Éclair

êtes raisonnablement certains que les élèves sont capables de se servir d’une stratégie sans recourir à des modèles concrets et qu’ils commencent à l’utiliser mentalement, il est temps de passer aux exercices d’automatisation. Exemple : -Cartes éclair (mentionner la stratégie, faire un dessin, écrire des indices en guise de rappel); -Dés spéciaux; -Roulettes; -Activités de correspondance; -Jeux de toutes sortes. ÉVALUATION : Notez les stratégies qu’utilise chaque élève. Les stratégies

les quatrains et les tercets : présentation de l'apparition et réactions du poète (quatrains) bilan de la rencontre: son pouvoir et son échec (tercets). - L'hémistiche qui introduit le premier tercet (« Un éclair... puis la nuit! » est un résumé métaphorique de la rencontre. Antithèse l’« éclair » retrace le bonheur entraperçu grâce à la passante et suggère le coup de foudre du poète; la « nuit » symbolise le désespoir d'une vie sans amour, ressenti au moment où la femme repart, inaccessible. Les

d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse

une métaphore son œil est assimilé à un ciel et donc à quelque chose de transcendant, d’immense. Au vers 10 : «  dont le regard m’a fait soudainement renaitre », elle a donné vie au poème. Cette divinité va disparaitre au détour du 1er tercet: «  Un éclair … Puis la nuit ! », dans un sonnet c’est une charnière; cette passante qui incarnait la beauté a disparu et elle laisse le poète dans le désespoir. Nous allons nous maintenant nous intéresser au poète et à ses états d’âme, à ce « moi » très fragile

I Hitler et la marche vers la guerre II La « guerre éclair » III La France occupée IV La bataille d’Angleterre V La France de Vichy VI La Résistance VII Le génocide VIII la course aux armements IX la bataille des mers X 1942 : le tournant de la guerre XI Le débarquement du 6 juin 1944 XII La libération (1944-1945) I Hitler et la marche vers la guerre 1- En Allemagne, Hitler, dirigeant du parti nazi (national-socialiste) est élu par le peuple en 1933. Il gouverne

dans les 2 tercets. Il se tourne vers lui-même, et analyse ses propres émotions. 1. L’éphémère « Un éclair puis la nuit » : le premiers vers de la str.3 exprime la fulgurance, aussi présente dans la ponctuation et le rythme. Antithèse jour/nuit. L’éclair suggère qu’il a été illuminé, ébloui par cette vision de l’idéal, la nuit représente la tristesse et la solitude. Cet éclair suggère aussi l’inspiration poétique, de la détresse il écrit un poème. « Fugitive beauté » détaché grâce à un

extrêmement violent : «A cette seconde, passait l'express de Paris, si violent, si rapide, que le plancher en trembla et elle était morte, comme foudroyée dans cette tempête». Dans ce passage, il est très intéressant de relever le mot «foudroyée» : Les éclairs et la tempête symbolisent la punition des dieux « éclat d’incendie » « l’éclair de la lame ». Toutefois, Séverine est présenté, tout de suite après le meurtre, comme une victime innocente des pulsions meurtrières de Jacques.   On observe par exemple

mondiale, le résultat n'en serait pas la bolchevisation de la terre et la victoire des Juifs, mais la destruction de la race juive en Europe".Jusqu'en 1941 l'Allemagne nazie avait remporté une série de victoires militaires foudroyantes. La guerre éclair avait permis de vaincre et d'occuper en quelques semaines la Pologne puis la France, la Belgique, les Pays-Bas... Mais avec l'invasion de l'U.R.S.S. le 22 juin 1941, la guerre change de nature : désormais la guerre devient totale, l'Allemagne doit

dans des conditions inquiétantes. Une tempête les surprend sur une route isolée, la nuit est noire : « La tempête éclata dans une fureur terrible. [...] La pluie tombait à torrents, le vent sifflait dans les arbres et ce n'est que par la lueur des éclairs que ma pouliche avait l'instinct de me tenir dans le milieu du chemin, car il faisait noir comme dans un four. » L'ivresse, la noirceur, le froid et la pluie contribuent donc à altérer la perception du réel des protagonistes. Toutefois, observés

Dans ce poème, nous pouvons remarquer l’utilisation du pluriel qui est sûrement associé à la passion entre les deux amants. Les pronoms « nous », « nos » mettent en valeur l’harmonie des deux esprits, comme s’ils ne faisaient qu’un. Le terme « un éclair unique » correspond à la fusion des deux amants, c’est le moment mélancolique du poème avec l’expression « Comme un long sanglot » qui annonce la mort par le comparatif « comme ». Nous pouvons remarquer que dans ce poème, la structure du sonnet