Démocratie Et Mouvement Social

frère soviétique » et les démocraties populaires ( 1945-1991) Comment évoluent les relations entre le modèle soviétique et ses satellites d’Europe de l’est entre 1945 et 1991 ? Comment et pourquoi le « grand frère soviétique » met-il en place des démocraties populaires en Europe de l’Est? Ces démocraties populaires sont-elles en tous points conformes au modèle soviétique ? Comment évoluent les relations entre le modèle et les satellites ? La structure des démocraties populaires reste-elle conforme

véhicule des significations et des connotations variées selon contexte : valorisante (politique = idéal car ordonne une société divisée) / dévalorisante (compromission, coup bas, trahison). Un politique = ensemble des régulations qui unifient un ensemble social hétérogène. Une politique = scène où s’affronte des individus et des groupes pour la conquête et l’exercice du pouvoir. Son champ évolue, l’étendue des Q° évolue selon période. Ex : sous IIIe république, décolonisation est un problème politique majeur

pleins poumons, quand la violence de la société nous poursuit un peu partout jusqu’à l’asphyxie. Un choix radical est devenu inévitable : suivre la pente de la compétition sauvage et de la barbarie ; ou bifurquer sur le chemin du partage, de la démocratie et de l’humain. Quelle humanité voulons-nous être ? Notre parti pris est celui de l’émancipation humaine, celui de l’épanouissement de chacune et de chacun, celui du droit au bonheur. Cela nous conduit à promouvoir l’égale dignité de chaque être

vote n'a pas de valeur démocratique, c'est même le contraire de la démocratie. Pour nous en revanche il exprime la démocratie. La caractéristique du vote est de sélectionner un groupe créant ainsi une élite. Notre système est donc élitiste. Pourquoi ne pas avoir gardé le tirage au sort ? La réponse est historique. Les révolutions Américaines et Française au 18è siècle. On peut penser ces révolutions comme des mouvements de lutte contre l'arbitraire des monarchies. Immerge alors à la fin

INTRODUCTION De la démocratie représentative à la démocratie participative et vice versa Réflexion sur l’évolution d’une démocratie ancienne, représentative par tradition, participative par choix de femmes et hommes politiques Que veulent les citoyens ; comment leurs représentants élus exercent-ils le (les ) pouvoir(s) qui leur ont été confiés ; comment les exécutants (techniciens et bureaucrates) appliquent-ils les décisions prises ? Quelle est l’évaluation des actions : par qui, pour qui

MANUEL DE LA DEMOCRATIE SOCIALE 1 Tobias Gombert et al. Fondements de la Démocratie sociale ISBN 978-3-86872-210-9 Edité par la Fondation Friedrich Ebert Édition allemande: Académie Politique, Bonn (2ème édition / Août 2008) Édition française: Département de la Coopération Internationale, Berlin / (2ème édition / Octobre 2009) Rédaction: Julia Bläsius, Tobias Gombert, Christian Krell, Martin Timpe // Responsable: Dr. Christian Krell / Chef de Projet: Julia Bläsius (Jochen Dahm) // L’édition

aussi, un trait commun à tous les régimes ou à tous les mouvements qui ont été un jour ou l'autre désignés par l'une ou l'autre de ces étiquettes : être des dictatures, effec tives ou virtuelles, sans être honnies du peuple mais au contraire en s'appuyant sur des aspirations dominantes dans le peuple. On retrouve, par ce détour de réflexion, le problème de la démocratie. Comme chacun sait, Peuple se dit démos en grec, qui a donné démocratie, etpopulus en latin, d'où l'on a tiré populisme. Il y a

Qu’est ce que faire l’histoire des sciences sociales ? Peut on parler de science sociale ? Peut on en faire une histoire unique ? Les sciences sociales suivent toutes une même structure d’évolution, il n’y a pas d’unité des sciences sociales. La sociologie et l’économie s’ignorent globalement. À mesure que l’on avance dans l’histoire on à tendance à se spécialisée, le savoir scientifique se spécialise et à tendance à se cloisonner. Unité des sciences sociales mise en cause par les différences épistémique

– 1945) (12 h) Introduction au thème Si le régime républicain fait aujourd’hui l’unanimité dans l’opinion française, il n’en a pas toujours été ainsi et il lui a fallu s’imposer en luttant pour défendre ses principes : souveraineté de la nation, démocratie, universalité des Droits de l’homme, laïcité. Ce combat oppose une France libérale, partagée entre deux tendances radicale et modérée, mais qui se perçoit comme l’héritière de la Révolution, à une France monarchique et conservatrice ; il se noue

caractéristiques de la « démocratie providentielle ». Ce renouveau n’est pas seulement du au besoin des hommes vivant dans une société rationalisée de donner un sens au mal et au malheur. Il tient aussi à l'ambition utopique ou prométhéenne de la démocratie. L'individu devient premier, l'identification aux particularismes tend à primer sur l'aspiration à l'universel, l'expression des émotions est valorisée aux dépens du contrôle de soi, les institutions de l'Église et de la démocratie représentative sont