Edgar Degas

l’herbe, Edouard Manet (1863) La pie, Claude Monet (1869) La gare saint Lazare, Claude Monet (1877) La cathédrale de Rouen, Claude Monet (1894) Bal du Moulin de la Galette, Montmartre, Auguste Renoir (1876) Fin d’arabesque ou Danseuse saluant, Edgar Degas (1876- 1877) Les tournesols, Vincent Van Gogh (1888) Autoportrait à l’oreille bandée, Vincent Van Gogh (janvier 1889) Autoportrait à l’oreille coupée, Vincent Van Gogh (1889) La Nuit étoilée, Vincent Van Gogh (juin 1889) Route avec cyprès et ciel

Edgar Degas ( 1834-1917 ) Après Le Bain, Femme s’essuyant Hilaire Germain Edgar de Gas est un artiste, peintre, graveur, sculpteur, photographe, naturaliste et impressionniste français. Bien qu'il se définisse lui-même comme un réaliste et un indépendant, il est aujourd'hui considéré comme un acteur essentiel du mouvement impressionniste grâce à sa composition novatrice et à son analyse perspective du mouvement. Impressionnisme est un mouvement qui se fonde sur des préceptes strictement opposés

opposant les défenseurs de l’art académique aux artistes « refusés ». En 1864, le Salon officiel accepta deux de ses tableaux, et, en 1865, Manet y exposa Olympia. Il devint ami avec Emile Zola ainsi qu’avec des peintres impressionnistes comme Edgar Degas, Claude Monet, Auguste Renoir, Alfred Sisley, Camille Pissarro et Paul Cézanne. Ceux ci subirent l’influence de Manet mais influencèrent également l’art de celui ci. Manet ne doit pas être considéré comme un peintre impressionniste à part entière

représente Louis-François Bertin, directeur du Journal des Débats. Il est conservé au musée du Louvre. Ingres réalise avec ce tableau l'archétype du portrait bourgeois qui influencera des peintres académiques comme Léon Bonnat, mais aussi des peintres modernes comme Edgar Degas et Pablo Picasso. C'est une de ses œuvres les plus célèbres. la silhouette massive de François Bertin se détache, il est assis de trois-quarts sur un fauteuil dont on voit un accoudoir. Ses mains aux doigts écartés sont posées sur les cuisses,  le

passe sous le pont pour éclairer les nymphéas situés dans l’ombre des bambous. C’est ainsi qu’il les peigna aux quatre saisons en recréant une atmosphère aux ressemblances japonaises. Henry de Toulouse Lautrec eut deux sources d’inspirations : Edgar Degas et les estampes japonaises. Dans cette affiche, on ressent l’influence de ces dernières. Les masses de blanc, les aplats de couleurs, les lignes noires et épaisses, « Confetti » écrit au pinceau large, comme l’écriture japonaise, tout ici nous rappelle

pour le symbolisme et des influences de l'école de Pont-Aven. La lumière est prédominante dans les tableaux des Nabis, préfigurant la lumière spirituelle. L’autre orientation, profane, celles des Nabis dits décorateurs, est plus influencée par Edgar Degas à travers le choix de sujets issus de la vie moderne (portraits d’élégantes, scènes d’intérieurs bourgeois, femmes au bain, etc.…). Elle joue très fréquemment de la juxtaposition de motifs décoratifs (papiers peints, tissus imprimés) et de cadrages

La vue de village France, 1868 Peinture, Huile sur toile Hauteur en m : 1.375 ; Largeur en m : 0.855 Musée Fabre, Montpellier Don Madame Gaston Bazille, 1898, 898.5.1 Montpellier Agglomération Photographe : Musée Fabre - Montpellier Agglomération / Cliché : Frédéric Jaulmes Berthe Morisot dans une lettre à sa soeur Edma Pontillon, datée du 1er mai 1869, à propos de La Vue de Village qu'elle avait vue au Salon, écrivait : "Le grand Bazille a fait quelque chose que je trouve fort bien :

Les raboteurs de parquet de Caillebotte Thématique : comment le peintre impressionniste donne t-il cette vision photographique a sa peinture ? Œuvre comparative : les repasseuses de Degas. Gustave Caillebotte (1848-1894) Biographie du peintre : Né à Paris le 19 août 1848 et mort à Gennevilliers le 21 février 1894 Il est issu du troisième mariage de son père Martial Caillebotte avec Céleste Daufresne. Deux autres enfants naissent : René et Martial. Né d’un précédent mariage

Edgard Degas L’identification de l’œuvre Edgard Degas ; Danseuses à la barre ; Metropolitan Museum ; Huile sur toile ; 75,6 x 81,3 cm ; 1877 Impression générale : Effort, mouvement, grâce, souplesse Approche descriptive Deux danseuses font des exercices d’assouplissement. Celle de gauche, étire sa jambe droite vers l’arrière, sur la barre, tel une arabesque. Elle se soutient à l’aide de ses mains. La seconde, étire sa jambe droite à la barre, la main droite la serrant afin

Durant toute cette période, ces jeunes peintres consolidèrent les liens existant entre eux et en développèrent de nouveau, cherchant des inspirations et des thèmes picturaux nouveaux. A l'exception de ceux disposant d'une situation personnelle aisée (Degas, Caillebotte, Bazille), ils connurent des périodes d'amère pauvreté, et en particulier Monet - que Bazille aida financièrement - lorsqu'il dut assumer seul son ménage. Ils peignaient en plein air, dans les environs de Paris ou sur la Côte Normande