Décrire Colère

plutôt agressive, avec des points d’exclamation notamment laissant apercevoir la rage enfouie de Triboulet. « Grand, jeune, et bien portant, et roi de France, et beau » (v488), avec cette hyperbole, Victor Hugo veut faire ressortir la jalousie et la colère de Triboulet, on imagine que celle-ci est dite d’un ton ironique et agressif à la fois. Le rythme est très soutenu, avec la présence de nombreuses virgules, cela accentue l’exaspération de Triboulet. On découvre l’autre face du bouffon, un personnage

sa position familiale tandis que le jeune homme pense avoir acquis assez de maturité pour prendre ses propres décisions. Le père fait preuve d’une certaine violence à l’égard de son fils par la direction de ses bras, levés contre ce dernier et la colère exposée sur son visage. Cette violence illustre la volonté du père de garder l’autorité et la supériorité vis-à-vis de son fils qui lui, souhaite « tuer » l’image du père pour accéder à une certaine forme de liberté. Concernant

dire que même en primaire il existe des incivilités liées à la relation conflictuelle élève/enseignant. Concernant les relations élève/maîtresse, les réactions des élèves tels que les pleures peuvent peut-être connoté un sentiment d’injustice ou de colère, puisque cette autorité l’empêche d’être lui même, de grandir et d’exister, si l’on tient compte de l’étymologie du mot « autorité » définit dans le cadre théorique. Donc si l’enseignante représentante cette entité elle paraît donc comme un frein

laquelle je pénétrais par effraction sans qu’ils pussent me voir – mon plaisir continua de durer ; il fut interrompu par une courte inquiétude : juste comme je dressais l’oreille avant que commençât la pièce, deux hommes entrèrent sur la scène, bien en colère, puisqu’ils parlaient assez fort pour que dans cette salle où il y avait plus de mille personnes on distinguât toutes leurs paroles, tandis que dans un petit café on est obligé de demander au garçon ce que disent deux individus qui se collettent1

vous avez peur, je parlerai le premier. Je di rai : Sire, sauf ton 1 respect, ton éléphant. .. et vous à l'unisson, vous poursuivrez: nous fait du mal. Ainsi, personne ne sera mis à l'avant. Et si nous devions encourir la colère du roi, nous la subirions tous. 20 Quand le roi apparut sur son balcon et fit signe au peuple rassemblé à ses pieds de présenter ses doléances, Jeha prit la parole: - Sire, sauf ton respect, ton éléphant. .. Le peuple

bonheur, Fer qui causes ma peine, M'es-tu donné pour venger mon honneur ? 320 M'es-tu donné pour perdre ma Chimène ? Il vaut mieux courir au trépas. Je dois à ma maîtresse aussi bien qu'à mon père : J'attire en me vengeant sa haine et sa colère ; J'attire ses mépris en ne me vengeant pas. 325 A mon plus doux espoir l'un me rend infidèle, Et l'autre, indigne d'elle. Mon mal augmente à le vouloir guérir, Tout redouble ma peine. Allons, mon âme ; et puisqu'il faut mourir, 330 Mourons

tardait trop » nous montre clairement l’importance de l’animal envers le Sultan. Cet apologue illustre différents défauts humains. Tout d’abord, il y à la conduite impulsive d’Osman, envers le sultan, ligne 89-90 « J’ai imaginé… 6piastres… » ; La colère aveugle du sultan, son désir incontrôlé de vengeance, ligne 69 « A cette vue, la fureur étouffa la pitié naissante…l’ordre fatal ». Les lignes 44-45 « elle conta la chose … étais informé » nous montre la vanité et le bavardage inconsidéré d’Haléma

dire qu'il n'y en a pas, ils peuvent même être plus intense. C'est actuellement le seul langage lorsque les mots ne parlent plus car ils sont les seuls à pouvoir tout dire mais pas toujours facile à gérer, d'où la peur de leurs utilisations face à la colère, la peur, ou la tristesse. I/ Avoir accès aux sentiments des autres Nous nous méfions des sentiments car ils mènent souvent à faire des actes non voulus, des bêtises et sont dangereux. C'est pourquoi chacun les cachent et donc, il est difficile

excuses à sa maîtresse, revient à sa conception petite-bourgeoise de l'amour, qui fait accepter des « feux illégitimes » dont brûlent même « les Dieux de l'Olympe » (d'où ces comédies, ces vaudevilles même où l'on s'amuse de leurs fredaines). Aussi la colère de Phèdre tombe-t-elle sur la suivante (n'est-elle pas là pour servir de chèvre émissaire ? elle l'avait déjà soupçonnée : « Tu le savais. Pourquoi me laissais-tu séduire ? ») à qui elle reproche de l'avoir poussée à satisfaire sa passion, de lui

péché, la racine de tout mal. Pour moi l’orgueil est un péché qui peut se manifester à l’intérieur de n’importe quel individu. Ensuite c’est à lui de savoir quoi faire lorsqu’il ressent ce sentiment, il peut choisir de l’exprimer donc de se mettre en colère et continuer de penser qu’il est le meilleur ou trouver l’intelligence de se remettre en question. Je ne sais pas si je suis orgueilleux car je ne rabaisse et ne méprise pas la personne qui me fait une remarque. Je pense qu’il faut que j’apprenne