Débauche De Lorenzo

la risée de tout le monde ». On pourrait donc en déduire que le meilleur moyen de peindre les défauts des hommes et de les représenter sur scène. L’hypocrisie caractérise aussi la pièce « Lorenzaccio » d’Alfred de Musset. Lorenzo de Médicis feint de s’associer au débauches d’Alexandre pour gagner sa confiance et ensuite le tuer. La pièce est placé sous le signe du masque et de l’hypocrisie, les personnages dissimulent leurs êtres profonds pour vivre dans le monde de l’apparence. Ici, le clergé

Clair de lune ; un pavillon dans le fond, un autre sur le devant. Entrent le Duc et Lorenzo, couverts de leurs manteaux ; Giomo, une lanterne à la main. Le duc : Qu'elle se fasse attendre encore un quart d'heure, et je m'en vais. Il fait un froid de tous les diables. LORENZO : Patience, altesse, patience. LE DUC : Elle devait sortir de chez sa mère à minuit ; il est minuit, et elle ne vient pourtant pas. LORENZO : Si elle ne vient pas, dites que je suis un sot, et que la vieille mère est une honnête

de Molière. Il est aussi plus érotique, il recherche les femmes pour assouvir un désir sexuel que n'a pas le Don Juan de Molière. Si les deux récits se ressemblent, les deux Don Juan sont donc très différents. Celui de Tiros de Molina n'est qu'un débauché, alors que celui de Molière est un Libertin. L’histoire : Don Juan Tenori s'enfuit de Naples après avoir séduit la Duchesse Isabelle en se faisant passer pour son fiancé. Pendant son voyage vers Séville, il fait naufrage et est recueilli par

Dangereuses, Laclos Les Liaisons Dangereuses constituent un chef d'œuvre du machiavélisme : La Marquise de Merteuil et le Vicomte de Valmont se jouent du puritanisme de leurs contemporains. Ils se racontent par lettres toutes les occasions de débauches (d'eux-mêmes et des autres) qu'ils vivent. Leur complicité cache une profonde rivalité qu'un pari va mettre à jour : en cherchant à entraîner deux jeunes amants inexpérimentés dans leur univers licencieux, ils vont accélérer leur propre déchéance

satisfaire tous nos désirs. Cependant, cette préoccupation majeure sur le désir ne date pas d’aujourd’hui, l’histoire autant que les arts en ont souvent été marqués : Casanova, Don Juan, Musset, le Marquis de Sade, Carmen, Cyrano de Bergerac, Icare, Lorenzo de Médicis, Epicure, St Paul. Qu’ils aient été des hommes, des personnages incarnés par un désir insatiable, ou à l’inverse, de ceux qui se sont retirés loin du faste, répondant seulement à l’appel de leur besoin les plus primaires : Ces personnes

en scène une violence physique notamment avec l’utilisation de crimes de cops ou bien de punitions. En effet dans Lorenzaccio de Musset, Lorenzo veut débarrasser la ville de Florence du Duc de Médicis Alexandre qui est une débauché et qui veut instaurer la république. C’est un conflit politique mais aussi nous remarquons la présence de violence au moment où Lorenzo tue le Duc de Médicis, comme punition, pour libérer la ville de Florence. En outre nous pouvons voir que dans Phèdre, la pièce parle de

[À Florence, en 1537, le jeune Lorenzo rêve d’assassiner le tyran Alexandre de Médicis. Il gagne sa confiance en le suivant dans toutes ses débauches. Mais peu à peu, à force de vivre dans le vice, il se laisse gagner par un profond pessimisme, au point de ne plus parvenir à croire dans les valeurs et les idéaux qui motivaient son acte. Pourtant, il ne renonce pas à tuer Alexandre. Il s’en explique ici à Philippe Strozzi, le chef des Républicains.] LORENZO. Tu me demandes pourquoi je tue

Florence avec l'appui du pape et de l'empereur d'Allemagne, un débauché qui emploi son jeune cousin Lorenzo comme compagnon de débauche. Lorenzo apparaît comme frivole et cynique dévergondé. Mais en réalité, on apprend qu'il partage cette débauche et cette complicité uniquement dans le but d'assassiner son cousin, afin de donner l'occasion de libérer la cité et d'instaurer une république qui serait dirigée par la famille Strozzi. Lorenzo se sacrifie pour arriver à libérer la ville. A la fin de l'acte

mai 1857 à Paris. En, 1834, Lorenzaccio, grand drame de Musset fut publié. C’est un drame en cinq actes issus de faits réels qui se serait passé pendant la Renaissance au XVIème siècle à Florence. Il raconte l’histoire de Lorenzo, qui va devenir le compagnon de débauche du duc Alexandre de Médicis. Le héros cherche à endormir sa méfiance pour l’assassiner. Musset aurait cependant modifié l’histoire, car à la fin du drame le personnage se laisse tuer car il a échoué et cela le désespère, alors

complicité du pape, a remis le pouvoir entre les mains du duc Alexandre de Médicis, issu d'une des vieilles familles de la cité. Le duc est jeune et mène une vie débauche. Il règne sur la ville par la terreur, ne tenant compte ni du peuple, ni des autres grandes familles de Florence. On le déteste, mais pas autant que son cousin, son âme damnée : Lorenzo de Médicis, méchamment surnommé Lorenzaccio. Alphonse de Lamartine (1790-1869) est le poète de la rêverie et de l’émotion. De son œuvre vaste restent