Départ Volontaire

impériale. a) Rappel d’un des principes du Fascisme : L’Antibolchevisme b) L’exaltation d’ambitions européennes c) Mussolini porteur d’une politique de paix ? Une Guerre pour horizon ? Introduction : « Rome est notre point de départ et de référence. C’est notre symbole, notre mythe » de Benito Mussolini, ayant dégagé de sa personne une impressionnante volonté de puissance. Son grand rêve sera de redonner à L’Italie le rayonnement du grand empire méditerranéen. Le Texte qui nous

I) La genèse du totalitarisme* Comment expliquer l’instauration de régimes totalitaires ? A) En Italie et en Allemagne : des démocraties fragilisées et renversées En 1919, les démocraties italienne et allemande font face à une crise généralisée qui permet l’irruption de groupuscules violents, dont le Parti National Fasciste (PNF) en Italie et le Parti National Socialiste (NSDAP) en Allemagne. L’agitation nationaliste provoquée par « la victoire mutilée* » et le refus du traité de Versailles,

L’Italie Fasciste 1919 : À la fin de la guerre, le pays va très mal. L’Italie se retrouve divisé par de nombreuses crises au Nord/Sud. Des mesures sont prises envers l’économie qui accentue la crise. La monnaie s’effondre et les emprunts se multiplient. Toutes ses crises mettent l’Italie dans une situation de prérévolutionnaire, dont profitent les socialistes et les communistes. La cession des territoires austro-hongrois promis lors de son entré en guerre, trahis. C’est une victoire « mutilée »

Commentaire de texte du discours de Mussolini à Udine au congrès des fascistes du Frioul. Le texte étudier est un extrait (20 septembre 1920) du discours de Mussolini à Udine au congrès des fascistes. Benito Mussolini (1883-1945) est un leader socialiste Italien passé au nationalisme. Après la Première Guerre mondiale, l’Italie traverse une crise violente qui bouleverse l’économie et provoque de graves troubles sociaux. Le chômage augmente, les ouvriers réclament de meilleurs salaires. L’Italie

Mises en scène grandioses, rituels apparemment immuables, célébrations solennelles... Et si le fascisme italien avait été une religion ? Telle est la thèse, séduisante, du professeur de sciences politiques italien Emilio Gentile. Une fête politique, dans les annéesdu régime fasciste, revêt une importance exceptionnelle. Tout d'abord, le rassemblement est annoncé à l'avance, par la radio, les journaux et, dans les rues, par haut-parleur. Tout le monde en parle, se prépare : on repasse les uniformes

ans, est menacé par une contestation populaire, que la répression transforme rapidement en insurrection armée, puis en guerre civile. Quatres milices renversent le gouvernement, c'est la fin de la dictature. En Italie, sous Mussolini, la Milice volontaire pour la sécurité nationale était un corps militaire de l’Italie fasciste. Sa création est le résultat d'une délibération du Grand conseil du fascisme en janvier 1923. Initialement conçue comme une milice et utilisée exclusivement par le Parti national

Fondation du Parti national fasciste Après avoir fondé les Faisceaux italiens de combat, Mussolini en rassemble tous les membres au sein du Parti national fasciste lors du congrès de Rome. Depuis le lendemain de la Première Guerre mondiale, l’Italie est en proie à un désordre social et politique particulièrement favorable à l’expansion fasciste. Les chiffres le montreront puisque le mouvement de Mussolini comptera 300 000 adhérents avant 192"Tout dans l’État, rien contre l’État, rien hors de l’État"

« Croire, obéir, combattre » La religion fasciste [pic] Une fête politique, dans les années du régime fasciste, revêt une importance exceptionnelle. Tout d’abord, le rassemblement est annoncé à l’avance, par la radio, les journaux et, dans les rues, par haut-parleur. Tout le monde en parle, se prépare : on repasse les uniformes, on lustre les bottes, on rassemble les fanions et les emblèmes de cette nouvelle société fasciste qu’est devenue l’Italie…(…) Parfois, lorsqu’il s’agit d’un évènement

(Bresles dans l'Oise 1898 - Mengen, dans le Wurtemberg, en Allemagne, 1945) est un homme politique et journaliste français, communiste puis fasciste. Il fut pendant la Seconde Guerre mondiale l'une des figures de proue du collaborationnisme. Après son départ du Parti communiste français, il fonda le Parti populaire français, qui fut durant l'Occupation allemande l'un des deux principaux partis français de la Collaboration. Ouvrier métallurgiste, il devient secrétaire général de la Jeunesse communiste

grand-mère qui étaient-ils, Mamouchka répondait vaguement. Ce sujet lui paraissait agaçant même gênant et son grand-père également. Je me souviens lorsque Emma avait trouvé le journal de ce Jacques, elle découvrait qu'au départ il venait d'être engagé dans la Légion des volontaires français aux côtés des Allemands. Cet homme avait l'impression d'avoir trouvé l'Allemagne comme une " seconde patrie". Jacques repensait à la phrase de son père, elle lui correspondait également, celle-ci disait