Désirer Irrationnel

condition universelle de l’homme. Pour lui l’homme, Adam et Eve - gouttant au fruit défendu – sont encore dans leur état naturel, et donc, encore ignorant. On peut alors ramener, le principe d’ignorance, au principe d’innocence. En effet un homme irrationnel commettant le « mal » (si il peut être ainsi appelé), et qui n’en a pas connaissance, étant donc un ignorant, peut être considéré comme innocent. L’exemple de l’enfant, illustre correctement mais de manière restreinte cette notion : l’enfant,

LIBERTE, DESIR, RAISON, MORALE, AUTRUI, LE BONHEUR | I – Approche matérialiste de la liberté. La délibération n'est-elle qu'une illusion ? La responsabilité morale. La vertu et la liberté. Peut-on vouloir le mal ? II – Raison, liberté et bonheur. L'ambivalence de la liberté. «  La libre disposition de nos volonté » de DESCARTES. La liberté et le bonheur sont impériale. Sujet BAC : Suffit-il de se sentir

s’agit d’une illusion, d’une tromperie normalement de notre perception visuelle qui a ses limites. Qu’est-ce qu’une illusion ? Le mot illusion vient du latin illudere qui signifie « jouer, se tromper ». Il désigne la satisfaction imaginaire d’un désir. Elle se base sur les impressions, l’apparence, l’ignorance du citoyen. L’individu est alors en dehors de la vérité. Elle commence quand une idée simple est confondue avec des connaissances. L’illusion n’est pas semblable à l’erreur car cette dernière

rationnelle. La raison paraît entrer en conflit avec la religion, en tant par exemple qu'elle promeut un savoir qui a pu contredire les certitudes religieuses antérieures. ■ Toutefois, on peut se demander si les vérités religieuses sont nécessairement irrationnelles et si la raison ne peut également conduire la pensée au seuil de la croyance religieuse. ■ Le problème est alors de savoir si la raison entre nécessairement en conflit avec la croyance ? 1. Épicure : la raison contre la religion ■ Lucrèce

limite : restriction condition : nécessaire et/ou suffisante liberté : absence de contrainte, faire ce qui me plaît (/désir), ce qu'on veut (/volonté, libre-arbitre, obligation, autonomie), connaissance des déterminismes Problème : rapport entre autrui et ma liberté de sujet Problématisation : Spontanément autrui semble s'opposer à ma liberté, poser des limites à mon désir. Mais cette définition de la liberté comme absence de contrainte me condamne à une absolue solitude et pose donc des problèmes

lesquelles il n'a pas de prise. Pour cette raison, « la liberté consiste à vouloir que les choses arrivent [...] comme elles arrivent ». mots clés : philosophie[->0], liberté[->1], autonomie[->2], indépendance[->3], sagesse[->4], contrainte[->5], désir[->6], volonté[->7], frey[->8] Présentation Au moment où mes élèves découvrent ce texte, le cours a déjà mis en question le rapport de l'homme au monde, la confrontation du moi à une nature obéissant à des forces incontrôlables menaçant à la fois

dérive constante des activités sportives, qui à l'origine ont pour rôles de resserrer les liens au sein d'un groupe, pour devenir synonyme d'abus en tout genre au profit de quelques intérêts particuliers et exacerbe par la même occasion un fanatisme irrationnel, ferment d'une inconscience collective dégénérative. Et pour finir, il met au banc des accusés l'économie libérale dont l'origine est une convergence d'égoïsme entre ceux qui désirent vendre au plus cher et ceux qui désirent acheter au moins cher

phénomènes : * Les préjugés : ils nous rendent irrationnels car tout le monde a des préjugés. Ils nous empêchent d’être objectifs, de voir les choses de façon réelle. * Les passions : peuvent être dangereuses. Comme l’amour passionné, cela bouleverse notre vision objective. Un homme passionné peut détruire les autres et se détruire lui-même. * Les désirs : sont ce que nous voulons. Nous sommes des êtres qui désirent sans arrêt. Or qui dit désir, dit manque, il y a donc frustration/souffrance

N'est-ce pas plutôt faire ce que l'on veut ? Encore faudrait-il avoir des raisons d'agir puisque pour faire ce que l'on veut , il faut savoir ce que l'on veut. Alors comment faire ce que l'on veut sans avoir des raisons d'agir ? Encore faut-il éviter le désir et les pulsions humaines. Alors quelle est la véritable liberté : celle du plaisir ou celle de la conduite raisonnable, sage ? I : être libre, c'est satisfaire ses désirs Faut-il être nécessairement raisonnable pour être libre ? ce conduire

philosophie Les passions   Les enjeux de la notion – une première définition   On peut définir une passion comme un état psychique causé par des objets extérieurs qui sollicitent de manière spontanée des facultés de l’homme comme la sensibilité ou le désir. Connaître les passions, leur nature, leurs causes et leurs effets a toujours été une tâche essentielle de la philosophie. Si tel est le cas, c’est parce que les passions ont le plus souvent semblées s’opposer au projet de la philosophie. D’un point