Désindustrialisation

les espaces industriels du Nord et de l’Est qui peuvent être en crise ou en reconversion et sont donc de ce fait en marge. Face à la baisse du nombre d’emplois industriels et de la part de l’industrie dans le PIB français, on parle parfois de désindustrialisation de la France. Mais cette affirmation est à nuancer : en effet, la baisse des actifs dans l’industrie est surtout due à la tertiarisation de l’économie française et aux gains de productivité. Il s’agit principalement d’anciens espaces de production

60% de l’emploi est dans le secteur des services, et 66% dans les Bouches des Rhône. Il se passe avec l’industrie, ce qu’il s’est passé avec l’agriculture : croissance de la productivité et reflux de l’emploi. On assiste à un phénomène de désindustrialisation. Pourtant les faits sont en avance sur les mentalités : - pour les français, seule la production industrielle est noble - les services sont perçus comme « accompagnateurs » du développement industriel. - primauté

échanges) - essor et concentration des services et des fonctions rares, de haut niveau (tertiaire supérieur) dans les villes : politique, décisions, gestion des flux immatériels (info, finance, conception…), commerce, culture… - relative désindustrialisation des métropoles européennes - concentration des emplois les + qualifiés dans les métropoles  Le poids des métropoles en Europe - distribution sélective des activités décisionnelles  quelques grandes villes sont privilégiées  renforcement

éco s’accroit. Traduit mauvaise adéquation entre demande & offres d’emploi Délocalisation : fermeture d’une usine afin de la rouvrir ds un autre pays Stagflation : situation de l’éco combinant faible croissance & inflation Désindustrialisation : baisse production ind ds prod totale d’une éco nationale => fermeture usines & apparition région friches ind. Néolibéralisme : doctrine critiquant intervention etat dans éco & soc Nouvelle économie : réorganisation de l’activité

olympiques. Le patrimoine français attire près de 80 millions de touristes par an. Mais aujourd’hui, la France n’est plus qu’une puissance moyenne : elle est confrontée à des difficultés économiques telles que l’explosion du chômage liée à la désindustrialisation. Son influence dans le monde recule. 3. La population française est ouverte sur le monde : 60 % des Français vivent sur 8 % du territoire mais, actuellement, on assiste à une radistrution de cette population, de plus attirée par les régions

une photo mettant en valeur une friche industrielle, l’Île de Séguin à Boulogne-Billancourt en 2002. Cette friche industrielle a été l’un des principaux sites du constructeur automobile Renaud entre 1929 et 1992. L’image est symbole de la désindustrialisation. 1970  choc pétrolier, croissance freinée donc conséquences sur certains secteurs d’activité dont l’industrie : on voit les conséquences ici. 8) D’après le document 6, le taux de chômage a fortement augmenté des années 1970 à nos jours (il

difficultés croissantes en Occident fait consensus : fin d’une hégémonie économique, concurrence asiatique, endettement endémique… Parmi les causes de la crise, la mondialisation et la financiarisation sont les plus citées, unanimement. La désindustrialisation en est une autre, qui fait débat. Dès la fin des Trente Glorieuses, quelques visionnaires comme Alvin Toffler ou Daniel Bell avaient annoncé « l’ère postindustrielle ». Avant même la crise financière, de nombreux économistes s’interrogeaient

les navires à gros tonnage malgré surcreusement comme à NY - accentuation de la suburbanisation et développement de nouveaux centres périphérique - L’espace qui reste le plus animé est NY avec 150 Mt de trafic annuel mais en crise car désindustrialisation, domination côte ouest pour les conteneurs concurrence avec le saint Laurent (NY 15 % trafic des ports Us en 1960 et que 5% en 2000) - Recomposition avec le Saint Laurent avec principalement Duluth à l’extrémité occidentale du lac Supérieur

dans les entreprises notamment multinationales comme la compression des salaires nominaux dans le partage de la valeur ajoutée, la substitution du capital au travail à l'œuvre ou les choix d’investissement à l’étranger (délocalisations, désindustrialisation, automatisation) finissent par déprimer la demande des ménages. Transition : L’investissement contribue à la croissance économique en tant qu’emploi du PIB et en tant que facteur d’offre qui accroît et modernise le stock de capital des

autres classes car elle aussi « s’embourgeoisait ». Pendant la période de Marx, le collectif ouvrier était très fort, dus à une cohésion d’individus forte pendant la révolution Industrielle, mais pendant les « Trente Glorieuses », il y a la désindustrialisation, il y a une baisse des grands établissements, donc les ouvriers n’ont plus de lieu pour créer des liens, par conséquent le collectif ouvrier s’affaiblit. La tertiarisation grandie et les ouvriers deviennent opérateurs, leurs métiers sont moins