Édouard Manet

au premier plan fait semblant de recharger. Les couleurs utilisées pour le tableau sont typiques de Yue Minjun, c’est-à-dire les couleurs pâles ou pétantes. On peut constater que ce tableau est inspiré de celui de Goya, « Tres de Mayo » (1814), de Manet «  l’exécution de Maximillien » (1858) et de Picasso « Massacre en Corée » (1951) , qui ont tous un rapport avec une exécution. On voit toujours ou presque les mêmes positons pour les personnages (exemple : soldat qui recharge à l’arrière..). On constate

 Commentaire littéraire Sujet :Pourquoi le phrase de Proust consacrée à Madame Swann est-elle impréssionnante ? Lorsqu'on lit pour la première la fois la phrase de Proust, on attend l'arrivée de Madame Swann. Une arrivée préparée par des épithètes de lenteur « tardive » «ne et « alentie » ainsi qu'un imparfait de durée ( « apparaissait »). L'effet de suspence est accentué par le paraphrase «  qui ne s'ouvrirait qu'à midi » qui donne à Madame Swann un

Femme à l’ombrelle tournée vers la gauche I) Biographie de l’artiste : Claude Monet est un peintre français né le 14 novembre 1840 et il est mort le 5 décembre 1926 à l’âge de 86 ans à Giverny. Vie : En 1859, Il descend à Paris où il rencontre Pissarro à l'académie Suisse, il fera son service militaire en Algérie en 1861. En 1862, il entre dans l'atelier de Gleyre, à Paris, où il rencontre Sisley, Bazille et Renoir. En 1870, il se mari avec Camille Doncieux dont il aura un fils.

Paris. Trois ans plus tard, il effectue son service militaire en Algérie. Il est réformé en 1862 et retourne a Paris. Il entre alors dans l'atelier du peintre Gleyre et y rencontre Renoir, Bazille, Sisley. Il tombe en admiration devant le travail de Manet et les deux hommes deviennent amis. UNE DÉCOUVERTE QUI MARQUA SA VIE Lors d’un voyage à Londres en 1871, le peintre découvre les tableaux de Turner et sera très impressionné par son style de peinture. Monet s’intéressera dès lors au rendu de la lumière

Spleen et Idéal Baudelaire invente lui même le mot de "spleen" qui dérive du mot anglais "spleen" signifiant "raté" et évoquant le sentiment de dépression. Ce mot rend compte d'un mal métaphysique très complexe qui s'exprime chez Baudelaire dans nombres de ses poèmes. Les principaux thèmes qui s'y rapportent sont: la fuite du temps, la tentation du Mal, la notion d'enfermement, la peur ou la hantise de la mort, le regret de ses souvenirs ... Ce mal le ronge effectivement de l'intérieur car

peintre novateur plongé dans l'effervescence artistique de la fin du XIXe siècle. I.Les caractéristiques du tableau « Plein air » > Les points communs et les différences des deux tableaux: « Plein air » de Zola « Le déjeuner sur l'herbe » de Manet -5x3 m. -Dans la forêt. -Une femme nue couchée, yeux fermés. -Deux autres femmes nues présentes. -Un seul homme de dos. -2,68x2,645 m. -Dans la forêt. -Une femme nue assise, regard ouvert. -Une autre femme vêtue. -Un homme de face, un autre

L’impressionnisme Un mouvement né de la critique
 S’il est aujourd’hui universellement admiré, l’impressionnisme a d’abord été synonyme de scandale. Ses instigateurs sont d’emblée tenus à l’écart du salon officiel, le jury rejetant à la fois une facture non académique et une trop grande modernité des sujets. C’est la raison pour laquelle ces jeunes artistes, soutenus par le marchand Paul Durand-Ruel, choisissent d’assurer eux-mêmes la promotion de leurs œuvres. Ils se regroupent, dès 1874

A/La période impressionnistes (1864-1883) Les impressionnistes refusaient les conventions classiques et la peinture d'atelier officielle. Ils peignaient en plein air et leurs sujets n'étaient ni mythologiques, ni historiques, ni religieux. Ils devinrent les peintres du quotidien, des canotiers, des petits rats de l'Opéra, des "impressions " de la nature. Et justement parce qu'ils peignaient en plein air et non en ateliers exposés à une froide lumière, leurs couleurs étaient plus vives, plus claires

Suisse. Trois ans plus tard, il effectue son service militaire en Algérie. Il est réformé en 1862 et retourne à Paris. Il entre alors dans l'atelier du peintre Gleyre et y rencontre Renoir, Sisley et Bazille. Il tombe en admiration devant le travail de Manet et les deux hommes deviennent amis. Il se rend à cette époque en forêt de Fontainebleau pour peindre en plein air. Ses tableaux sont refusés par le Salon officiel de Paris. Il y sera exposé pour la première fois en 1865. Dans les années 1860,

réalisme outré et son caractère trivial. Degas "analyse" la scène sans aucune complaisance avec un regard pénétrant, lucide et critique sur les mœurs de son temps. Ce qui rapproche L'Absinthe du naturalisme de Zola, qui devait également influencer Manet et Toulouse-Lautrec.