Échangeur de chaleur

La réaction se passe au cœur du réacteur où repose les éléments combustibles. On récupère la chaleur avec des fluides (par exemple de l'eau), l'eau est chauffée à très haute température (environ 300°C) mais elle est conservé dans le réseau primaire, qui est une canalisation sous pression. Cette canalisation sous pression permet le transport de l'eau vers un échangeur de chaleur, la chaleur est alors transmise à un deuxième réseaux de canalisation. L'eau se refroidie dans le circuit secondaire

le flux d'air neuf et lui cède une bonne partie de sa chaleur grâce à un échangeur thermique ( jusqu'à 99 % ). | - Il est équipé d'un capteur d'humidité, pour un contrôle plus fin + les mêmes bons points que les autres VMC. | Inconvénients | Grosses déperditions de chaleur. | Installation contraignante, et prix élevé. | Un peu mieux de la VMC s.f mais déperditions de chaleur tout de même. Surchauffe les jours de chaleurs. | Coût | Environ 600 euros. | 3000

DIFFÉRENTS MOYENS D'ABSORBER LA CHALEUR a. Principe physique Le passage de l'état solide à l'état liquide s’effectue en utilisant la chaleur latente de fusion. Le changement d’état (de l'état liquide à l'état gazeux) absorbe de la chaleur. La détente d'un gaz absorbe de l'énergie calorifique. b. Principe physico-chimique Ce principe est basé sur l'absorption de certains sels dans divers solvants . Des sels d'ammoniac dissous dans l'eau absorbent de la chaleur. c. Principe thermoélectrique

L’utilisation de l’énergie solaire : Installation de panneaux solaires sur le toit. * Suppression des ponts thermiques : Bonne isolation. * Ventilation double flux : Pose d’un système de ventilation à double flux avec récupération de chaleur (utilisation d’un échangeur air sol permet de préchauffer l’air en hiver et de le rafraichir en été avant qu’il n’entre dans le bâtiment). Matériaux utilisés * Bois : toute la structure * Isolation : laine de chanvre, de mouton ou de coton suivant la disponibilité

Dans ce paragraphe nous allons rappeler les diverses notations et définitions communes aux différents cours d’énergétique : thermodynamique, moteurs, turbomachines, machines à froid, échangeurs, économies d’énergie… afin d’uniformiser les notations utilisées en TP de thermique. I-1 Travaux et puissances, chaleurs et flux. Les travaux (cycliques ou massiques) sont liés aux puissances par les relations cidessous, leurs qualificatifs sont identiques : nous parlerons indifféremment par exemple de

de la chaleur de la région aux alentours. La centrale fournit, entre autre, une usine de pâte à papier locale en chaleur et en électricité (en quasi totalité), tout cela grâce à l'abondance de l'énergie géothermique à haute température. Nous allons expliquer le fonctionnement de cette centrale d'après nos recherches et nos entretiens avec le personnel sur place, sachant que le fonctionnement des autres centrales géothermiques est calqué sur celui-ci. La transformation de chaleur en électricité

2. Caractéristiques des bâtiments environnants….………..…..… 29 1.3. Caractéristiques du bâtiment…...……………………..…...… 29 2. Conditionnement des équipements……………………..…...… 30 2.1. Importance de l’évacuation de la chaleur …………………...… 30 2.2. Méthodes de climatisation et d’évacuation de la chaleur..……… 30 2.3. Modes de climatisation……………………….…………...… 36 3. Identification des sources d’alimentation………..……..……... 36 3.1. Les sources d’alimentation……..……………………..…...… 36 3.2. Les stabilisateurs de tension………………………………

0144)=0.0146. 2. le rendement de l'absorption en fonction de ces grandeurs : η=(27.85×0.1629-27.85×0.0146)/(27.85×0.1629)=91%. IV. Bilan thermique sur les échangeurs de la colonne de stripping A2 : 1. le calcul de débit de vapeur nécessaire : La température de condensation de la vapeur de chauffe est θ=100×3.5 ¼ =136.8°C, sa chaleur latente de vaporisation est Lv=2535-2,9×136,8=2138kJ.kg -1 . Le bilan énergétique sur E5 s'écrit, si G est le débit de vapeur de chauffe Φ E5 =G×Lv=510

calculerons également par un bilan enthalpique la puissance du bouilleur et le rendement thermique de la colonne. Nomenclature A: débit molaire total de l'alimentation B: débit molaire total du résidu D : débit molaire total du distillat Lv Chaleur latente de vaporisation NET: nombre d'étage théorique NETmin: nombre d'étage théorique minimal Qv Débit volumique de l’eau de refroidissement au niveau du condenseur R: taux de reflux L: débit molaire total du reflux dans le tronçon de concentration

tout en traversant un filtre qui retient les impuretés macroscopiques : cheveux, poils, poussière…  refroidissement et stockage : Pour freiner la prolifération microbienne, on amène le lait à une température de 4°C en utilisant un échangeur à plaques à contre courant où l’eau glacée entre à 0°C et le lait à 20°C puis on le stocke dans des tanks isothermes équipés d’un agitateur qui empêche la formation de la crème. La capacité de stockage de lait cru est de l’ordre de 420 000 litres