Dyspareunie

gradient de dose). Cette inhomogénéité de répartition de la dose est à la base de l’efficacité et de la bonne tolérance de la curiethérapie, si l’application est correcte et l’indication bien adaptée. Les troubles secondaires sont essentiellement une dyspareunie par rétrécissement du diamètre vaginal et altération de sa souplesse et de sa lubrification. ■ Traitement Méthodes thérapeutiques Chirurgie L’extension de la chirurgie est fonction du stade initial, de la séquence thérapeutique et de l’étendue

d’un côté nous retrouvons des circonstances dites traumatisantes, liées directement à la pénétration et engendrant un traumatisme (ceci peut être le cas le cas pour un viol ou bien pour une maladie provoquant des pénétrations douloureuses de type dyspareunie…) ; de l’autre, nous avons des circonstances qualifiées d’extra coïtales comme le conformisme religieux ou encore l’homosexualité. Pour Masters et Johnson, chez les femmes présentant un vaginisme, une association liant la pénétration à la douleur

dissociative (= fugue psychogène) Trouble dissociatif de l’identité (= personnalité multiple) Trouble de dépersonnalisation 27 Troubles sexuels et de l’identité sexuelle •  Dysfonctions sexuelles (trouble du désir, de l’excitation, de l’orgasme, dyspareunie, vaginisme) •  Paraphilies (exhibitionnisme, fétichisme, frotteurisme, pédophilie, masochisme sexuel, sadisme sexuel, transvestisme fétichiste, voyeurisme, scatologie téléphonique, nécrophilie, partialisme, zoophilie, coprophilie, urophilie, clystérophilie

se manifester par une fièvre, qui est pourtant inconstante. a. Signes fonctionnels : Ce sont les signes dont le patient se plaint : - Douleur intra-vaginale et/ou vulvaire, pouvant être à type de picotement ou de brûlure ; - Dyspareunie : douleur ressentie lors des rapports sexuels ; - Prurits intra-vaginales et/ou vulvaires ; - Ecoulements vaginaux irréguliers de couleurs alarmants, d’abondance variable, avec ou sans mauvaise odeur. b. Signes physiques Ce sont

.....................................................................................43 LE VAGINISME : .......................................................................................................................................43 LA DYSPAREUNIE : .................................................................................................................................43 LA FRIGIDITÉ : ...............................................................................................

dans la relation à l’autre puisqu’il traduit une demande. Il se matérialise à travers une gamme de troubles, allant des plus fréquents aux plus complexes : crampes abdominales, algies vagues, eczéma, asthénies, insomnies, dépressions, anxiétés, dyspareunies et conflits conjugaux ou réactionnels. Les symptômes sexuels peuvent traduire un grand nombre de déséquilibres (état dépressif, problèmes somatiques ou psychiques, mésentente conjugale...) Leurs expressions et l'énoncé de l'histoire qui les

avec dystocie à l’origine de souffrance fœtale, de fistules vésicovaginales, d’hémorragie de la délivrance et de césarienne. Des complications sur la sexualité surviennent fréquemment avec angoisse au moment du démarrage de l’activité sexuelle, dyspareunie et frigidité. Les complications psychologiques sont d’autant plus importantes que les mutilations sont pratiquées tardivement avec troubles du comportement, anxiété, dépression, irritabilité chronique ou frigidité. Les résultats d’une nouvelle étude

fonction sexuelle. À l’exclusion de : syndrome de Dhat (F48.8) F52.0 Absence ou perte de désir sexuel La perte du désir sexuel est le problème principal et n’est pas secondaire à d’autres difficultés sexuelles comme un défaut d’érection ou une dyspareunie. Baisse du désir sexuel Frigidité F52.1 Aversion sexuelle et manque de plaisir sexuel Soit la perspective d’une relation sexuelle déclenche une peur ou une anxiété telle que toute activité sexuelle est évitée (aversion sexuelle) soit les réponses

quantité), phagomanie (désir insatiable de nourriture), voracité… Troubles du sommeil : Insomnies, hypersomnie, inversion du rythme nycthéméral. Troubles de la sexualité : impuissance masculine, anéjaculation, anorgasmie, anaphrodisie, frigidité, dyspareunie, vaginisme.

système cardiovasculaire : hypertension artérielle, cardiopathie, hypertension portale avec varices gastriques et œsophagiennes, insuffisance veineuse. • appareil sexuel : perte du désir sexuel, impuissance, éjaculation précoce, anorgasmie, dyspareunies, aménorrhée... La consommation chronique augmente le risque de cancers, dont notamment : • cancer du foie, cancer du pancréas ; • cancers des voies aérodigestives supérieures : cancer de la bouche (langue, cavum, lèvres), cancer de l'œsophage