Défaillance Du Marché Et Externalités

subventions. Le cadre analytique développé aux chapitres 6 et 7 montre qu’une intervention des pouvoirs publics dans les échanges internationaux peut se justifier lorsqu’elle permet de compenser une défaillance du marché à l’intérieur, potentiellement liée à deux problèmes : * Les EXTERNALITES TECHNOLOGIQUES et les difficultés d’appropriation des efforts de RD pour les firmes innovantes ; * La CONCURRENCE IMPARFAITE et l’existence de rente. Les firmes qui investissent dans une nouvelle

changement climatique pourront-ils apporter une nouvelle source de croissance économique ? Les enjeux de l’économie verte La crise écologique qui caractérise ces dernières décennies place les enjeux de développement durable au cœur des nos économies de marché et renforce la nécessité de restaurer les conditions d’une croissance durable, orientée vers le long terme. Notre modèle de croissance hérité du vingtième siècle a montré qu’il n’était pas soutenable. En effet, non seulement il est responsable des

fournissent le pays) ou à augmenter les X (voie française en créant des manufactures d’Etat qui produisent des biens de qualité afin de maintenir un courant d’exportation fort). Etat peut même intervenir de manière directe, énergique pour protéger le marché national, pour protéger les ind nationales, le commerce. Pour eux, l’éco est « la science des affaires du prince ». Physiocrates ont une vision différente, pour eux : laisser faire laisser passer. L’Etat ne doit pas intervenir dans la vie éco car

 ............................................................................................................................  18   2.3  L'économie  du  bien  être  :  une  analyse  libérale  des  défaillances  de  marché.  .................  18   2.4  L'école  des  choix  publics,  radicalisation  contemporaine  du  projet  libéral   .....................  20   2.5  L'école  néo-­‐institutionnelle  

d’investissement dans les infrastructures (de transport). Ses auteurs examinent de près les défaillances du marché en raison desquelles le secteur privé ne parvient pas à combler à lui seul l’intégralité des besoins en investissement. Ils évaluent ensuite les défaillances de l’État en lien avec ses interventions, et étudient de quelle manière les partenariats public-privé (PPP) peuvent remédier à ces défaillances. Ils étudient par la suite les limites des PPP et présentent le modèle de la base d’actifs

concurrentielles sur les marchés financiers remet à l'ordre du jour la question de la stabilité et de la sécurité du système bancaire. En effet, la stabilité bancaire qui est au centre des préoccupations des autorités monétaires soulève un intérêt particulier surtout qu'il s'agit de l'un des principaux garants de la santé de l'économie dans son ensemble. Cette concurrence accrue qui conduit à une fragilisation des profits bancaires, favorise l'accroissement des risques sur les marchés financiers, d'où une

est-ce qu’on nous fait croire qu’elles le sont ? Est-ce que l’innovation à outrance n’accélère pas le processus d’obsolescence à outrance ? Plusieurs types d’innovation possibles : -innovation de produit -innovation de procédé -innovation de marché Pour trouver de la croissance à long terme, tous les économistes s’accordent pour montrer que le progrès technique est incontournable. Le rôle respectif des facteurs de production et des progrès techniques : Robert Solow, économiste américain

(global) a. Intérêts et limites de la théorie micro économique Prédictions : construction de modèles, techniques économétriques et statistiques Modèles : représentation mathématique, fondé sur une théorie économique d’une entreprise, d’un marché ou d’une autre entité. b. Analyse positive et normative Positive : explication et prédiction, projection sur le futur. Descriptive : Observation : ce que c’est. On part de ce qu’on observe, tout individu est rationnel. Normative :

l’État sont nuisibles (le marché est autorégulateur) ; les keynésiens pensent que ses interventions sont parfois souhaitables (État régulationniste). 1 Remédier aux défaillances du marché et réduire les inégalités. Aujourd’hui le domaine des interventions économiques de l’Etat est très vaste. L’État ne se contente pas de corriger le marché, mais cherche à orienter son évolution à long terme (action structurelle) ou à court terme (régulation conjoncturelle). L’économie de marché ne peut se passer de l’intervention

Européenne interdit les aides d’Etat qui faussent ou menacent de fausser la concurrence au sein du marché commun (selon l’Article 87.1 CE). Les aides d’Etat sont en effet susceptibles d’entrainer des distorsions de concurrence en favorisant certaines entreprises ou productions. Leur contrôle garantit donc des conditions de concurrence équivalentes pour l’ensemble des entreprises opérant au sein du marché intérieur. Cependant, le traité autorise certaines dérogations lorsque ces aides présentent des