Désobéir Peut Il Etre Un Droit

Lundi 19 septembre 2011 INTRODUCTION AU DROIT LES EVALUATIONS Nous avons deux notes par semestre : _ Test électronique : à faire sur le site EUAPV à partir du 7 au 13 novembre * 2456 (la clé pour faire le test) * C’est un questionnaire (en dix questions) à faire en 20 minutes. Le test est disponible là où se passe le cour, sur le site de la fac, puisque ce sont

n'est jamais fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit et l'obéissance en devoir. De là le droit du plus fort ; droit pris ironiquement en apparence et réellement établi en principe. Mais ne nous expliquera-t-on jamais ce mot ? La force est une puissance physique ; je ne vois point quelle moralité peut résulter de ses effets. Céder à la force est un acte de nécessité, non de volonté; c'est tout au plus un acte de prudence. En quel sens pourra-ce être un devoir ? Supposons

ce même sentiment de gloire et d’être couronné de succès.On peut alors même se demander si nos sociétés ne se sont pas basées et construites sur la violence avant d’être ce qu’elles sont actuellement ? Car à travers le meurtre d’Abel par son frère Caïn, la Genèse tente de montrer que la violence extrême est au prémisse de la civilisation humaine.Enfin, l’envie est source de conflits car elle mène à la jalousie et à la violence qui peut, quant à elle, causer des actes très graves comme, ici, le meurtre

A première vue, obéir aux lois, c'est en effet renoncer à être libre, c'est-à-dire abandonner volontairement sa liberté naturelle. Celui qui se soumet à la volonté d'un autre, en effet, a choisi de lui remettre son pouvoir de décision. On pourrait dire qu'il a choisi de ne plus choisir, décidé de ne plus décider, qu'il s'est libéré de sa liberté. Mais à la réflexion, cette renonciation volontaire décharge-t-elle vraiment le sujet de sa liberté? On sait qu'il ne suffit pas, pour excuser ou justifier

Le contrat social, Rousseau L’enjeu du contrat social : à quelles conditions un pouvoir peut-il être légitime, ou comment les hommes peuvent-ils être associés sans être dépendants les uns des autres ? Lien avec le second discours : l’homme est né libre, et partout il est dans les fers => décalage entre la nature de l’homme qui le destinait à la liberté et son histoire qu’il a voué à la servitude. L’Histoire est pensée par Rousseau comme une dénaturation, une perte de la nature. Dans le second

(article 205 du Code civil) ne concerne pas seulement la nourriture. Les “aliments”, au sens juridique du terme, recouvrent en fait les besoins fondamentaux de la personne humaine : nourriture mais aussi habillement, soins, logement, etc. La pension peut être versée en espèces ou en nature (hébergement, etc.). Par définition, une pension alimentaire est toujours proportionnelle à la fois aux ressources de celui qui la verse (le débiteur) et aux besoins de celui qui la reçoit (le créancier). L'entraide

grave quand on fait le mauvais choix. Exemple : si on peut choisir notre conjoint et qu’on fait le mauvais choix?Si on peut choisir notre métier et qu’on fait le mauvais choix?Si quelqu’un peut posséder quelque chose que je n’ai pas, je pourrais être envieux… -C’est par contre injuste que ce ne soit qu’un seul individu (le passeur) quoi doivent mémoriser les souvenirs du passé (bons et mauvais). Cela est douloureux pour cette personne et il ne peut jamais en parler. Cela isole le dépositaire de la mémoire

Sujet de Philosophie : « Être un sujet, est-ce être un être libre ?» On parle de sujet pour désigner un être connaissant et qui existe, contrairement à un objet, connu, qui se contente d’être. Ce qui donne à un être d’être un sujet, c’est son identité, qui lui permet « d’exister », d’inventer sa propre existence ; car exister n’est pas seulement être en vie, c’est pouvoir agir librement à partir de sa pensée, de sa conscience, voire de sa volonté. Le philosophe René Descartes est l’un des premiers

injuste ? » on oppose deux principes fondamentaux du droit : le droit naturel et le droit positif. Le droit naturel est ce que la conscience morale et la raison de l’homme reconnaît comme étant légitime et juste. Le droit positif est un droit voulu par l’homme. C’est un système juridique institué dans une société particulière contrairement au droit naturelle qui est présent de façon universelle chez l’homme. Ainsi une loi en vigueur provient du droit positif et si celle ci paraît comme étant injuste

Les différences entre droit naturel et droit positif : deux notions semblants inconciliantes B. L’opposition existante entre un fondement concret et un fondement abstrait II - Idéalisme et positivisme, deux notions complémentaires A. Une conception du droit positif et du jusnaturalisme critiquable B. Une éventuelle conciliation pour un droit parfait ? Le sujet est « Idéalisme et Positivisme ». L’idéalisme et le positivisme sont deux courants fondamentaux du droit, les idéalistes pensent