Écarlate

pour la tenue sénatoriale, il fallait l'autorisation de l'Empereur pour en faire usage. Par exemple, e sanctuaire des Juifs construit pendant leurs pérégrinations dans le Sinaî, le tabernacle, ne comprenait que des tissus et des cuirs pourpres ou écarlates

ce secret, le mari s’éveille.« Lui, toujours raide et froid, agrippe la femme par les cheveux, la traîne à terre jusqu’au milieu de la pièce. Il frappe encore sa tête contre le sol puis, d’un mouvement sec, il lui tord le cou. […]La femme est écarlate. Ecarlate de son propre sang.Quelqu’un entre dans la maison.La femme rouvre doucement les yeux.                                                                             Le vent se lève et fait voler les oiseaux migrateurs au-dessus de son corps. » InterprétationLa

volonté d'égarer le lecteur. Giono choisi de dépersonnaliser sa voix en employant des pronoms sujets impersonnels. Le tableau du sang sur la neige immaculée est un contraste avec la blancheur de la neige (blanc=pureté) avec l'incarnat du sang écarlate. C'est très contradictoire. Il fait une sorte de réécriture de cet épisode de la légende du roi Arthur, il s'en inspire. Cette vision du sang sur la neige évoque une image d'amour , de sa bien aimée. Le héros pense à sa bien aimée. De voir le

L’homme s’arrêta devant la maison. Il avait marché depuis des jours, des mois, des années pour y parvenir. La bâtisse était délabrée : la porte, jadis couverte d’une peinture rouge écarlate, s’était écaillée. Les fenêtres étaient brisées. Elle était située au milieu d’un quartier huppé d’une mégapole déserte, jadis connue sous le nom de Paris. L’homme s’approcha de la demeure et essaya d’ouvrir la porte, mais se retint au dernier moment. Il pensa pendant quelques instants puis se décida : mieux valait

autres dans la vie quotidienne. Il critique la bourgeoisie en faisant une caricature ( Comme il faut par sa belle tenue de suisse d'église, ses gros mollets emmaillotés en des bas blancs, et son vêtement de représentation à bouton d'or et revers écarlates). Mais néanmoins, les bourgeois ne dépensent pas sans compter. Nous pouvons interpréter cela comme une symbolisation de pouvoir mais surtout de la superficialité trompeuse de la société des riches. Deuxièmement, les sujets de conversations des

enfants - au moyen d’un –x = -eau et hébreux: nouveaux, beaux, hébreux - -al > -aux (normal, normaux); mais fatals, glacials, natals, navals, pénals; finals ou finaux, banals ou banaux - les adjectifs de couleur issus de noms: les manteaux a) écarlates, mauves, pourpres, roses; b) orange(s); c) marron, citron Les degrés de signification des adjectifs qualificatifs: - degré positif: l’adjectif, en emploi absolu, n’est pas marqué relativement au degré de la qualité qu’il dénote: Paul est grand

Ensuite, pendant cette guerre, les soldats sont déshumanisés, pendant la bataille ils ne forment plus qu’une « masse » (v.4) habillés des mêmes uniformes « écarlates ou verts » (v.3). L’auteur nous montre une vision confuse, une « folie épouvantable » (v.5) : c’est un champ de bataille vue du ciel ou mes soldats ne sont plus que des pions indistincts. Une fois morts, ils sont comparés à « un tas fumant » (v.6)

 Biographie : Mariama Bâ, née en 1929 à Dakar au Sénégal et morte en 1991 au Sénégal, est une écrivain sénégalaise. Ces principales œuvres sont « Une si longue lettre », roman écrit en 1979 et « le Chant écarlate », roman écrit en 1981. Après la mort de sa mère elle fut élevé par ses grands parents dans un milieu musulman et son père, Amadou Bâ, est devenu ministre de la Santé du premier gouvernement sénégalais en 1957. Elle intègre une école française et se fait remarquer par ses résultats

Des quartiers de bêtes pendaient sur des nappes blanches, […] un épanouissement de santé dans la boutique claire […] de la maison . ». La boutique est ici comparée àcelle d'un fleuriste avec toutes les couleurs éclatantes « rose », « pourpre », « écarlate » tout est propre et brillant, aéré, épuré « claire », « ouverte au grand jour ». A cette époque les magasinsétaient ouverts sur la rue laissant aux passants le loisir, le plaisir de regarder les vitrines , de les admirer pour découvrir la variété

religieuses. Dès sa sortie, il connaît un grand succès tant critique que public, et obtient le Prix Normal lors de la Foire du livre de Francfort en 1980[] Elle meurt peu de temps plus tard d’un cancer et avant la sortie de son deuxième roman, Un chant écarlate, racontant l'échec d'un mariage mixte entre un Sénégalais et une Française, du fait de l'égoïsme de l'époux et des différences culturelles[1]. Un Lycée de Dakar (la Maison d’éducation Mariama Bâ) porte son nom. Primordialement, ses œuvres reflètent