Dysmorphophobie

■Bélénophobie - Peur des aiguilles. ■Brontophobie - Peur du tonnerre. C ■Cheimophobie - Peur des tempêtes et des orages. ■Claustrophobie - Peur des espaces confinés. ■Cumulophobie - Peur des nuages. ■Cynophobie - Peur des chiens. D ■Dysmorphophobie - Peur des anomalies physiques. E ■Émétophobie - Peur de vomir. ■Entomophobie - Peur des insectes. ■Éreutophobie - Peur de rougir en public. ■Ethylophobie - Peur de l'ivresse, alcool. G ■Galactophobie - Peur du lait. ■Gymnophobie - Peur

interprétation, intuition: vécu délirant 8 Symptômes positifs/productifs  Thèmes polymorphes • Persécution • Syndrome d’influence ou de référence • Vol, transmission, lecture de pensée • Mystique • Mégalomanie • Hypochondrie (somatique) • Dysmorphophobies, transformation corporelle 9 Symptômes positifs/productifs  Non systématisé  Participation affective intense massives  Souffrance considérable  ANGOISSES  Adhésion souvent totale sans aucune critique  Risque de passage à l’acte auto/hétéro-

réalité le corps peut devenir source de culpabilité et de honte. Trouble de l’image du corps : désagrégation, éclatement du corps, la sensation de ne plus se reconnaitre dans le miroir, impression d’anormalité d’une ou plusieurs partie du corps (= dysmorphophobie). L’image du corps joue un rôle important dans la socialisation de l’individu tout au long de sa vie. En résumé l’image du corps c’est l’image que l’on se forme dans notre esprit, la représentation qu’on se fait de nous, chargées d’affectivité

d'emblée début = régime/rationnalisations un intérêt excessif pour la nourriture restrictions quantitatives et qualitatives Souvent vomissements provoqués, abus de laxatifs ou de diurétiques. Trouble de l'image du corps : dysmorphophobie (crainte, peur permanente de grossir) Désir éperdue de minceur en lien avec un trouble de la perception de l'image du corps. pesées permanentes, régimes hypocaloriques et mensurations continuelles des «rondeurs» Attitude de déni

d’aggravation) Parler avec la personne en la questionnant sur ce qu’elle ressent RECONNAÎTRE UN TROUBLE PSYCHOTIQUE Fléchissement de l’activité, modification de l’activité, hostilité contre les proches, modification marquée et brutale du caractère Dysmorphophobie (crainte sur l’intégrité corporelle) : appréciation erronée de son propre corps – la personne se regarde et se trouve toujours trop grosse, trop maigre, moche (souvent à l’adolescence) Comportements étranges, ésotériques Impulsions violentes

L’isolement social doit être pris en compte: la personne anorexique s’éloigne de plus en plus de sa famille et de ses amis. * L’importance d’un suivi qui permet à la personne de partager un moment privilégié pour introduire une thérapie. * La dysmorphophobie est un trouble de l'image de soi, de relation à son propre corps. La personne ne se voit pas telle qu’elle est physiquement. * Il faut être attentif à la manipulation. En effet, la personne anorexique peut, surtout au début, essayer d’expliquer

ou de la gravité2 types : restrictif (jeune et hyperactivité) et hyperphagique-purgatif avec des crises de boulimie, des comportements purgatifs et/ou vomissements II. Sémiologie · Perturbation de l’image corporelle = dysmorphophobie· Diminution estime de osi· Déficit nutritionnel· Hyperactivité· Hyperhydratation = potomanie· +/- ambivalence· +/- déni de la gravité· Négativité· Hyperinvestissement intellectuel· Ongles et cheveux cassants· Oedèmes de carence· Troubles du sommeil·

pathologique) après un stress important après une prise de psychotropes (surtout des drogues fortes) Quand elle s'accompagne d'autres signes cliniques, elle peut faire évoquer le diagnostic de troubles psychotiques (schizophrénie surtout). 2°) La dysmorphophobie C'est une impression, une préoccupation excessive et une source de souffrance concernant son propre aspect corporel. Le plus souvent, le sujet est convaincu de souffrir d'une disgrâce esthétique. c'est un symptôme banal à l'adolescence,

insatisfaites de leur apparence. Quant au nombre d’hommes dans ce cas, il augmente (bien que leur nombre soit plus difficile à établir). À cela, il faut ajouter les personnes qui souffrent d’un trouble de l’image du corps, par exemple d’une dysmorphophobie, où les sujets sont obnubilés par un « défaut » physique mineur, voire imaginaire. Et pourtant, étant donné que nous sommes tous exposés à des images de corps supposés parfaits, pourquoi ne souffrons- nous pas tous de tels troubles graves

corps : "je suis cassé", "déchiré". • la sensation pour le sujet de ne plus se reconnaître dans le miroir. • une impression d'anormalité d'une ou de plusieurs parties de son corps en fonction de l'investissement conflictuel qu'il en a fait (dysmorphophobies). • On sait que des « sensations-fantôme » (douleurs, fourmillements...) persistent longtemps après l’amputation d’un membre ou l’ablation d’un sein (chez un tiers à la moitié des femmes ayant subi une mastectomie). Schilder les attribue à la