Décrire Colère

d'entêtement après, Will laisse les larmes rouler le long de ses joues et contemple le corps inerte de cette jeune fille qu'il a aimé de tout son cœur, de toute son âme. Rien n'explique sa mort. Rien sauf le carreau d'arbalète, niché entre ses omoplates. Colère et envie de violence. Le jeune homme garde comme une éternelle cicatrice la perte de celle qui a constitué durant une majeure partie de son existence, sa seule raison de continuer de lutter. Mais Will ne plie pas. Droit et fier, il supporte sans

Phèdre (vers 1317), de l'assimiler aux «détestables flatteurs» (vers 1325), alors que sa seule motivation était un entier dévouement, souvent souligné dans le texte (vers 233-236, 773-774, 881, 897-898, 1216-1217, 1327). On parlera de réaction de colère, on dira que Phèdre, avec la complicité de I'auteur et de I'idéologie aristocratique, a voulu se débarrasser de sa culpabilité sur cette personne de rang inférieur. Mais il est plus difficile d'expliquer les dernières paroles de I'intéressée : «Ah

expressions du visage sont peut être le système de communication non-verbales le plus pertinent. Certaines traduisent des réactions innées et non point acquises . Ainsi, les manifestations du bonheur, de la tristesse, de la joie, de la peur ou de la colère sont universelles. La preuve en est que les aveugles de naissance, qui n'ont jamais vu le visage d'autruit et ne peuvent donc pas et ne peuvent donc pas reproduire les mimiques, utilisent les expressions faciales que les voyants. LES DIFFÉRENCE

aptes à s'opposer à elle ; une force capable de décapiter, de déchiqueter, de broyer sa mère ; une force capable même de creuser un rocher ; une force « frangée d'écume — l'écume, c'est une image qui reflète généralement l'effet d'une terrible colère ! François perçoit même le torrent comme une puissance vivante qui, au même titre que les animaux, joue un rôle dans la relation nécessaire de proie-prédateur. Le torrent se présente comme nul autre que l'invincible prédateur : « Quelle pâture

: Lebas a des sentiments envers Augustine et non Virginie. Lebas essaie tant bien que mal d’influencer le père Guillaume pour qu’il lui cède la main d’Augustine. Finalement, une discussion orageuse a lieu entre les époux Guillaume. Madame est en colère, car son mari lui a caché les intentions de Lebas et un peintre est amoureux de sa fille, ce qui représente pour elle un affront et un danger. Les deux commerçants ne portent pas en estime les artistes et sont plutôt enclins à refuser la demande de

changer, il est juste devenu lui-même. Lorsque jean annonce a sa famille qu’il est convaincu que sa fortune l’aiderait à devenir un excellent avocat. Pierre lui dit : « Si j’avais de l’argent, moi j’en découperai des cadavres ! ». Ce qui révèle la colère et le dégout du personnage. Citations : -p32 lignes 131 à 134 : Mme Roland espère qu’un de ses fils épouse Rosémilly pour son argent -p44 ligne 444 : Après la venue du notaire, ils espèrent qu’ils vont recevoir un héritage -p48

l'enfance peut bouleverser à jamais l'équilibre psychologique de la victime. L'enfant qui s'est vu infliger des mauvais traitements présente les difficultés suivantes : des cauchemars intenses et répétitifs, de l'anxiété, un niveau exceptionnel de colère et d'agressivité, un sentiment de culpabilité et de honte – chez les victimes d'agression sexuelle, ce sentiment peut être très aigu, surtout si elles ont éprouvé un certain plaisir à un moment quelconque,des phobies soudaines, comme la crainte de

est très en colère. Sa réaction est une réaction de rejet vécue dans la souffrance. Le rejet engendre une frustration qui se retourne contre la personne dans une colère intérieure. => EFFONDREMENT de la personne Dieu veut faire comprendre à Caïn qu’il est libre de choisir et surtout qu’il a les capacités de ne pas céder à l’inhumain qui est en lui. Caïn veut s’en prendre à Abel pour toucher Dieu, le blesser. Caïn n’a pas parlé à Abel de sa jalousie car il est aveuglé par une colère qui l’empêche

’héroïne est Hélène Grandjean, fille d’Ursule Macquart et du chapelier Mouret. À l’âge de dix-sept ans, elle épouse un nommé Grandjean qui lui a donne une fille, Jeanne, maladive et en proie à des « crises » régulières. La famille monte à Paris, où Grandjean meurt peu après son arrivée. Veuve d’un homme qu’elle n’a jamais vraiment aimé, Hélène est prise d’une passion violente pour le docteur Deberle, son voisin qui l’a secourue lors d’une des crises de sa fille. Mais cette dernière éprouve pour sa

tourmente de leur union physique, au milieu des moments les plus intenses de leur plaisir, il avait maintenu une distance, sans jamais la laisser s’approcher de lui. S’approcher vraiment. Maintenant, la mélancolie et la tristesse faisaient place à la colère et à l’amertume. La douleur amère qu’elle avait refoulée pendant cinq longues années explosait en elle en une lente spirale, suffocante, insupportable. 6 Pourquoi souffrir ? Elle savait bien à l’époque qu’Andréas ne l’aimerait jamais. Pire