Défaillance Du Marché Et Externalités

d’analyse La notion de biens publics mondiaux (BPM) est en rapport directe avec la mondialisation. Cependant lorsqu’on aborde le thème de la mondialisation, on pense en premier lieu à la libéralisation économique, au décloisonnement des marchés commerciaux, aux flux migratoires…mais il ne faut pas oublier que la mondialisation a aussi pour conséquence l’élargissement de biens publics. Avant de rentrer dans le vif du sujet il convient de faire une mise au point sémantique. Tout d’abord

Curieusement, alors que l’analyse néoclassique glorifie la concurrence pure et parfaite, il s’échine à montrer «  Défaillances du marché » : Les rendements croissants dans l’industrie, aussi bien que les externalités, empêchant le modèle de la concurrence parfaite de fonctionner correctement. Mais ce n’est pas la conclusion qu’il en tire : Pragmatique, Il met en avant que les forces du marché à long terme font rentrer les choses dans l’ordre. Ses écrits : * Principes d’économie politique (1890)

(1993) : l’organisation industrielle étudie le fonctionnement des marchés (outils de la microéconomie, théorie des jeux, possible défaillance de marchés.) Économie des marchés Est ce que les marché fonctionne bien  (de manière optimale) ? Les marchés fonctionnent mal car il y a des externalités Idée des politiques industrielle : si les marchés fonctionnent mal, est ce que l’état par une politique industriel peut réajuster les marchés ? Aire de la mondialisation = l’état perd le contrôle sur son

souvent par une demande de monnaie de la part des agents économiques. Il existe d’autres actifs, notamment les titres dont la rémunération est liés aux imperfections mais leur niveau de liquidité n’est pas élevé. La banque est un élément intégrant du marché financier. Il reste avant tout l’intermédiaire financier préféré des investisseurs. Son rôle étant de garantir la liquidité des déposants. A travers l’article « Banks and liquidity creation », l’économiste Diamond nous offre une présentation pour

conception keynésienne. Le marché tout seul n’est pas capable de relancer une économie, de sortir de cette situation de crise économique dans les 30s → effondrement des prix et cours boursiers. 1936 : Keynes écrit sa Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie justement dans cette période de crise en disant que quand on est comme ca, bloqué dans une situation de dépression alors l’état a véritablement un role a jouer. Il appelle cela les « échecs de marchés ». Il ne dit pas qu’il ne

endogène de la croissance, produit par elle et permettant en retour de la renforcer? Dans cette dernière optique, des auteurs comme P. Romer ou R. Barro insistent sur la course à l'innovation, l'amélioration du capital humain ou l'influence des externalités positives engendrées par l'action des pouvoirs publics, notamment l'amélioration du niveau d'éducation et des infrastructures collectives financées par l'impôt. • L'historien Douglass North, quant à lui, a montré l'importance du cadre institutionnel

interventionniste de l’Etat Les grands principes budgétaires ou les grandes contraintes institutionnelles à l’action de l’Etat On a l’habitude de situer le droit budgétaire contemporain au 19éme siècle ou la fonction principale de l’Etat était de faire marcher les services publics administratifs tel que la défense nationale ; la sécurité publique ; la justice ; l’entretien des routes ; l’éclairage public …etc. Aujourd’hui les fonctions de l’Etat se sont diversifiées l’Etat se fait également industriel ;

Sommaire : L’Union Européenne : Interventionnisme ou Economie de Marché ? 1) L’économie de marché 1.1) Définition de l’économie de marché………………………………………………P. 3 1.1.1) Les auteurs et théoriciens principaux soutenant l’économie de marché…..P.3 1.2) L’application de l’économie de marché dans l’Europe……………………….....P6 1.2.1) Le Marché Commun……………………………………………………………P6 1.3) Les limites de la politique de marché……………………………………………...P8 2) L’interventionnisme………...…………………………………………………P9

Chapitre 1 : L’échange sur les marchés L’ORGANISATION DES ECHANGES 1. Pourquoi échange-t-on ? La division du travail fait partie intégrante de notre société. Aucun individu ne peut prétendre produire tous les biens nécessaires à la satisfaction de ses besoins. L’agriculteur consomme ses légumes mais a besoin d’autres choses. Il procède donc à des échanges. La spécialisation des individus les conduit à échanger le surplus de leur propre production (qui excède leurs besoins), contre le

optimum économique (V. Pareto) L’école de Vienne (ou école autrichienne) * L’utilité marginale (C. MENGER) * Rémunération des facteurs et productivité marginale (E. von BÖHM-BAWERK 1851-1914) L’école de Cambridge * Bien-être et défaillances du marché : effets externes et biens collectifs A. MARSHALL (1842-1924), A.C. PIGOU (1877-1959) * Concurrence imparfaite : price tackers/price makers, différenciation des produits IV. JM. KEYNES (1852-1949) - Equilibre de sous-emploi