Définition Du Rationnement De Crédit

____________________________________________________________ _______________ LE RATIONNEMENT DU CREDIT Cours de Finance et Banque ____________________________________________________________ _______________ Sous la supervision de Mr KENECK MASSIL JOSEPH BERTOUA 2008 [pic] INTRODUCTION PARTIE I : RATIONNEMENT DE CREDIT ET ASYMETRIE DE L’INFORMATION A- Le rationnement du crédit 1) définition 2) les types de rationnement de crédit B- Asymétrie de l’information : information

THEME : LE RATIONNEMENT DE CREDIT ANNEE UNIVERSITAIRE : 2010/2011 PLAN INTRODUCTION PARTIE I : RATIONNEMENT DE CREDIT ET ASYMETRIE DE L’INFORMATION A- Le rationnement du crédit 1) définition 2) les types de rationnement de crédit B- Asymétrie de l’information : information imparfaite 1) L’anti-sélection ou sélection adverse 2) Le risque moral PARTIE II : CONSEQUENCES OU IMPACT DU RATIONNEMENT DE CREDIT A- sur

leurs besoins de financement liés au cycle d'exploitation et/ou d'investissement, elles sont confrontées à d’importantes difficultés, notamment, la difficulté d’accès aux crédits bancaires puisque la majorité d’eux n’arrivent pas à accéder au marché financier, le financement bancaire reste la seule solution. Le recours au crédit bancaire est inévitable pour les entreprises de nos jours qui sont souvent fragiles dans leur environnement très concurrentiel, avec des ressources limitées pour le démarrage

le crédit et le risque ( ACCROCHE ET QUELQUES IDÉES GÉNÉRALES SUR LE SUJET : Le passage d’une « économie d’endettement » à « une économie de marchés financiers » (J. HICKS) a eu des conséquences sur l’activité des intermédiaires financiers, et en particulier les banques. Le développement de la finance de marché se traduirait par un mouvement de désintermédiation des financements ; autrement dit, la finance directe se développerait au détriment de la finance indirecte. L’analyse du taux d’intermédiation

Le comportement des banques dans l’allocation des crédits aux entreprises ….…. 16 II.1. La sélection des emprunteurs (screening) ………………………………………………….……….16 II.2. La supervision des emprunteurs monotoring)…………………………………………………….….17 II.3. Les relations de clientèle de long terme …………………………………………………………..…17 II.4. Les garanties ………………………………………………………………………………………...18 II.5. Le scoring ……………………………………………………………………………………………18 II.6. Le rationnement du crédit ..……………………………………………………………..…………..19 Section III :

l’économie en France par exemple : en 1998, près de 80 % de l’endettement des sociétés et quasi sociétés non financières françaises était ainsi souscrit auprès de tels intermédiaires (établissements de crédit, OPCVM, assurances), dont près de 45 % pour les seuls établissements bancaires. Les crédits bancaires occupent ainsi une place prépondérante dans le financement des sociétés n’ayant pas accès aux marchés financiers, au premier rang desquelles figurent naturellement l’immense majorité des petites

fonctionnement. Elles souffrent de plusieurs handicapes notamment l’inadaptation des aides de l’Etat et des bailleurs de fonds, l’insuffisance dans la conception et la faisabilité des projets, une gestion financière défaillante, et le rare recours aux crédits. Conséquence, ces PME sont sous capitalisées et font rapidement faillite, faute de ressources suffisantes pour financer leur cycle d’exploitation ainsi que leur investissement. Toutes les PME n’envisagent pas l’intervention de la banque. Pour

Les déterminants du taux débiteur exigé par le crédit-bailleur : une étude empirique sur le marché français AuteurMarie-Christine Filareto[(*] [(*] LABORES (URA 362) -Université Catholique de Lille. Email :... suitedu même auteur L’auteur remercie les rapporteurs anonymes de la revue, ainsi que les rapporteurs de l’article aux Journées Internationales de l’AFFI (Strasbourg, 2002) et au Colloque du GDR Economie Monétaire et Financière (Lyon, 2002), pour leurs commentaires constructifs ayant permis

bancaire 10. Politique monétaire 11. Objectifs 12. Instruments CH1 _ La monnaie : définition La monnaie constitué par des moyens de paiement et de règlement permet l’extinction d’une dette. La monnaie circule sous des aspects très variés L’extension des titres auxquels doit être reconnue la qualité monétaire fait l’objet d’un débat. s’articule autour de la notion de liquidité (définitions statistiques de la Masse M) I/ La liquidité et monnaie (L et M) M : moyen de règlement

théorie économique justifie que les Etats participent et contribuent plus ou moins directement au financement de l’innovation A) L’innovation ne se résume ni à la technologie, ni à la R&D Eléments de définition (cf. début du cours) 1. Un concept difficile à appréhender, protéiforme, définition multiple. 2. L’innovation est d’intensité technologique plus ou moins forte B) L’existence de plusieurs défaillances de marché justifie l’intervention publique, laquelle contribue au financement de l’innovation