Délinquance Déviance

norme de civilité est considérée comme pernicieuse à la société de par le fait qu’elle trouble l’ordre public et empêche cette « colonisation des mœurs » qu’exerce la société sur cette collectivité. La folie n’est donc pas une maladie mais une déviance par rapport à la norme sociale qui nous est imposée par notre contexte culturel et idéologique. Mais si certaines sociétés sont réellement « malades », comme l’affirment certains tant leurs coutumes sont étranges et morbides, alors la rébellion serait

passé, de tourner l’offense à la plaisanterie, celui qui a fait l’offense rit de soi et s’excuser celle qui est la plus délicate  ordre rituel. Quelles sont les applications à l’interactionnisme à la sociologie ? Le phénomène de la déviance, pour qu’il y est déviance il faut des normes, il faut que l’individu se reconnaissance lui-même déviant et que la société la reconnaissance comme déviant, on devient déviant par les interactions avec les autres. Becker : sociologie interactionnisme. Autre application

PROBLEMATIQUE Objet de recherche (légitimité, place, état des connaissances) - Sociologie urbaine - Sociologie de la déviance Enjeux - Partage (frontières, topologie) - Pratiques de l’espace - Types d’usage - Luttes et opposition (usages, style, conflits) - Gestion, régulation Questions de recherche - Configuration de la scène publique : évolution des lignes de partage (circulations fonctionnelles, comme les transports ; lieux d’activité ouverts ; carrefour de relation et de communication)

social dans les démocraties libérales. II. Les effets du contrôle social II.1 Contrôle social et déviance La théorie de l'« étiquetage » invite même à considérer le contrôle social comme un facteur paradoxal de déviance. Selon Howard Becker, la déviance résulte d'interactions sociales. La déviance est analysée ici comme un processus interactif et séquentiel : un premier acte déviant est commis (déviance primaire), il fait l'objet d'un étiquetage (stigmatisation) d'abord par les proches et ensuite

d’adaptation aux normes du milieu, pouvoir se conformer aux règles du milieu alors que le pathologique est définit comme un état de maladie, avec une connotation de déchéance/dégradation. Plusieurs critères définissent le pathologique comme la notion de déviance (dégradation) sociale. Elle renvoie à la manière dont les autres perçoit la personne présentant les troubles, la notion de souffrance : c’est l’élément subjectif d’inconfort évoqué par la personne concernée, la notion d’inefficacité que ce soit

consensus social, par le statut. Le déviant = les disfonctionnement viennent du fait que les statuts sont rigide et que les rôles qui leur correspondent le sont moins La déviance est en rapport avec la société a laquelle le déviant appartient et les déviances diffèrent d’une société à l’autre, il n’y a donc pas de déviance absolu La déviance dépend des attentes d’une société, par rapport au pôle que chaque individus doit assumer Rôle et fonction = avoir un rôle c’est avoir une fonction. Le rôle se défini

Conclusion 6 Bibliographie 7 Introduction En sociologie, un individu devient déviant du moment ou il enfreint une norme. Cependant, cela n’est vrai que si quelqu’un le vois faire, que si quelqu’un assiste ou prend connaissance de son acte de déviance. Par exemple, un individu qui consomme de la drogue chez lui, seul, sans que personne ne le sache ne serait pas considéré comme déviant par la société. Mais que ce passe-t-il lorsqu’un comportement, de prime abord, considéré comme déviant des normes

rend-elle la déviance visible ? 2/ vers la problématisation a/ Parmi les questions suivantes, quelles sont celles qui répondent bien au sujet 1 ? celles qui sont hors sujet ? Englobent-elles bien le sujet ? Qu’est-ce-que le contrôle social ? Quels sont ses effets ? Pourquoi un contrôle social des individus ? Quelles instances/institutions participent au contrôle social aujourd’hui ? Comment le contrôle social se manifeste-t-il ? Le contrôle social engendre-t-il de la déviance ? b/ Formulez

d’une société peut influer. Examinons cette équation à la lumière de la délinquance d’affaires, telle qu’elle est analysée par la juge Eva Joly (2000). Celle-ci prend en compte essentiellement les facteurs pr et pe . En effet, selon elle, la difficulté de la lutte contre la propension à tricher est liée au sentiment d’impunité (pr) qui est lié à plusieurs facteurs (pe) : la priorité à la lutte contre la délinquance ordinaire[7], la faiblesse des peines, la faiblesse des moyens[8], la pression

des parties. Il sera tenu compte, dans la notation, de la clarté de l’expression et du soin apporté à la présentation. Thème du programme : le contrôle social SUJET : Vous analyserez les différents effets du contrôle social sur la déviance. DOCUMENT 1 L’existence de sanctions régulatrices montre que la société pratique un contrôle sur les individus. (…) Aucun mécanisme spontané ne règle les comportements sociaux. Pour éviter le désordre et la guerre permanente « de tous contre