Edgar Morin Les Stars

de music-hall et peut-être, dans l’avenir, des rassemblements géants sur le modèle de celui de la place de la Nation qui rassembla en juin 1963 150 000 jeunes de 12-20 ans avec un enthousiasme qui a le don d’ahurir totalement l’adulte. D’après Edgar Morin, « Salut les copains », Le Monde, 6-7 juillet 1963. Questions 7 Doc. 3 Expliquer. Quand et comment s’est constituée cette « nouvelle classe adolescente » ? .Dans. .les. années . 1960. .à. travers. une . musique, . des .codes . vestimentaires

Touche à tout, bon dans chaque domaine, sa place de pionnier du Pop Art ne peut lui être contestée. S’intéressant de prêt au milieu des stars, il établit et une sorte de « mécanisme de célébrité » où il place les personnages héroïque du cinéma en haut de l’échelle, ceux qui jouisse d’une popularité sans partage ; viennent en suite « les méga stars », « les éphémères » parmi les célébrités médiatiques. La formule de Warhol était : « Etre célèbre un quart d’heure », et s’appuyait sur une

breaking-news crée une crédibilité auprès du téléspectateur) L'enjeu pour les SIC est de travailler sur les nouvelles formes de "vérité" et de "réalité" face à l'irruption des nouvelles technologies. 1.4. La communication : une mise en cycle actif (Edgar Morin,…) Penser que la communication est toujours en dialogue actif (cycle actif = spirale) avec les autres disciplines, une science dynamique, une discipline mouvante. Ce n’est pas quelque chose de défini et d’arrêté lecture : texte introductif de

mais cela stimule nos sens. Il y a un sens de tolérance de réel selon les différentes cultures. Nos sens sont stimulés de manière très exacte mais il n’existe pas car ils sont programmés par les ordi. 1.4.La communication: une mise en cycle actif (Morin, Lohisse). Actuellement, on ne pense plus à la communication sous le modèle machinique (linéaire) mais du côté de l'organisme (comme un cycle): quelque chose qui se distingue par l'interdépendance, la globalité,... Tout est lié, en interaction.

l’abondance. C’est la blancheur prophylactique d’une société sans vertige et sans histoire, sans autre mythe qu’elle même. », Jean Baudrillard, la Société de Consommation, 1970 Les sociologues qui règnent sur l’analyse critique de la société — après Edgar Morin, Jean Baudrillard est en France le représentant le plus notoire de cette science — ne s’y trompent pas : l’Occident entre dans l’ère de la consommation, découlant d’une conjoncture économique internationale favorable. Dans l’Hexagone, c’est aux

chaîne de reproduction, ce qui représente un avantage évolutif pour l’espèce. Si l’émission parvient à retenir son attention pendant plus de quinze secondes, le zappeur a de bonnes chances de regarder la suite. Dans son livre Les Stars, à la fin des années 50, Edgar Morin avait déjà eu l’intuition que le plus important pour les média était de montrer une personnalité célèbre, un « Olympien », dans des situations de fait divers 1. Récemment, ces émissions à la mode montrant des gens « en état de survie

n’exclut pas la proximité, et fait ainsi écho au paradoxe de l’Olympien défini par Edgar Morin (1962) : la star des temps modernes est une semi-divinité qui, bien qu’exceptionnelle et inaccessible, offre à tout un chacun la possibilité de s’identifier à elle. Décliné sur le mode de la proximité, le people est à notre image : il aime sa famille, les bons repas, l’amitié et l’humour ; comme les animateurs « Drôles de stars » décrits par Sabine Chalvon-Demersay et Dominique Pasquier (1990), il a des goûts

confiait devoir lire L’Équipe caché dans son bureau. Il pouvait désormais, par la grâce de cette Coupe du monde, vivre sa passion au grand jour. Placé au centre de l’espace public, le foot vit alors « sa » révolution française. Ce que le philosophe Edgar Morin appelle « un moment d’extase national » fait basculer le foot dans une autre dimension. Le 12 juillet, c’est aussi le jour où Zinedine Zidane a fait gagner les Bleus. Son sponsor, Adidas, projette son image sur la façade de l’Arc de triomphe. Zidane

l’homme Gabin luimême vont s’habituer au retour de ce « naturel » fabriqué, avec ses colères programmées. La posture devient imposture et ne subsiste du mythe que le patriarche autoritaire, omniscient, misanthrope et bien sûr misogyne... 1) Cf. Edgar Morin, Les Stars, 1957, et Roland Barthes, Mythologies, Seuil, Point-Essais, 1957. 2) Jean Gabin, anatomie d’un mythe, cf. bibliographie, p. 20, ouvrage de référence indispensable sur l’acteur. 3) « Le destin de Jean Gabin », in Le Cinéma de l’Occupation et

famille  avec  une  pensée  particulière  à  Marion  (mon  amour  de  soeurette)  &  Raphaël,  Fanfoune,  Nanard & Dany, Juju, Flo, Tiphaine, Manu, Pascal,… mes voisins Yves & Claudie et ma tendre amie d’enfance,  Gabi.  Je  remercie  chaleureusement  Edgar  &  Anne‐Marie  pour  leur  accueil  grandiose  à  mon  arrivée  sur  Bordeaux. Une pensée également à mes amis Voileux de Cannes, Quentin, Julien, Yann, Deb, Sandrine, Jacques,  Claude  &  Christian…  Deugiens,  Marilyne,…  Erasmusiens,  Aurélia