Délinquance Et Criminalité

Victor Hugo, illustre écrivain romantique du XXe siècle propose une solution dans l’un de ses propos : « ouvrir une école, c’est fermer une prison ». D’après l’auteur, l’enseignement détiendrait les armes nécessaires pour combattre la montée de la criminalité. Cette dernière étant toujours un indicateur de la misère d’une population. Ce que revendique plus particulièrement le romancier est que l’éducation qu’offre l’ouverture d’une nouvelle école permet aux élèves de ne pas rester dans l’ignorance

affaires en 2002.  Ce phénomène, la délinquance juvénile occupe progressivement le devant de la scène, il est en constante expansion dans une société où l'autorité des familles est en déclin.  Mais quel est le responsable de ce phénomène social de plus en plus répandu, l'hérédité ? L'individu ? La société ?  Nous allons tenter d'y répondre en définissant ce qu'est la délinquance juvénile.  I -Définition  Du point de vue juridique, on appelle criminalité l'ensemble des actes jugés dangereux pour

réaction sociale : Comment la société réagit ? 2. Historiquement : Les précurseurs : Rousseau, Voltaire, Montesquieu ( Encyclopédistes. Les pionniers : Lombrozo, Ferry Les guides : 1) Sutherland ( Il s’intéresse surtout à la criminalité en col blanc. Il érige la théorie des associations différentielles. Il rejette la théorie génétique pour le passage à l’acte (il rejette l’inné) et prône la théorie selon laquelle c’est l’environnement qui pousse à l’acte (théorie de l’acquis).

La théorie des opportunités différentielles : une théorie fusionnelle…………9 VI. Quelques critiques………………………………………………………….11 VII. Vers une possible application de la théorie des opportunités différentielles sur la politique de la délinquance juvénile………………...14 VIII. Conclusion………………………………………………………………..15 Bibliographie…………………………………………………………………...17 Théories criminologiques sociologiques I. Introduction Nous introduirons ce travail par une brève contextualisation historique

Méthodes des sciences sociales  La délinquance Intro : Modernité : synonyme de progrès et donc de moins de violence. La modernité est aussi culturelle dans la mesure où le processus de civilisation passerait par l’intériorisation des conflits, des tensions, des pulsions… Norbert élias : la civilisation des mœurs eb 1973 ; idée que nous allons vers le progrès mais conception de progrès remise en cause à partir de la décennie 1980 ; pour certains, nous assisterions à une crise qui se manifesterait

acteurs impliqués dans l’exécution des peines 16. La perception de la gravité des infractions au sein de la population tout-venant : réalisation d’échelles de gravité – pour deux étudiants 3) Crime & médias 17. Déformation médiatique et criminalité : étude comparée de l’exposition médiatique des faits criminels et comparaison avec les chiffres officiels en ce qui concerne Liège – pour deux étudiants 18. Approche de la connaissance que la presse belge a du système judiciaire (sensu lato) :

rapport à la spécificité de la criminologie. Certains rejettent cette spécificité et considèrent que le criminel est un homme comme les autres mais reconnaissent l’importance de l’étude de la personnalité du délinquant. D’autres voient dans la criminalité un phénomène général provenant d’un milieu spécifique, dans le criminel un type particulier et dans le crime un acte se distinguant des autres, mais sont d’accord avec les premiers sur l’importance de l’étude de la personnalité criminelle. Entre

l'éthique militaire ? Question 4 De nos jours, la délinquance est de partout. Ou que l'on aille elle existe. Mais en France elle touche particulièrement les quartiers dits sensible. La délinquance peut se manifester de différente façon, vol, recel, destruction de bien et stupéfiant. Ce dernier, est la plus grande forme de délinquance en France. Le fléau que sont les produits stupéfiants oblige certain à tomber dans la délinquance. L'Etat a donc décidé d'accentuer sa politique pour lutter

Selon un rapport officiel de l’Inspection générale des affaires sociales et du Conseil général de l’agriculture, la misère ne crée pas systématiquement la délinquance. Les départements les plus pauvres de France, comme le Cantal ou la Creuse, sont même les moins criminogènes... Peut-on dés lors affirmer que la misère mène toujours à la criminalité ? Pour nous forger une opinion , nous allons d’abord voir en quoi nous pouvons être d’accord avec cette thèse et dans un second temps , nous allons montrer

relatives à la criminalité A – Classification des séries statistiques B – Portée des résultats statistiques § 2 – Les sources relatives aux criminels A – Les biographies criminelles B – L’étude monographique et clinique des criminels Chapitre 3 – Caractéristiques générales du phénomène criminel juvénile Section 1 – La criminalité des jeunes délinquants § 1 – La criminalité cachée des jeunes délinquants § 2 – La criminalité apparente des jeunes délinquants § 3 – La criminalité légale des jeunes