Désobéissance Criminelle

obéissons à une autorité (un gouvernement, par exemple), car nous la pensons légitime. 5. Pourquoi a-t-on pu imaginer que Gandhi s’est inspiré de La Boétie ? Gandhi était un des grands instigateurs de la résistance à l’oppression, par la désobéissance civile non-violente. Nous pouvons alors comprendre pourquoi il s’est inspiré de la Boétie : il voulait mener un combat contre toutes les formes de pouvoir « auto-proclamées » (donc, non légitimes), et plus généralement, contre toutes les formes

gestion des colonies. Ce sont ces hommes qui sont au cœur du processus d’indépendance : Gandhi, Nehru et Jinnah, tous trois avocats formés à Londres. a. Gandhi Ancien avocat du barreau de Londres, Gandhi adepte de la résistance passive et de la désobéissance civile non violentes a été l’artisan principal de l’indépendance de l’Inde. Dès 1930 il entame «  la marche du sel », un parcours de 400 kilomètres qui le mène au bord de l’océan. Là, il montre aux Hindous présents que l’on peut se procurer

La SCLC est une organisation pacifique qui participe activement au Mouvement pour les Droits Civiques en organisant les églises afro-américaines pour conduire des protestations non violentes .A cette même année Martin adhere à la philosophie de désobéissance civile non violente lancée par Gandhi.En 1958, il écrir un livre Stride toward freedom; the Montgomery story (en francais : la marche vers la liberté) où il exprime son point de vue sur le ségrégation et l'inégalité vis à vis des noirs. Un passage

Pourtant, quelques groupuscules de résistants vont voir le jour, ne supportant plus cette violation de la neutralité et des libertés. Pour qualifier la Résistance danoise, l’historien danois Jorgen Haestrup la nomme « passive » et parle même de « désobéissance civile » qui est un processus spontané et non armé des populations qui se soulèvent contre cette agression dont elle est victime. Mais peut-on vraiment parler d’une résistance passive ? Pour tenter de répondre à cette question, nous allons

qui suivent un combat de résistance non violente et de non-coopération face aux autorités d'Afrique du Sud. Influencé par l'écrivain américain Henry David Thoreau (1817-1862), il développe en 1909 ses théories du combat par la non-violence et la désobéissance civile de masse, la satyagraha, dans un ouvrage intitulé "Hind Swaraj".Ayant obtenu des avancées significatives en 1914 de la part du gouvernement sud-africain, Gandhi retourne en Inde, qu'il parcourt pour mieux la connaître. Considérant que, pour

Satyagraha Le Satyagraha («la force née de la vérité et de l'amour ou non-violence ») est l'aboutissement de cette vérité contre des lois ou des systèmes injustes au travers d'une lutte non violente. Gandhi considère même le satyagraha supérieur à la désobéissance civile ou à la résistance civile car le terme 2 wikipédia.com/gandhi Page 6/33 La non-violence à travers Gandhi 11.03.2011 implique de servir une cause juste et devenait de ce fait l'arme des forts et non plus l'arme des faibles

CORRECTION – La décolonisation de l’Inde – 3G QUESTIONS : 1) Les Indiens appliquent la désobéissance civile c'est-à-dire qu’ils refusent de payer les taxes. 2) Le gouvernement est favorable à l’indépendance et au maintien de liens forts entre l’Inde et la GB. 3) Deux Etats sont crées en 1947 après l’indépendance :   L’Union Indienne peuplée d’Hindous Le Pakistan peuplé en majorité des musulmans. 4) Il y a eu beaucoup de violences d’origine religieuses. Gandhi est mort lors de ces émeutes.

n'est pas tout à fait idéale, elle nous permet pourtant de vivre dans un monde plus ou moins juste. La meilleure attitude semblerait donc de désobéir aux lois illégitime non pas dans un intérêt fixe mais plutôt afin de les rendre plus juste : la désobéissance civile pour rendre légitime le légal. Cela présuppose évidemment la volonté d’obéir aux lois justes. On voit donc après tout cela que la vraie justice ne peut se faire sans l’obéissance à la loi ou sans la justice morale. Les deux sont compléments

train de première classe, il s'érige en défenseur des immigrants indiens et forge une doctrine originale fondée sur la non-violence, la maîtrise de soi et le respect de la vérité (la «satyagraha»). Il préconise en vertu de cette doctrine la désobéissance passive et collective pour lutter contre les discriminations et remporte de spectaculaires succès face aux gouvernants britanniques. Mais c'est au prix de plusieurs séjours en prison. Néanmoins, ill se comporte loyalement à l'égard des Britanniques

réclame ». Pourriez-vous nous éclaircir sur ce que vous faites et quelles sont vos revendications ? Benoit Tossel : Premierement, pour mener une lutte contre la publicité, tout comme les déboulonneurs nous mettons en place des opérations de désobéissance civile non-violente , ainsi que des opérations de sensibilisation de l’opinion publique sur les dangers de la publicité tout comme. Cependant nos revendications diffèrents des leurs : nous luttons pour un environnement urbain sans affichage tandis