Désindustrialisation

(Chine subventions à ses entreprises et les terres rares, Brésil et les 30% de taxes sur les voitures), -dévaluations impossibles en Europe -vision des salaires comme un coût : compromis fordiste, oubli des bénéfices de la productivité -désindustrialisation -transfert de technologie limitant la spécialisation de pointe -destruction d’emplois dans les secteurs soumis à une forte concurrence étrangère à moindre coût. Olivier Todd (« L’illusion économique » 1999) : l’Europe doit augmenter son tarif

et de matières, une stratégie où le consommateur et le citoyen peuvent jouer un rôle actif grâce aux signaux (prix différenciés, informations, formations) qui leur sont donnés. Ce découplage ne saurait reposer sur la désindustrialisation de notre économie. Une telle désindustrialisation réduirait notre potentiel d'innovation et d'emploi sans bénéfice pour la lutte contre le changement climatique si la production nationale était simplement remplacée par des importations en provenance de pays ayant un

concurrence monopolistique qui rend compte de l’intra branche, en mobilisant l’argument de la différenciation du produit et de la demande de variété. En revanche pour Lorenzi cette nouvelle théorie butte sur deux obstacles : Le premier est que la désindustrialisation de certains pays que la nouvelle théorie tente d’expliquer ne peut pas être exclusivement expliquée par les choix de localisation des multinationales, elle peut être la cause de plusieurs facteurs à savoir l’évolution des besoins et le progrès

mondiales crée encore près du tiers de leur richesse grâce à l’industrie. C - L’industrie est un creuset d’innovation et dispose de marge de productivités élevée : le mythe a fait long feu de la nouvelle économie Et les économie qui vivent une désindustrialisation avancée on des problèmes : c’ets un vrai problème dans la compétition internationale : ils ont du mal à lutter contre la concurrence de pays émergents qui développent l’industrie II mais les liens entre industrialisation, croissance et

Changement : mécanisation, produit chimique mais 2015 = comeback agric. Trad. 2. L’essor du monde ouvrier Période industrialisation : ++ emploi industriel : 4 à 7% jusqu’à 8,3M en 1975 Baisse à cause : automatisation usines, délocalisations = désindustrialisation Hétérogène rapport entre petit ouvrier et PDG d’une grande entreprise ? salaire variable entre ouvrier sans qualification et un avec. 3. Condition de travail qui s’améliore Identité ouvrier sur le travail : dépendant d’un patron ( embauche

comparé aux 4 millions d’emplois recensés dans le secteur industriel, le phénomène de délocalisation est donc très limité. Cependant, les échanges commerciaux entre la France et les pays émergents (Chine, Inde) restent la cause principale de la désindustrialisation. En effet, le fait que les français achètent plus de produits étrangers pour des raisons d’économie entraîne une augmentation des bénéfices pour les entreprises étrangères qui produisent plus au détriment des entreprises françaises qui délocalisent

infrastructures de transport et de logistique le permettent. Les grandes villes qui ont su diversifier leurs activités industrielles ont mieux résisté à la crise qui sévit depuis la fin des années 1970. Mais dans de nombreuses villes, on a connu la désindustrialisation (friches industrielles). De nos jours, beaucoup de délocalisations s’effectuent dans des pays où la main d'oeuvre est moins chère (ex : textile, automobile). Malgré la crise, les industries continuent de s’installer là où les communications

Elle na pas beneficié des même facteur favorables que Angleterre2. Le destin des empires orientaux aux 18e et 19e siècles Phénomène de puissance industriel en Europe qui pousse aux déclins des empires orientaux. Industrie en Europe provoque désindustrialisation dans les empires 3 facteurs expliquent l’évolution contrastée (= la Grande Divergence) des Empires et de l’Europe de l’Ouest :· La technologie càd la Révolution Technique : innovation au cours de la Ri anglaise ont fait explosé la productivité

des États-Unis et d’Europe, et les chiffres des emplois créés dans ces mêmes industries en Asie du Sud-Est. La convergence de ces deux statistiques (6,5 millions dans les deux cas) est troublante mais on sait que d’autres facteurs ont influencé la désindustrialisation des pays riches : la robotisation et la tertiarisation de l’économie par exemple. La Délocalisation crée un dumping social déloyal,envers les emplois des pays riches. Des études montrent qu’en réalité, la nature et les causes des délocalisations

dans les années 80, deux phénomènes liés vont participer à la baisse du nombre d’ouvriers : il s’agit de la délocalisation et de la désindustrialisation. Les délocalisations, qui apparaissent à cette période et qui désignent les transferts à l’étranger d’une activité existante en France suivi de l’importation de cette production, nourrissent la désindustrialisation, ce qui conduit alors à des licenciements dans les secteurs économiques traditionnels, et qui va engendrer par la suite, la fermeture