Désobéir Peut Il Etre Un Droit

Dans la société dans laquelle nous vivons aujourd’hui et dans laquelle nous avons vécu autrefois, plusieurs similitudes à l’égard du comportement humain peuvent être constatées. Notamment, l’aspect du stress chez l’homme a toujours été présent, la façon dont nous agissons face à une situation mettant notre conscience en avant plan, les gestes que nous posons lorsque nous nous retrouvons en position de soumission, etc. Il y a également l’aspect d’obéissance envers l’autorité qui a suscité beaucoup

même réfléchir au sens et aux conséquences de ces règles qui nous sont imposées. Mais, le fait d'agir de cette façon, sans se poser de questions ne peut-il pas devenir dangereux ? Faut-il vraiment se soumettre à l'autorité et cela sans jamais se remettre en question ? Je vais ainsi démontrer l'importance qu'a l'autorité dans notre société et jusqu’où peut-on vraiment se soumettre sans que cela aille à l'encontre de certaines valeurs et devienne une autorité néfaste. Tout d'abord, comme nous le savons

LE DROIT I/Le droit, fait culturel : Pour commencer, posons-nous la question de savoir ce qu’est le Droit : qu’est-ce que c’est donc ? A priori rien de bien compliqué, le droit ce sont les règles de vie en communauté, celles qui font que les Hommes peuvent vivre ensembles. La société repose sur le droit. On voit ce que l’on a avec, réfléchissons à ce que nous aurions si il n’y avait pas le droit : la violence. Une société repose sur le droit donc quand le droit s’en va il n’y a plus de société

règle de droit applicable à la conclusion du contrat, la meilleure manière de réparer ce non-respect de la règle de droit est d’anéantir ce contrat par le jeu d’une action d’annulation. • Les sanctions punitives, relevant essentiellement du droit pénal. Cependant, le droit pénal n’est pas le seul qui propose des sanctions punitives en cas de manquement à la règle de droit. Exceptionnellement, le droit civil peut aussi le faire. Les fondements de l'obéissance au droit Les philosophes du droit s’interrogent

LE DROIT I) ETHYMOLOGIE Droit et justice comprennent les règles qui régissent les rapports humains en société. Ils se disent « jus » ce qui est droit ou juste. II) COMMENT RESTER JUSTE QUAND ON A A EXERCER LE DROIT ? Un jugement n’est pas forcément justice. Le droit rend le moins d’injustice possible. « Puisqu’ on n’a pas fait que la justice fut forte, on a fait que la force fut juste » PASCAL. Qu’est ce qui permettrait à la justice d’être forte ? Serait- ce le droit ? Peut-on

comportements de l’américain Thoreau 2 qui refusa de payer ses impôts pour protester contre les lois esclavagistes, la désobéissance civile demeure surtout associée aux campagnes massives de désobéissance contre la guerre du Vietnam ou au mouvement pour les droits civiques. La désobéissance civile est une infraction consciente et intentionnelle, au nom de principes supérieurs. Publique, elle s’inscrit dans un mouvement collectif 3 . Cette définition succincte a le mérite de ne pas préciser les conditions, à

I-) Les fondements du droit Parmi ces fondements du droit on peut distinguer deux catégories. Tout dʼabord ce quʼon peut appeler le fondement religieux, puis dans une deuxième temps les fondements du droit. A) Fondement religieux Aujourdʼhui la France sʼauto-définit comme une république qui a divers caractères et qui est démocratique, sociale, décentralisée, mais surtout cette république est laïque. Le droit à ceci dʼunique, quʼil est un choix exprimé par la puissance publique (lʼEtat),

Commentaire de philosophie Dans le texte « le droit du plus fort » tiré du contrat social, un ouvrage de philosophie politique, Rousseau analyse et s’interroge sur le thème de l’autorité politique. Les grands thèmes du texte sont bien évidemment le droit et la force qui se décomposent en différents sous thèmes. Effectivement, on rencontre le thème de l’obligation ainsi que celui de la volonté qui s’y oppose. Ensuite, on trouve le thème du devoir, de conscience et d’obligation et pour finir, le

aussi une contrainte de la vie de famille. On se sent toujours un peu en compétition avec sa sœur ou son frère pour être la ou le meilleur aux yeux des parents. Cette rivalité peut avoir lieu au niveau scolaire, lorsque nos résultats sont moins bons que ceux de l’autre, on peut avoir l’impression que les parents font des comparaisons, et cela touche notre égo. Les rivalités peuvent être aussi duent à la différence d’âge, lorsqu’on accueil un nouveau petit frère ou petite sœur, l’attention est parfois

d'obéir. * Être soumis à une force, une action, une règle par une nécessité naturelle : Les corps obéissent à la pesanteur. •renoncer : Abandonner un droit, une idée, se défaire, se dessaisir, se démettre. •liberté : Ce mot, en philosophie a trois sens : 1° Libre arbitre. Pouvoir mystérieux de choisir entre les motifs qui me sollicitent sans être déterminé par aucun d'eux. 2° Liberté de spontanéité. S'oppose non plus au déterminisme mais à la contrainte : état de celui qui agit sans être contraint