Édith Cresson

intelligence économique et communication stratégique (IAE de Poitiers - Icomtec) ont organisé le séminaire « L'intelligence économique, 20 ans après... ». Ce séminaire réunissait des acteurs fondateurs de l’intelligence économique française. Parmi eux, Édith Cresson, ancienne Premier Ministre, Philippe Clerc, directeur de l’intelligence économique à l’ACFCI, Christian Harbulot, directeur de l’EGE, Pierre Fayard, conseiller à l’ambassade de France à Lima, Henri Dou, directeur d’ATELIS, et Jacqueline Sala, rédactrice

pratique et celle du gouvernement quasi inefficace. Mais, celle-ci est, dans la pratique, engagée face au Président. En effet, le Président a, à plusieurs reprises, exigé la démission du gouvernement ; ce fut le cas par exemple pour Michel Debré ou Edith Cresson. Alors, le Président, dans le cas d'un fait majoritaire gouverne bien souvent sans avoir de comptes à rendre. On qualifie alors cette évolution de présidentialisation du régime. Non pas qu'il tende vers un régime présidentiel mais plutôt vers

recourir de plus à l'article 49−3 de la Constitution. Affecté par l'usure du pouvoir et la perte d'influence du PS qui est battu par la coalition RPR−UDF aux élections européennes de 1989 et régionales de 1992, le président remplace Michel Rocard par Édith Cresson, puis par Pierre Bérégovoy chargé de préparer les élections législatives de 1993. Le traité de Maastricht sur la monnaie unique, qui divise profondément les Français, n'est ratifié par référendum que d'extrême justesse. • La cohabitation Mitterrand−Balladur

Nationale mais dispose d'une très faible majorité . Michel Rocard , premier ministre créer le RMI ( revenu minimum d'insertion ) tout en maintenant une politique de rigueur . Ses relations avec Mitterrand sont mauvaises et il est remplacé par Edith Cresson en Mai 1991 qui est la première femme ministre et qui devient impopulaire et doit donc démissioner en Avril 1992 , remplacée par Pierre Bérégovoy . Mais la droite remporte les éléctions législatives de 1993 ce qui entraine une nouvelle cohabitation

sa réélection en 1988, Mitterrand se borne à une politique économique du « ni, ni » (ni nationalisation ni privatisation) associée à un traitement social du chômage (création du RMI en 1988), mais les 1ers ministres successifs (Michel Rocard, Edith Cresson, Pierre Bérégovoy) ne parviennent pas à redresser la situation économique (trois millions de chômeurs fin 1992) mais l’inflation est réduite à 2% et la balance commerciale est rééquilibrée. 3) La cohabitation, une nouvelle pratique des institutions

ans à ce poste, jusqu'en 1991, et est constamment menacé par l'opposition à l'Assemblée Nationale, il échappe à plusieurs reprises à des votes de censure. Aucune réforme importante ne peut donc être prise. Il est remplacé de 1991 à 1992 par Edith Cresson, la première femme premier ministre mais qui est très impopulaire. Elle renvoie une image cassante et démissionne au bout d'un an. L'ancien ministre de l'Economie et des Finances Beregovoy prend alors sa place. Un épisode catastrophique a alors

les femmes ou, comme tout parlementaire, la Nation ? Il est difficile de répondre à cette question. La France a eu une première femme ministre en Mai 1991, qui est restée au pouvoir pendant presque un an (de Mai 1991 à Avril 1992). Elle se nomme Edith Cresson. Malgré le fait que ce soit la première femme à accéder au poste de premier ministre, elle fut bien critiquée. En Mai 1995, Alain Juppé met en place un gouvernement qui engage plus de 30% de ministres femmes, appelaient les « Jupettes » qui soutiennent

obtenir la majorité qu’avec les communistes => difficultés à gouverner, succession de premiers ministres qui ne parviennent pas à convaincre dans un contexte éco difficile (1988, création du RMI, barre des 3M de chomeurs franchie) : Michel Rocard, Edith Cresson, Pierre Bérégovoy 1993 : élections législatives avec forte abstention (1/3) et victoire de la droite ð nouvelle cohabitation avec Edouard BALLADUR, plus consensuelle que la première (et maladie de M) ð série de privatisation et réforme des

devra donc démissionner. Sous la Vème République c’est une pratique très courante, elle était utilisée plus quatre-vingt fois par le Premier ministre pour faire passer des textes de loi, Michel Rocard l’a utilisé 28 fois, Raymond Barre 8 fois, Edith Cresson 8 fois aussi, le but étant de mesurer la fronde majoritaire et le poids réel de la majorité, mais aussi pour passer outre les prolongations des débats souvent du a l’opposition. Il faut cependant relativiser puisque le l’Assemblée Nationale dispose

la rédaction de L'Express, Directeur de la rédaction de L'Expansion Rémy Pflimlin, PDG de France Télévisions Alain Weill, PDG de NextRadio (BFM, RMC…) Politique Jean-Louis Borloo, Président de l’Union des Démocrates Indépendants 5 Edith Cresson, Ancien Premier Ministre Louis Gallois, Commissaire général à l'investissement François Hollande, Président de la République Française Pascal Lamy, Directeur Général de l’OMC Abdoul M’baye, Premier Ministre du Sénégal Valérie Pécresse, Ancienne