Déchéance De Cosette Les Misérables

possible de se racheter et de basculer dans le bien, grâce à l’exploitation des qualités du héros positif. Nous pouvons voir cela avec Les Misérables de Victor Hugo où il met en scène Jean Valjean, un ancien bagnard ayant trouvé le chemin de la bonté grâce à un prêtre. Valjean réalise de nombreuses actions qui changent radicalement la vie des personnes, comme Cosette qu’il a recueillie d’une famille la maltraitant : il est donc l’exemple parfait de la rédemption. Fjdfjdf dfjd skfsdfjdkf

ce n’est plus la pudeur, c’est la honte. »la misère accule de pauvres gens à se prostituer ou à voler jusqu’au déshonneur// Les Misérables : Fantine, la mère de Cosette, se prostitue pour continuer à payer les Ténardiers“La faim passe bientôt la griffe sous la porte” : personnification de la faim représentée comme un monstre. Description de la misère qui amène la déchéance et la mortDénonciation du travail des enfantsCitation : « Innocents dans un bagne, anges dans un enfer »jeu sur les antithèses

n’a pas à défendre une thèse, il se doit d’exposer des faits, pas de concessions à un prétendu « bon goût » → heurte notre sensibilité par des détails insupportables (agonie d’Emma) → Madame Bovary par bien des côtés est une œuvre anti-romanesque. Déchéance assez lamentable, examen clinique de la réalité. Ces deux aspects essentiels fondent son réalisme. ■ En faisant mourir Emma, Flaubert ruine l’image pieuse du repentir : n’a rien à voir avec les héroïnes dont la mort rachète les fautes (Manon Lescaut)

mots «condamné à mort»), l'anaphore qui permet de rendre plus fort le cri d'horreur du condamné. Hugo se pencha sur ces bas-fonds sociaux dont il fut plus tard le peintre puissant à la fois épique et réaliste dans ‘’Claude Gueux’’ et dans ‘’Les misérables’’. Le roman est un document sur les grandes prisons de Paris. La violence de la vie en prison est bien montrée, surtout celle que subit le condamné à mort qui est souvent isolé des autres prisonniers, même si on l'autorise à aller à la promenade

vie. Ce récit, long monologue intérieur, est entrecoupé de réflexions angoissées et de souvenirs de son autre vie, la "vie d’avant". Le lecteur ne connaît ni le nom de cet homme, ni ce qu’il a fait pour être condamné, mis à part la phrase : « moi, misérable qui ai commis un véritable crime, qui ai versé du sang ! ». L’œuvre se présente comme un témoignage brut, à la fois sur l’angoisse du condamné à mort et ses dernières pensées, les souffrances quotidiennes morales et physiques qu’il subit et sur les

(1668-1693), livre VIII, fable 6, "Les Femmes et le Secret". MOLIERE, Les Femmes savantes (1672), I, 1, débat entre Armande et Henriette, "Mon Dieu, que votre esprit... qui sont de la matière." MONTESQUIEU, Lettres persanes, lettres 161 (1721) HUGO, Les Misérables, première partie « Fantine » 1862 SIMONE DE BEAUVOIR, extrait de Le Deuxième sexe (1949) * Il est possible aussi de supprimer une lecture analytique. II. Deuxième séquence : Lecture cursive de VOLTAIRE, Candide, 1759, avec quelques lectures

histoires dans lesquelles ils s'inscrivent. C'est le cas de Jean Valjean ou de Gavroche, héros des Misérables de Victor Hugo. Jean Valjean, par ses multiples évasions, ses efforts pour échapper au policier Javert qui le poursuit et son parcours exemplaire : le forçat devenu le bon M. Madeleine, bienfaiteur de la petite ville dont il est le maire et des « misérables » qui croisent sa route comme Fantine ou Cosette, figure magnifiquement le sursaut salutaire de tous les damnés de la Terre. Moins positif mais

plus connu de tous, son véritable chef d’oeoeuvre, Les Misérables, il présente la vie de Jean Valjean, ancien forçat, depuis sa sortie du bagne de 1815, jusqu’à sa mort en 1833, protagoniste autour duquel sont aussi dévoilées les destinées d'autres personnages tout aussi accablés ; pour trouver du travail (en effet à cette époque, les filles-mères étaient rejetées) Fantine, pauvre ouvrière délaissée par son amant, est obligée de confier Cosette, sa fille à des inconnus, les Thénardier, personnages

(16681693), livre VIII, fable 6, "Les Femmes et le Secret". MOLIERE, Les Femmes savantes (1672), I, 1, débat entre Armande et Henriette, "Mon Dieu, que votre esprit... qui sont de la matière." MONTESQUIEU, Lettres persanes, lettres 161 (1721) HUGO, Les Misérables, première partie « Fantine » 1862 SIMONE DE BEAUVOIR, extrait de Le Deuxième sexe (1949) * Il est possible aussi de supprimer une lecture analytique. 1 II. Deuxième séquence : Lecture cursive de VOLTAIRE, Candide, 1759, avec quelques lectures

des plus démunis, et mobilise la compassion du lecteur. La vie de pauvres gens est également narré dans Les Misérables de Victor Hugo avec notamment deux personnages, le bagnard Jean Valjean et Cosette. Ces figures évoluent dans Paris et la France provinciale du XIXe et représentent la misère de ce siècle. Pour l’auteur tant que « la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim et l’atrophie de l’enfant par la nuit » ne seront pas résolus, des romans comme le sien