Démocratie Et Violence

État. En ce sens, les hommes dans leur état naturel convoitent les mêmes choses, sont méfiants et se craignent les uns les autres, c’est un état qu’il qualifie “de guerre contre tous”. La manière qui sauverait les hommes de l’insécurité et de la violence serait de “confier tout leur pouvoir et toute leur force à un seul homme ou à une seule assemblée” écrit-il. Ce contrat confère à l’État un pouvoir absolu et centralisé qui implique pour les hommes de repenser le concept de liberté. Dans une société

Venise : la « chose publique » est l’affaire des élites CSQ : la république ≠ démocratie La France a cherché à conjuguer « république et démocratie » après 1789 mais aucune nécessité à cela. La République en France a mis du temps à advenir  Csq => nombreuses confusions entre : - idéologie républicaine - la république : état social - la république : régime politique CSQ : la république n’est pas la démocratie => elle n’est pas liée au suffrage universel Ex : pas de droit de vote des femmes

Définition de la violence légitime Etymologie : Violence vient du latin violentia, violence (de caractère), fougue, emportement, humeur farouche, cruauté, rigueur (morale), dureté, dérivé de violens, violent, lui-même de vis, vigueur, force ; légitime vient du latin legitimus, fixé par les lois, conforme aux lois, légitime, légal, lui-même venant de lex, loi, droit écrit. La violence est une force non contenue, brutale, une extrême véhémence, une grande agressivité, exercée par une personne

master Études latino-américaines de l’Université nationale de San Martin à Buenos Aires. En plus de cela, elle travaille également comme chercheuse au CONICET. Son domaine de spécialisation est porté sur l’Argentine contemporaine soit la période des violences politiques dans les années 1970 et 1980 ainsi que des problèmes historiographiques reliés à ces évènements. Elle est aussi l’auteure et la codirectrice de plusieurs ouvrages sur le sujet tels que El exilio : Argentinos en Francia durante la dictadura

choses , monopole qui peut etre en partie non exercé par l'etat s'il decide de laissé une grande marge de manoeuvre aux citoyens. L'etat suppose de reussir effectivement de reussir ces engagements . Puis il y a le monopole du droit de faire de la violence. Texte n°4 : hans kelsen « theorie pure du droit » : il n'y a pas de droit positif sans droit penal , le droit penal . Une personne qui a transgressé une regle de droit est sanctionné , pour avoir sanction il faut des organes de la force publique

pas figés et la contrainte joue un rôle extrêmement minime et secondaire. Normalement ce qui crée l’obéissance le plus souvent à la norme c’est l’intériorisation des normes, le respect des parents normalement dans la famille : la contrainte et la violence ne joue rôle que lorsque le reste a échoué * Dans les société tradi = pareil, il n’y a pas d’instance qui est habilité à faire contrainte : le pouvoir du chef est essentiellement un pouvoir charismatique qui tien de l’autorité. La contrainte

de contrôler tous les aspects de la vie en société pour créer un homme nouveau. Pour cela les Etats usent de la propagande mais aussi de la violence (brutalités policières, déportation, meurtres…). Le dirigeant est un guide infaillible (duce, Vojd « petit père des peuples », führer) auquel est voué un culte de la personnalité. Cependant, malgré un usage commun de la violence envers leurs peuples (Juifs en Allemagne, propriétaires en URSS, démocrates et socialistes en Italie) des différences existent entre

relations raciales aux États-Unis. En revanche, Tocqueville, qui était fasciné par la politique américaine, écrivit un traité d'analyse politique et sociale, De la démocratie en Amérique. L'œuvre de Tocqueville deviendra la plus influente des deux. Résumé De la démocratie en Amérique est d'abord et avant tout une analyse sur la démocratie représentative républicaine, et de ses formes particulières aux États-Unis. L'œuvre se divise en deux tomes distincts, publiés l'un en 1835 , l'autre en 1840.

Pour Diderot , il existe deux forme d'autorité, la puissance qui s'acquière par violence ou la puissance qui vient du consentement du peuples, maintenant nous allons parler de la position du Roi selon Diderot dans une monarchie absolu de droit divin. Conclusion : Dans ce texte, Diderot nous parle de l'autorité politique et que pour lui il existe que deux types d'autorité. L'autorité qui s'acquière par la violence et l'autorité par consentement. Il nous précise que l'autorité a ses limites,

de vue politique. Les individus prennent position d’un point de vue politique non pas de manière libre mais en fonction de déterminisme socioculturelle, économique, démographique ect. Et que l’état un moyen de domination autour du monopole de la violence légitime. Aussi porteuse de bonne nouvelle, nous invite à dépasser les approches naïves du politique. 1) L’objet de la sociologie politique 2.1) Dépasser le sens commun : de la politique au politique : - La politique : les élections, la vie