Eau de surface

–chimique et bactériologiques. II. Introduction L'eau de la planète bleue est à 97,2 % salée. Cette eau salée se retrouve dans les océans, les mers intérieures, mais aussi dans certaines nappes souterraines. L'eau douce, elle, représente donc 2,8 % de l'eau totale du globe. Dans ce faible pourcentage, les glaces polaires représentent 2,15 %, les eaux souterraines 0,63 %, les eaux de surface (lacs, fleuves et rivières) seulement 0,019 %. Reste 0,001 % pour l'atmosphère.         La molécule :

et l’évaporation nous allons mesurer la perte massique en eau du potomètre et de la bassine sous deux intensités lumineuse de 100 lux et de 1000 lux. Pour obtenir l’évaporation ainsi que la transpiration il faut mesurer la surface total de la bassine et des feuilles de maïs. Pour calculer la surface de la bassine il faut prendre ¶*R², par contre pour les feuilles nous avons deux types de calcules : 1ère méthode : il faut mesurer la surface d’un échantillon de feuille provenant de son centre, on peut

(glaciers). 70% de 3% est donc présente sous forme solide. C’est le cas de l’antarctique (S) et de l’Arctique (N) ainsi que les glaciers de montagne. Le reste est présent sous forme liquide soit dans des nappes phréatiques soit dasn les eaux de surface (fleuves, lacs...). L’homme s’est priotairement installé à côté de ces points d’eau. Grâce au cycle de l’eau, la quantité d’eau dont nous disposons reste identique, équivalent. Le cycle de l’eau fonctionne grâce à l’énergie du soleil. Il contient

prospective s'accordent à diagnostiquer une rareté possible de l'eau douce face aux besoins multiples d'une population grandissante. Le volume total en eau sur la terre est de 240000km3 (eau salée 95,1 pour cent, eau douce est de 4,9 pour cent. L’eau douce représente moins de 5 pour cent du volume d’eau terrestre soit 70,137000km3. Cette eau douce n’est pas facilement accessible et se présente majoritairement sous forme d’eau souterraine ou de calotte glaciaires et glaciers. Les réserves d’eau

DEp = q . DV -énergie potentielle de pesanteur: DEp = m g Dh A. Notions de base 2. Statique des Fluides a) Définition de la Pression, unité Pression exercée par une force F sur une surface d’aire S: F Unité: N/m2 ou Pascal S Remarque: dans un fluide, cette pression ne dépend pas de l’orientation de la surface….mais… ……..de la profondeur dans le fluide A. Notions de base 2. Statique des Fluides b) Loi de l’Hydrostatique, conversion des unités Si une pression est donnée en hauteur de fluide

Masmoudi** et N. Ben Mechlia** Résumé La consommation hydrique d'une jeune olivette multi-variétale cultivée dans la région de Mornag a été étudiée pendant deux années successives afin de développer une méthodologie de calcul des besoins en eau des oliviers selon leur état de développement. L'irrigation a été pratiquée sur des arbres plantés à 6m x 6m. Les valeurs de l'ETo et de la pluie efficace ont servi au calcul des quantités d'eau d'irrigation nécessaires pour couvrir l’ETc = Kc.Kr

Coagulation-floculation-décantation sur pilote | | |Travail demandé : | |Traiter une eau brute dans l’optique d’une potabilisation. | |Transposer le résultat d’essais sur un pilote. | |Suivi du procédé par analyses

classes de feux : o o o o Classe A : feux de matériaux solides Classe B : feux de liquides Classe C : feux de gaz Classe D : feux de métaux - I-2 Les différents types d’extincteurs et leurs classes de feux : o o o o Extincteur à eau pulvérisée : classe A Extincteur à eau pulvérisée + additif : classes AB Extincteur à poudre classes BC ou ABC Extincteur à CO2 (gaz carbonique). Classe B et feux d’origine électrique. Ces extincteurs sont aussi placés dans les cuisines industrielles. - I-3 Classement

INTRODUCTIONL’eau dont nous disposant dans la nature n’est pas directement utilisable pour la consommation humaine ni pour l’industrie, car elle n’est pas potable, sauf de rare cas, suffisamment pure, lors de sa circulation dans le sol, à la surface de la terre ou même dans l’air, l’eau se pollue et se charge de matières en suspension ou en solution : particule d’argile, sels divers (chlorures, sulfates, carbonates de sodium, de calcium, fer, manganèse…), matières organiques (acides humique,

Le problème est que cette eau douce se retrouve en majorité dans les glaciers à environ 70%. Ce qu’il reste pour l’homme (de toute l’eau de la planète bleue) : > 0,9 % sont des eaux douces souterraines > 0,1 % sont des eaux douces de surfaces Ce sont ces 1 % de l’eau totale de la planète bleue qu’exploite l’homme pour sa consommation quotidienne. L’eau de notre robinet est puisée dans une ressource naturelle telle que des nappes souterraines, lacs, rivières… Cette eau est pompée et acheminée