Décrire Une Foret

répond pas ? » Je restais immobile, attachée au fauteuil, ne sachant que faire. Et cette voix inquiétante, indéfinissable que j'entendais, était- ce un rêve ? Non, non ! Mais alors, d'où venait-elle ?... Je n'en savais rien... C'est si difficile à décrire ! Ce pourrait être une âme morte qui hante l'esprit des gens la nuit... Je voulais dormir, mais je ne pouvais pas aller dans ma chambre. La peur m'en empêchait. Au lieu d'y aller, je programmais mon fauteuil et me laissai masser tranquillement

elles ont un avis critique sur la nature de ce Monde, elles aiment les grandes forêts, la solitude majestueuse des océans en éternelle mouvance, elles savent parler aux animaux...   ... Mes Héroïnes, les Femmes dont je parle, ces Muses, ces Déesses, sont des représentations de ce que devrait être l'Etre Humain, son rapport avec la Beauté, l'Art et la Nature... C'est pour cela que je les imagine 'Princesse de la forêt', 'DAme du Lac', 'Noble Moyennageuse ou Antique', ou 'Roturière au grand coeur'

les personnages. D’autre part, d’une brosse plus large à bout carré, il étend la couleur avec des touches plus longues pour donner à la berge, ou comme au reflet de l’eau, à son ombre ou à l’eau, la même intensité. Quelques touches suffisent à « décrire » la barque et son reflet : [pic] Des points et traits verts suggèrent des talus herbeux. La masse et la multiplicité des touches colorées envahissent le premier plan du tableau. Les taches blanches font apparaître la lumière, les bleus

femmes, les enfants et les personnes trop âgés restent à s’occuper des champs et des bêtes…L’auteur raconte en alternance la vie au front avec Joseph puis Olivier ainsi que la vie à l’arrière avec Julia et Madeleine. Dans cette oeuvre Giono va décrire ce qu’il a vécu durant ses années au front. Le grand troupeau est donc un témoignage du quotidien du soldat. On y lit la peur, la mort, la folie que les hommes côtoient tous les jours. Giono décrit aussi les conditions de vie des soldats affrontant

leurs destinataires (le roi, les princes...).Ronsard utilise une poésie par strophe (ici un sizain) dont les vers ,des octosyllabes, ont une tonalité lyrique. La nature prend une place très importante, la poésie s'adresse aux éléments naturels, les forêts, les fontaines, etc. Les figures mythologiques sont aussi très récurrentes. -L'auteur et le thème du poème : Ronsard écrit les Odes en 1550-1552, il a 26 ans. L'obsession du temps qui passe, de la mort, ne semble pas le concerner vraiment. Et pourtant

du langage caractérisé par l’existence d’une compétence lexicale sans compétence syntaxique. Faux ❖ parmi ces catégories de langues, laquelle ne fait pas partie des langues indo-européennes : les langues ouraliennes ❖ la linguistique vise à décrire le fonctionnement de la « langue », d’après Ferdinand de Saussure. Vrai ❖ l’étude des sons produits par l’appareil phonatoire correspond à : la phonétique ❖ la pragmatique est l’étude du sens des mots et des énoncés. Faux, il s’agit de la sémantique

exotiques et extravagantes. Le narrateur comprend qu’il s’agit d’une propriété exclusive. La serre a aussi un salon séparé ou on trouve le fameuse tableau « Jésus marchant sur le flots ». Le salon est décrit comme « une sorte de chapelle dans un forêt d’arbres singulaires ». La richesse s’affiche dans la taille de la serre et dans le choix des plantes. Et la serre a une ambiance religieuse avec la présence du tableau qui représente un Christ sur les eaux. La porte du salon est vitrée. Une porte

Levant les yeux de la page, ils tombèrent sur le côté nu de la colline, et sur un objet — sur quelque monstre vivant d’une hideuse configuration, lequel très rapidement se fraya chemin de la cime vers le bas, disparaissant finalement dans la dense forêt d’en bas. Quand cette créature se montra en premier à ma vue, je doutai de ma propre santé d’esprit — ou au moins de l’évidence de mes propres yeux — et plusieurs minutes s’écoulèrent avant que je n’aie réussi à me convaincre que je n’étais ni fou

un profil correspondant parfaitement à un tueur en série. Il a commis plus de trois meurtres en un faible intervalle de temps. Dans sa vie de criminel, il a réalisé un certain niveau de satisfaction par la mort de ses victimes. De plus, Pour mieux décrire ce type d’individu, il est clairement démontré parmi ses crimes qu’il est un psychopathe qui se caractérise par son manque d’empathie et son sadisme par le plaisir qu’il tire de ses actes. En outre, lorsque qu’il tue, il est envahi par un sentiment

entre deux vrais siècles. La « mer houleuse et pleine de naufrages » renvoie à une époque trouble et dangereuse, peut être dangereuse pour le psychisme de ses contemporains par son manque d'intérêt et d'héroïsme. Musset reprend la métaphore pour décrire la cruauté du destin à l'égard de ses semblables ainsi que leur dévastant désœuvrement, et dont nous avons déjà parlé : « les jeunes gens voyaient se retirer d'eux les vagues écumantes contre lesquelles ils avaient préparé leurs bras ». La métaphore