E Thème De La Nature Dans Les Contemplations De Hugo

lyrique. Quelle valeur précise accorder au Je qui s'exprime dans les poèmes? Devons-nous l'identifier parfaitement au poète et le traiter comme un sujet autobiographique? C'est un peu ce à quoi semble nous inviter un recueil comme Les Contemplations (1856) de Victor Hugo – recueil qui est présenté dans la préface comme les « mémoires d'une âme ». Devons-nous au contraire traiter le je lyrique comme une fiction, ainsi que nous y inclinent des poèmes comme La Jeune Parque (1917) de Paul Valéry, où le

la lettre l, et ramenez l'arbitraire en imposant cette lettre pour initiale au mot qui suivra. » (André Breton, Manifeste du surréalisme –c’est nous qui soulignons) 7) Les « précurseurs » - reconnus par Breton et mentionnés dans les Manifestes : Hugo, Nerval, Poe, Baudelaire, Rimbaud, Lautréamont… + Apollinaire : les Mamelles de Tirésias, le Roi-Lune… "Il était beau comme la rencontre fortuite d'un parapluie et d'une machine à écrire sur une table de dissection" (Lautréamont) 8) La postérité

contre toute forme de soumission ou d’acquiescement. Elle “vise” la tyrannie, la barbarie, la discrimination. Qu’il s’agisse des Tragiques d’Agrippa d’Aubigné qui “vise” les guerres de religion qui “afflig[ent]” la France, des Châtiments de Victor Hugo qui “vise” et ridiculise Napoléon III, de La Diane Française d’Aragon, ou des “Feuillets d’Hypnos” de René Char, les mots deviennent des armes. Forger des phrases, c’est alors prendre les armes pour un corps-à-corps textuel, pour une lutte qui “vise

du siècle » Expression des sentiments. Amour pour la nature et pour un « ailleurs idéal. Formes libres Refus des épanchements romantiques, poésie descriptive, la seule raison d’être des oeuvres est la beauté Suggérer plutôt que nommer ou décrire, importance des sensations, subjectivité de la connaissance A la fois un art et un mode de vie. Auteurs cherchent à dévoiler le surréel dans leur vie. Ecriture libre de toute règle Auteurs Victor Hugo, Arthur Rimbaud, Alphonse de Lamartine Hérédia, Th. Gautier

rudesse bravache et virile », « protestation bourrue contre le féminisme de la tradition poétique ». Mais ce qui importe dans ces poèmes, n’est-ce pas la densité des formules et des rythmes qui faisaient dire à Baudelaire : « Je connais un poète, d’une nature toujours orageuse et vibrante, qu’un vers de Malherbe, symétrique et carré de mélodie, jette dans de longues extases. » Réponses aux questions Observation 1. La question invite à un exercice de reformulation qui permettra de vérifier la compréhension

lyrique. Quelle valeur précise accorder au Je qui s'exprime dans les poèmes? Devons-nous l'identifier parfaitement au poète et le traiter comme un sujet autobiographique? C'est un peu ce à quoi semble nous inviter un recueil comme Les Contemplations (1856) de Victor Hugo – recueil qui est présenté dans la préface comme les mémoires d'une âme. Devons-nous au contraire traiter le je lyrique comme une fiction, ainsi que nous y inclinent des poèmes comme La Jeune Parque (1917) de Paul Valéry, où le je qui

poétique et quête du sens, du Moyen Âge à nos jours ..................................................163 Séquence 10 Les jeux de l’amour .......................................................................165 Séquence 11 Histoire des arts : Dame Nature en son jardin ..............................185 Séquence 12 Le poète, arpenteur du monde ......................................................192 Séquence 13 Parcours de lecteur : Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 .........213 Vers le bac :

proverbe que le public devait deviner. Passe-temps choisi de la vie mondaine, ce genre perdure au cours du XVIIIème siècle jusqu'à la Révolution. Ch. Collé (1709-1783) et surtout Carmontelle (17171806) en sont les auteurs renommés. Sous la Restauration, E. Scribe et Th. Leclerc donnent au genre une seconde jeunesse: l'intention satirique s'y trouve renforcée. Musset, tôt initié par son grand-père à goûter l'art du proverbe, a donné à Il ne faut jurer de rien un cadre et une ambition qui l'apparentent

le public devait deviner. Passe-temps choisi de la vie mondaine, ce genre perdure au cours du XVIIIème siècle jusqu'à la Révolution. Ch. Collé (1709-1783) et surtout Carmontelle (1717​1806) en sont les auteurs renommés. Sous la Restauration, E. Scribe et Th. Leclerc donnent au genre une seconde jeunesse: l'intention satirique s'y trouve renforcée. Musset, tôt initié par son grand-père à goûter l'art du proverbe, a donné à Il ne faut jurer derien un cadre

Todes. Ein Beitrag zu einer Literaturgeschichte des Wassers." Arcadia 1 (1966): 18-30. Blumenberg, Hans. Schiffbruch mit Zuschauer. Frankfurt: Suhrkamp, 1979. Borea, Evelina. (ed.) Tevere, un'antica via per il mediterraneo. Rome: Istituto Poligrafico e Zecca dello Stato, 1986 [imagery and myths of Tiber river]. Bourke, John. The Sea as a Symbol in English Poetry. Eton: Alden and Blackwell, 1954. Bullock, Amy. "The Sea in Anglo-Saxon Poetry." Thesis, Boston University, 1909. Carlson, Patricia Ann