Ecriture Personnelle Le Rire

Rire et écrire Analyse de pratique Diplôme Universitaire d’Animateur d’Atelier d’Ecriture S.U.F.C.O. Université Paul Valéry – Monique Nicque – 2000/2001 Qu’est-ce que le rire ? Dans l’Encyclopédie, Voltaire en a rédigé l’article ainsi : " Le rire est le signe de la joie, comme les pleurs sont le symptôme de la douleur. " Il ajoute qu’il est le résultat de l’étirement vers les oreilles du muscle zygomatique, l'un des treize muscles de la bouche. " Les animaux ont ce muscle

devant la peur confuse et puissante du mystère divin. Il se dirigea vers le presbytère dès qu'il eut fini son travail. Le curé l'attendait dans le jardin en lisant son bréviaire le long d'une petite allée. Il semblait radieux et l'aborda avec un gros rire : - Eh bien ! nous y voilà. Entrez, entrez, monsieur Sabot, on ne vous mangera pas. Et Sabot passa le premier. Il balbutia : - Si ça ne vous faisait rien je s'rais d'avis d'terminer incontinent not' p'tite affaire. Le curé répondit : - A votre service

la sagesse des auteurs antiques et désiraient atteindre une société parfaite au niveau de la moralité et des arts, mais ils voulaient surtout que les idées changent. Ce changement est survenu avec comme support des écrits anciens, et non avec des écritures saintes, ce qui s'opposait à la pensée scolastique du Moyen Age. Ils essayent de créer un idéal qui n'est ni la sainteté, ni l'héroïsme militaire.6 Ceci était contradictoire aux pensées de l'église, qui avait au moyen âge une vision très pessimiste

multipliés que parfois même ceux-ci se confondent l’un dans l’autre, tour à tour l’ironie devient humoresque et l’humour devient ironique, la satire devient ironique ou l’ironie devient satirique. La polyphonie de la dépréciation culmine alors dans une écriture multiforme. La rhétorique de l’ironie sait finalement jouer avec les mots, les situations, les personnages, l’auteur lui-même, les textes antérieurs, le sens des mots. Camus est donc un virtuose dans l’art de la théâtralisation. N’est-il pas alors

cheville et sur sa cuisse, l'égalisateur se soulevait à chaque pulsation. Brusquement, le cycliste lui lança son poing gauche dans la figure, et Claude devint encore plus livide. Il plongea la main dans sa poche et tira l'égalisateur, et il se mit à rire parce que le cycliste bafouillait et reculait, puis il sentit un choc terrible sur sa main, et le bâton du flique retomba. Le flique ramassait l'égalisateur et saisit Claude au collet Claude ne sentait plus rien à la main. Il se retourna brusquement

L’objectif dominant est affectif, l’affiche cherche à donner envie, à faire aimer le produit en créant une atmosphère intime et faisant passer les sentiments de plaisir et d’amour. Le ton est intime et familier « le murmure d’une caresse ? L’éclat d’un rire ? L’ardeur d’un cri ? » Tout en s’adressant directement aux consommateurs par l’emploi de l’interrogation. Le slogan est tout aussi envoutant « Surprenez vos sens » ! Publicité datant de 2002. Manix ne joue donc pas sur la finesse

définir les limites de la tragi-comédie à cette époque parce que les auteurs revendiquaient le refus de toute règle. On pouvait alors voir dans la tragi-comédie une sorte de tragédie à fin heureuse parce que la tragédie n'était définie que par son personnel noble et mythologique. Dans les années 1640, les partisans d'un théâtre beaucoup plus normé prennent de plus en plus d'importance et la tragédie répondant aux règles classiques prend le dessus sur la tragi-comédie. Le cas du Le Cid de Corneille

multipliés que parfois même ceux-ci se confondent l’un dans l’autre, tour à tour l’ironie devient humoresque et l’humour devient ironique, la satire devient ironique ou l’ironie devient satirique. La polyphonie de la dépréciation culmine alors dans une écriture multiforme. La rhétorique de l’ironie sait finalement jouer avec les mots, les situations, les personnages, l’auteur lui-même, les textes antérieurs, le sens des mots. Camus est donc un virtuose dans l’art de la théâtralisation. N’est-il pas alors

. . . . . . . . . . p. 6 p. 7 p. 7 p. 8 p. 8 p. 9 p. 9 THÉÂTRE Le gobe-douille et autres diablogues de Roland Dubillard . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 10 e POÉSIE Le rire en poésie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Poèmes de Robert Desnos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

phrase quelconque, le but étant de se faire entendre, il faut crier encore plus fort que le brouhaha. Nous travaillons aussi sur l'intensité de la voix grâce à un exercice de gradution des émotions. Nous exerçons par exemple un rire puis petit à petit nous devons amplifier ce rire jusqu'à son paroxysme. Avec ces exercices sont travaillons la portée de la voix et les différentes intonations. Toujours pour entraîner les différentes tonalités de la voix nous pouvons réciter une partie de notre texte en