Déplacements De Candide

de la modernité 1) La recherche de la main d’œuvre Après la guerre une main d’œuvre abondante était nécessaire mais celle-ci était rare. L’ouvrier français pouvait choisir son emploi (« aristocratisation ») et son lieu d’activité (instabilité, déplacement). La pénurie de travailleurs était renforcée par les « trois huit » de 1919 (8 heures de travail, 8 de loisir, 8 de repos) et la semaine de 40 heures de 1936. Pour compenser le déficit, on faisait appel aux étrangers, aux ruraux, aux vieux, aux

du texte. C’est pourquoi il est peut-être plus riche de choisir une œuvre où la fin marque une sorte de rupture par rapport aux attendus. Pensez aux effets de surprise. Ex : Cinna : la fin pose problème eu égard à la définition canonique du genre. Candide : fin ambiguë, certes positive : mais on peut en douter. La question à poser est donc qu’est-ce que « bien » ? Ce « bien » est un mot flou. L’œuvre qui finit bien serait d’abord celle qui s’achève entièrement, qui est « bien terminée ». A opposer

siècle, c'est l'utopisme français qui prend la relève. Quelques grands noms de la littérature s'inscrivent dans ce courant  : Fénelon et son Télémaque (1699)  ; Morelly avec sa Basiliade (1753) puis son Code de la nature (1755)  ; Voltaire avec Candide (1758)  ; Fontenelle et sa République des philosophes, ou Histoire des Ajaoiens (1768)  ; Bernardin de Saint-Pierre avec L'Arcadie (1781)  ; Restif de La Bretonne avec La Découverte australe, Les Gynographes, L'Andrographe (1777-1782)  ; Diderot avec

-Gargantua : publication, composition, réception -L’incipit de l’œuvre : titre, poème liminaire, prologue -Formes et enjeux du comique dans Gargantua. 2)Textes et documents complémentaires -RABELAIS Pantagruel La naissance de Pantagruel -VOLTAIRE Candide ch 3 « La guerre des Bulgares et des Abares » -KUNDERA «L’invention de l’humour » dans Les testaments trahis. 3)Corpus  tiré du manuel : ambitions et limites de l’humanisme. Extraits de MONTAIGNE «De l’expérience » (p448), D’AUBIGNE Les Tragiques

Interrogation 5. Demande de renseignement 6. Duperie 7. Complicité Première séquence 8. Manque ou méfait 9. Médiation 10. Entreprise réparatrice 11. Départ du héros 12. Première fonction du donateur 13. Réaction du héros 14. Transmission 15. Déplacement, transfert du héros 16. Combat du héros contre l'antagoniste 17. Marque 18. Victoire sur l'antagoniste Deuxième séquence 19. Réparation du méfait 20. Retour du héros 21. Poursuite 22. Secours 23. Arrivée incognito du héros 24. Imposture

proprement dits (y compris les contes merveilleux et les contes religieux) ; les contes facétieux ; les contes à formule. Il existe en fait d’autres types de contes bien connus : les contes philosophiques (les plus célèbres sont ceux de Voltaire : Candide, Zadig...) qui sont des constructions destinées à illustrer un point de vue ; les contes fantastiques nés au XVIIIe siècle avec le Diable amoureux de Cazotte qui jouent sur la confusion entre l’ordre naturel et l’ordre surnaturel ; les contes explicatifs

remplace un système par un autre. En 1944, on aura ainsi le manifeste du surréalisme et l’apparition de la revue: La Révolution Surréaliste. Le Surréalisme va donc contre l’idée du suicide qui est contraire à l’idée de révolution, on retrouve le déplacement des tendances suicidaires du dadaïsme. Cette substitution e valeurs se fait chez les surréaliste aussi grâce à l’emploi des idées de Freud. Manifeste du surréalisme Le manifeste du surréalisme entretien ce concept d’exaltation qui est lié au

l’art : de riches individus font appel aux artistes pour décorer leurs palais, leurs maisons. Autre vecteur de diffusion : l’imprimerie. On peut maintenant graver des images également sur des matrices. A la fin du quinzième siècle on assiste à un déplacement du centre géographique de la Renaissance italienne. Pourquoi ? Le facteur le plus important est un facteur politique lié à la situation en Italie à l’époque : on parle des Guerres d’Italie. Un certain nb d’expéditions françaises en Italie. Résultat

Profession de foi du Vicaire Savoyard, Emile.   De même la religiosité peut se détacher de la religion comme c’est le cas avec toutes les formes de religion ou de cultes relatifs à la vie, à l’homme, au progrès, à la patrie, au corps… Il y a eu déplacement du sacré vers des objets qui manifestent une puissance merveilleuse et terrible, c’est-à-dire qui sont sublimes, l’expérience du sublime étant la forme laïque, esthétique et entièrement subjective de la terreur sacrée. Cette sacralisation s’accorde

entre dans sa chambre. » (p. 54). Le récit passe au présent de nar‑ ration, et recourt à l’asyndète, pour mettre en avant la brutalité des événements : « il tombe de l’effort, on le lie, on le remonte dans la voiture » (p. 54). Enfin, comme dans Candide, la prison est présentée ironiquement, par des périphrases, comme un lieu luxueux et calme : « dans le château que fit construire le roi Charles V, fils 24 de Jean II, auprès de la rue Saint-Antoine, à la porte des Tournelles » et « au gîte