Délinquance

La criminalité en France Rapport de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales 2010 Sous la direction d’Alain Bauer pljj^fob= ab=i^=pvkqeÐpb AVANT-PROPOS André-Michel VENTRE, Directeur de l’INHESJ . . ................. 1 INTRODUCTION Alain BAUER, Professeur de criminologie au CNAM Président du Conseil d’orientation de l’ONDRP . ..... 3 PRINCIPAUX RÉSULTATS . . . . . . . . . . 7 ÉLÉMENTS DE MÉTHODE Christophe SOULLEZ, Chef du département ONDRP . .

d'éducation pour les mineurs. Elle fut consolidée à plusieurs reprises. Face à l'aggravation de la délinquance, la justice des mineurs s'est progressivement orientée vers une accélération des procédures et un renforcement de l'encadrement éducatif. Ainsi, la loi (n°2002-1138) d'orientation et de programmation pour la justice du 9 septembre 2002 marque un durcissement de la réponse pénale à la délinquance des mineurs : 10-13 ans = disposer sanctions éducatives 13-16 ans = placement sous contrôle judiciaire

mais témoignent toujours d’un non respect de l’autre et des lois dans notre société. Elle se manifeste généralement par l’impolitesse et la violence, détruit les relations sociales, crée un sentiment d’insécurité, augmente considérablement la délinquance et la criminalité. Les sondages montrent que depuis quelques années le sentiment d’insécurité et l’incivilité est en hausse continue, malgré une légère baisse ces derniers mois. Les statistiques du ministère de l’intérieur montre que depuis les

carrière comprenant quatre types de délinquance. La délinquance occasionnelle implique qu’un individu a commis un nombre limité d’actes délictueux de faible gravité à un moment précis de sa vie. Quant à la délinquance explosive, l’individu va commettre plus de faits que les individus de la délinquance occasionnelle, ses faits sont de gravité moyenne et sont commis dans le contexte d’un climat de difficultés familiales et personnelles . Tandis que durant la délinquance persistante intermédiaire, la durée

nouveau, il n'est pas apparu spontanément dans l'histoire de la ville. Dans son livre « Violences et insécurité fantasmes et réalités dans le débat français », Laurent Mucchielli – sociologue français né en 1968 et spécialisé dans les questions de délinquance et de violence – analyse ce phénomène et le replace dans le débat public. Pour lui, il n'y a pas lieu d'avoir débat sur l'insécurité car chacun est sommé de se situer dans un camp (il s'agit de la philosophie du « soit tu es avec moi, soit tu es

Méthodologie La construction sociale de la question de l’insécurité Introduction : « 59% des français pensent que la délinquance à augmenté », titrait le Point en Juillet dernier, citant des chiffres issus d’un sondage d’opinion de l’Ifop. S’il est possible de contester les méthodes usitées par les sondeurs (questions orientées, réponses incomplètes, représentation de l’opinion sous une forme quantitative…), ces chiffres s’inscrivent dans la lignée de ceux publiés par tous les médias lors de

l’aurait dit le disparu El Mehdi BenBerka : « l’Education n’est pas une priorité, c’est La priorité ». Nul ne peut nier l'impacte de la scolarité sur la personnalité de l'enfant, d'où l'importance de la prise en considération de ce facteur dans la délinquance . Il y’a une absence d’activités ludiques. Les infrastructures sont dans un état pitoyable : le manque de ressources, les infrastructures détériorées et les bâtiments sales et vieux, le manque de fournitures et d’équipements, les classes surchargées

avaient favorisé l’insécurité dans la localité. Un débat sur le sujet initié par le club des Jeunes dynamiques de Diego Suarez (Jdd) s’est tenu au Motel d’Anosy samedi dernier. Les causes et conséquences ainsi que les solutions contre ces actes de délinquance ont été au cœur des discussions lors d’une conférence - débat initiée par le club des Jeunes dynamiques de Diego Suarez (Jdd) au Motel d’Anosy. Parmi les principaux intervenants, le Chef de la Région Diana, Bezara Romuald, a exposé la situation

19ème siècle parce qu’elle fonctionnait comme une forme d’hygiène publique, cherchant à traiter le danger social. Elle a été une médecine du corps collectif. Les magistrats ont résisté mais l'idée d'une parenté toujours possible entre folie et délinquance l'a emportée. Foucault énonce «dans les anciens systèmes le châtiment devait répondre a l'énormité du crime, désormais on cherche à adapter les modalités de la punition à la nature du criminel». Donc, pour punir on a besoin de savoir qu'elle

développement sous la forme d'un plan cohérent qui ménage l'équilibre des parties. Il sera tenu compte, dans la notation, de la clarté de l'expression et du soin apporté à la présentation. SUJET Comment peut-on lutter efficacement contre la délinquance ? DOSSIER DOCUMENTAIRE D1 : L’étiquetage du déviant Dans Outsiders (1963), Becker part d'une critique des sociologues qui voient dans la déviance soit une manifestation pathologique et le produit d'une maladie mentale, soit le symptôme d'une