Déshumanisation Des Ouvriers

colonisation. -> de l'exploitation à la mondialisation. La déshumanisation => les hommes sont des machines * Énergie , technique => concentration * production artisan libéral va laisser place au ouvrier salarié. Le prolétaire => ne possèdent pas d'outils, pas des matière , ni se qu'il fabrique , il n'est que la force de production Le prolétaire : - OS ( ouvrier spécialisé ) = spécialiser dans une tâche - OQ ( ouvrier qualifié ) Il faut donc produire beaucoup pour gagner

paradoxale qu’adopte le poète -annonce du plan I Un portrait dévalorisant II L’allégorie de la misère III La place du poète I Un portrait dévalorisant : On note une certaine animalité : les comparaisons suivantes participent au processus de déshumanisation : « C’était un nègre grand comme un pongo » présence dans la citation d’indices rappelant qu’il s’agit d’une description : l’utilisation de l’imparfait et le pronom démonstratif « un gros oreillard » : suffixe péjoratif, terme polysémique, « à

sont là »p.63 « tout de même c’qu’on ne se ressemble pas ! (Barque) /-Pourquoi se ressemblerait-on ? dit Lamuse. Ça serait un miracle. »p.66 Armée hétéroclite : divers âges, toutes les races, divers accents, divers métiers (pharmacien, laboureurs, ouvriers, valet de ferme, charretier, métayer.. mais pas de profession libérale. « oui, c’est vrai, on diffère profondément. Mais pourtant on se ressemble »p.69 « c’est vrai, quand on y pense, qu’un soldat –ou même plusieurs soldats- ce n’est rien, c’est

Lecture Automatiques et minutieux, Des ouvriers silencieux Règlent le mouvement D'universel tictacquement Qui fermente de fièvre et de folie Et déchiquette, avec ses dents d'entêtement, La parole humaine abolie. Plus loin, un vacarme tonnant de chocs Monte de l'ombre et s'érige par blocs ; Et, tout à coup, cassant l'élan des violences, Des murs de bruit semblent tomber Et se taire, dans une mare de silence, Tandis que les appels exacerbés Des sifflets crus et des signaux

industrielle, et le secteur tertiaire : les services publics ou privés, vient s’ajouter aujourd’hui le secteur quaternaire qui concerne les productions sociales et écologiques. Ou si l’on préfère « l’économie solidaire », destinée à compenser la dure déshumanisation de l’économie de marché et qui se distingue par son but non lucratif. 2. Les ménages. On regroupe sous le terme « ménages » l'ensemble des individus partageant le même domicile et dont l'activité est essentiellement la consommation : célibataires

Seconde Guerre mondiale. 5. Le contexte de l’histoire L’œuvre se passe en Californie dans les années 30, pendant la crise économique. 6 . Le thème, le message et la visée de l’œuvre La misère des ouvriers est centrale dans l’œuvre. John Steinbeck met en évidence la déshumanisation des travailleurs. A travers l’histoire de George Milton et Lennie Small, il montre combien l’amitié et l’espoir soutiennent ces pauvres hommes qui n‘ont rien.

) -Les ouvriers (cas particulier des affectés spéciaux) : inflation, condition de travail .. MAIS journée de 8h (23 avril 1919), conventions collectives (mars 1919), montée en puissance du mouvement ouvrier. -La bourgeoisie et les classes moyennes (baisse des revenus, problèmes de réinsertion). -Il y a quelques bénéficiaires : élites dirigeantes, entreprises du complexe militaro-industriel.) 2)« Le renforcement des acteurs collectifs » (Sirinelli) Les syndicats ouvriers : CGT, CFTC

centrales | -mutilé /homme détruit(physiquement, moralement)=ancien combattant, ouvrier ou paysan = les hommes qui ont tous perdus (leur corps et a force du travail)=perte de dignité(pantin déshumanisé) | | La fillette :Orpheline ?ou avec le mendiant/écrit sur les murs -membre disloqués -visage grotesque( traits exagérés :mâchoire en avant/œil fixe =ressemble à une poupée démontée | Orphelines de guerre =déshumanisation(contraire de la beauté de l’enfance) | | Les « bouts » de personnage :A gauche :-

sur son sort et rappeler que ces sévices étaient tolérés et donc devenus habituels et admis : «c’est l’usage» (formule au présent de vérité générale) / «quand...quand» : effet accumulatif renforcé par le pronom impersonnel «on» qui renvoie à la déshumanisation des pratiques esclavagistes = absurdité des pratiques rendue par la froide objectivité du constat du nègre la réaction de candide : compassion intensifiée par les exclamations et les interrogations + adjectif «horrible» : cette spontanéité

détenir une. Le travail devient alors une valeur, on se distingue par celui-ci. Le travail est source d'honorabilité, c'est un signe de respectabilité. On peut donc accorder au travail une valeur existentielle et sociale celui-ci sauve de la déshumanisation qu’engendre souvent l’exclusion. Autrement dit, sans travail, les individus ne seraient pas intégrés. Le travail est donc nécessaire pour un certain bien-être malgré le fait qu’il exige un effort et de la peine. Ce paradoxe est bien souvent mis