Effets Du Smic

incompressible, dû à des imperfections du marché du travail (problème de transmission d'informations entre employeurs et chercheurs d'emploi, etc.).   En France, le marché du travail présente un pourcentage élevé de salariés payés au salaire minimum (le SMIC) et un problème fort de dualité du marché du travail entre un secteur protégé et un second secteur sur lequel se concentre la flexibilité et la précarité. Le marché du travail est très actif : chaque jour environ 10 000 emplois sont détruits et 10 000 emplois

p.6 A. Les causes économiques du chômage p.6 B. Les causes démographiques et sociologiques du chômage p.6 C. Les causes des emplois précaires p.7 II. Les conséquences p.8 A. Les effets sur l’individu p.8 B. Le cout du chômage et de la précarité p.11 III. Les solutions p.12 A. Les politiques actives de l’emploi p.12 B. Les politiques passives de l’emploi p.16 Conclusion

pour évaluer l’impact de trois politiques typiques de soutien aux bas revenus : la hausse du SMIC, celle du RMI et la mise en place d’une prime pour l’emploi. Les première et seconde parties sont consacrées respectivement aux versions statique et dynamique du modèle W S−P S. La troisième partie présente une étude récapitulative des déterminants du taux de chômage d’équilibre. La dernière partie analyse les effets des politiques redistributives lorsque la négociation salariale oppose travailleurs non-qualifiés

développement du salariat et la tertiarisation. L’augmentation du nombre de salariés est forte : 12 millions en 1954 ; 18 millions en 1975 ; 20 millions en 1982. Le pourcentage d’actifs dans le tertiaire augmente fortement : 25 % en 1946 ; 51 % en 1975. En effet, l’essor des grandes entreprises a nécessité des cadres et des employés de plus en plus nombreux. L’Etat-providence a augmenté les effectifs de la fonction publique. On peut distinguer (par les revenus et statuts) : salariés du secteur public :

de consacrer à l’insertion des bénéficiaires du RMI 17 % des dépenses effectuées au titre de l’allocation. Concernant le montant du RMI, le souci de ne pas voir un bénéficiaire gagner plus qu’un salarié au SMIC a été déterminant dans le choix de ce montant. Une norme de 80 % du SMIC a été retenue, respectant ainsi un principe fondamental : le travail doit être plus rémunérateur que l’assistance. Le montant de base de l’allocation varie en fonction de la composition familiale du foyer, de ses

la vieillesse. 2) La protection sociale : Etat providence et formes de solidarités. ● Pour assurer la protection de tous, 2 formes de protections sont développées: la protection sociale (droit à la retraite). La protection du travail (SMIC). L'Etat a été indispensable à la mise en œuvre des protections sociales car il a le pouvoir d'imposer des contraintes par la loi, et il peut financer ces mesures par les cotisations sociales. ● Protection sociale : Système de solidarité que les

Synthèse de l’étude : Discrimination Homme/Femme au seins d’une entreprise De nos jours, la discrimination envers la femme au travail est toujours un problème dans notre société. En effet, entre les éccarts de rénumeration, le ralentissement des carrières feminines ainsi que les reflexions sexistes, ou en est vraiment l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes en France ? * 1) Definition : En droit du travail, la discrimination est le traitement inégal et défavorable appliqué

en 2010, pourrait passer à 21 millions cette année. » Un creux lié à un manque de lancement de nouveaux produits en 2009, au coeur de la crise. « Il faut un an et demi à deux ans pour développer de nouveaux produits : nous ressentons maintenant les effets de la baisse. » La direction entrevoit un frémissement : « Renault Sandouville relance ses commandes. » Jacques SAYAGH, « Automobile : du chômage partiel chez Tristone - Loire Atlantique », Ouest-France, samedi 22 janvier 2011 1) Rappelez ce qu’est

partie B – L’évolution des dépenses 1ère partie 1. Les évolutions contraintes  Elle comprennent : • les avancements d’échelon à l’ancienneté maximale ; • les évolutions législatives et réglementaires (statut, échelles, valeur du point, SMIC, charges induites) ; • les mouvements de personnel (mutations, retraites, décès, invalidité).  La collectivité n’a aucun pouvoir d’interférer sur ces éléments qui s’imposent à elle 1ère partie 2. Les évolutions maîtrisables  Elle comprennent

la retraite de 65 à 60 ans qui a eu lieu en 1981, tous les plus de 60 ans s’arrête de travailler. * Deux premiers chocs pétroliers, les entreprises vont effectuer des plans sociaux et vont avoir tendance à se débarrasser des personnes âgées. Effet de la réforme de retraite de 1993, allongement de périodes de cotisations donc les personnes restent plus longtemps sur le marché du travailler pour cumuler suffisamment des trimestres. Le taux d’emploi = la part de la population en âge de travailler