Déficit Publique Moteur De La Croissance

des terres de la colonisation et, de la Marocanisation suivie d’une croissance forte. Une vision positive suggérait alors que le Maroc avait pris son élan et que l’économie nationale a pris son envol après des années de marasme. A la fin de la décennie 70 et au début des années 80, la prise de conscience massive de l’ampleur des dégâts causés par une politique financière et budgétaire peu rigoureuse, par une intervention publique tout azimuts et  peu efficace et, par un protectionnisme excessif

population active occupée.Chapitre I: Structures de l’économie marocaine (25)3. Indicateurs économiques (1) 3.1. PIB et croissance (1): Croissance économique (1) : Elle est synonyme de production de biens et services, de créations d’emplois et de richesses. Elle assure la prospérité économique, sociale et humaine: Elle est la quête

gouvernements qui ont une dette publique importante seront tentés de ne pas combattre l’inflation puisque elle érode la dette puisque les gouvernements peuvent la rembourser avec une monnaie qui a perdu de la valeur. Plusieurs phases conduisent à la création de l’Euro : -La libéralisation des mouvements de capitaux ki va de paire avec le marché unique -le premier janvier 1994, les banques centrales deviennent indépendantes -interdiction aux banque centrale de crées un déficit publique - les états ont été

élève de la zone euro. Comment le pays est en est arrivé là ?Remontons tout d’abord en 2001, lorsque les 11 pays de l’Euro valident l’entrée de la Grèce dans la monnaie unique. Le pays remplit alors certains critères du traité de Maastricht comme un déficit budgétaire inférieur à 3% du produit intérieur brut et une inflation sous contrôle. En passant sous l’euro, le pays peut alors profiter d’un taux d’emprunt avantageux sur le marché financier. Les entreprises pouvaient ainsi emprunter à bas coût, stimulant

qu’elles en perdent une partie de leur autonomie. L’histoire de l’économie est celle de la progressive intégration des partenaires en présence mais le mouvement s’est fortement accéléré dans la deuxième moitié du XXe siècle. Se donnant pour objectifs croissance économique et progrès sociaux, les économies nationales ont multiplié les échanges en tous genres puis les accords d’intégration tandis que les firmes à la recherche du profit adoptaient des stratégies dépassant le cadre national. A) INTEGRATION

Comment expliquer l'instabilité de la croissance ? La croissance économique d'un pays ne suit pas, d'année en année, un rythme régulier. Elle connaît des périodes d'accélération et de ralentissement, voire de recul. Ces fluctuations économiques se constatent sur le long terme, et les économistes divergent sur les explications de cette instabilité de la croissance. Les politiques destinées à faire face à ces irrégularités présentent des instruments variés, qui comportent cependant des limites.

economiques et sociales : PIB = Production X Prix de revenu de chaque production CROISSANCE ECONOMIQUE ET DEVELOPPEMENT: La croissance économique est une longue période d'augmentation de la production, c'est une notion uniquement quantitative. Il faut la différencier de l'expansion qui ne concerne q'une augmentation de type conjoncturel. La croissance n'est pas une condition suffisante au développemet. La croissance économique n'est pas non plus le développement economique. Le développement est

but est de rétablir les équilibres macroéconomiques (les quatre objectifs du carré magique – entre autres – : croissance, inflation, chômage, équilibre extérieur) et de politique structurelle, comme la politique industrielle, quand il s’agit d’atteindre des objectifs de plus long terme. C. Les motifs de l’intervention publique Richard Musgrave a vu trois motifs à l’intervention publique : l’allocation de ressources, la régulation de l’économie et la redistribution. Les politiques économiques, pour

que la concurrence fiscale est une réalité au sein de l’Union européenne. Une réflexion sur le renforcement de la convergence des systèmes fiscaux et sociaux français et allemand apparait nécessaire compte tenu des écarts de compétitivité et de croissance qui se creusent entre les deux pays, mais l’harmonisation des prélèvements obligatoires ne saurait résoudre à elle seule ces décalages. Les systèmes fiscaux sont en effet une composante de modèles économiques, sociaux et politiques plus vaste. Une

: l’Etat est un agent économique qui investit. Ces biens et services sont au service des ménages ou des entreprises. L’administration publique centrale définit les grands axes des politiques économiques définis par le gouvernement et permet leur mise en place et leur coordination avec des relais décentralisés (préfectures etc..). Les administrations publiques locales, elles, considèrent les spécificités économiques de leur région, département et communes et adaptent les décisions ministérielles