pourrait comparer, à cause de sa forme

réaliser une évaluation psychologique pour éviter une intervention qui ne serait pas utile, ou efficace pour régler le problème qui ne se limiterait pas à la seule courbure, mais qui s’intégrerait dans un problème plus global de schéma corporel (dysmorphophobie). Les indications dépendent des mécanismes de la courbure et le groupe considère qu’il vaut mieux attendre la fin de la puberté pour traiter les courbures isolées, si la verge a un aspect normal en dehors de la courbure, car la puberté modifie

..................................................... 94 Les psychotiques .............................................................................................................................................. 95 Les anorexiques et la dysmorphophobie ......................................................................................................... 95 12 II. OUTILS DE COMMUNICATION DANS LA RELATION PRATICIEN-PATIENT. ............................................... 97 A. 1. 2. LA

fléchissement de l’activité, modification de l’affectivité, hostilité inattendue contre les proches, modification marquée et brutale du caractère ; • symptômes névrotiques et anxieux atypiques comme par exemple des pseudophobies notamment des dysmorphophobies où le patient a des craintes sur son intégrité corporelle ; • comportements bizarres, ésotériques ou inintelligibles pour l’entourage ; • impulsions violentes rationalisées de manière étrange ; • raisonnement hermétique et paralogique ; • désorganisation

perte de familiarité avec l’ambiance de la réalité (déréalisation). -hypocondrie : conviction de l’atteinte de l’intégrité et/ou de l’état de santé du corps, qui peut prendre la forme de préoccupations obsédantes, anxieuses voire délirantes. -dysmorphophobie : préoccupation obsédante portant concernant l’apparence corporelle, qui peut toucher la taille, la pilosité, la forme du nez, des oreilles, la peau. -vécu dissociatif : sensation de perte de l’unité de soi, le Moi s’éprouvant comme scindé, divisé

alimentaire ont des répercussions d’un point de vue psychologique et social. La perception de l’image du corps est faussée. Les personnes anorexiques ou boulimiques n’aiment pas leur corps, ne se trouvent pas belles. Elles souffrent souvent de dysmorphophobie plus ou moins prononcée. On parle souvent d’une distinction corps/esprit, en particulier pour les femmes anorexiques, pour qui le corps doit disparaître. De plus, les personnes qui développent des troubles du comportement alimentaire ont généralement