Effets Positifs De La Division Du Travail Selon Adam Smith

programme en jeu : La culture => Le travail et la technique Présupposer : Rien ne justifie vraiment le travail Problème du sujet : - Y a-t-il des raisons de travailler ? -A quelles conditions le travail est-il une contrainte ? A quelles conditions est-ce un moyen d’accomplir tout ce dont on est capable ? I. Le travail, une soumission à la nécessité a) Le travail dans la mythologie judéo-chrétienne : un

LES FONDEMENTS DES ECHANGES INTERNATIONAUX Deux grands courants de pensée s’opposent sur les effets du commerce international et sur l’attitude que les pouvoirs publics doivent adopter face au développement des échanges internationaux : les théories du libre-échange favorables à la suppression de toute entrave au commerce international les théories du protectionnisme qui justifient le fait de limiter l’accès aux marchés nationaux pour les étrangers. LE LIBRE ECHANGE Le libre-échange

à somme nulle (valorisation métaux précieux) - Grande rupture = Adam Smith : pensée de l'économie en terme de marchés, s'inspirant des physiocrates (seule agriculture crée richesse → richesse = production) et prôner la libéralisation du commerce, la suppression des corporations et des monopoles (= barrières à l'entrée sur le marché du travail et des biens) I. Adam Smith et le programme de recherche classique A) La division du travail est source de croissance 1°) La nature de la richesse des nations

relever les salaires car selon lui celà va provoquer l'augmentation de chômeurs --> déséquilibre dans la répartition de la richesse sociale (mondial). Il encourage le libre échange, l'ouverture des barrières = la théorie "des avantages comparés." Il encourage aussi la spécialisation international, il appel à une division international de l'activité économique. Cette division international du travail a été le sujet de plusieurs de ses analyses (les avantages procurés par cette division etc.) Pour celà chaque

beaucoup moins grande qu’entre les régions d’un même pays. A – La théorie traditionnelle du commerce international 1 – Les fondateurs de la théorie du commerce international Adam Smith (1723-1790) et David Ricardo (1772-1823) sont considérés comme les fondateurs de la théorie du commerce international en postulant, selon un bon sens évident, qu’il est toujours plus intéressant d’acheter une marchandise à l’étranger si elle coûte plus cher à fabriquer sur son propre territoire. Les deux auteurs

découverte de certaines cultures. Malgré cette évolution, cette activité agricole ne dépassait pas le stade de la subsistance. On parle alors d’économie naturelle, c’est-à-dire une économie dans laquelle la production, la répartition des activités de travail et la distribution des richesses sont organisées consciemment et collectivement au sein de petites communautés. Dans ce type de société, l’économie politique n’existe pas. Exemple : les amérindiens vivaient presque au jour le jour. Il n’y a pas de

constituées en objet de connaissance théorique. La naissance de la théorie des organisations correspond à la naissance du paradigme utilitaire qui prend forme à la fin du 18ème avec l’essai d’Adam Smith (1776). Avant cela, une conception très dévalorisante des organisations était en place. En effet, Aristote faisait remarquer que tout s’organise, aussi bien les hommes que les fourmis… Mais peu à peu, notamment avec Descartes, la religion va découvrir la raison, ce qui va faire bouger les choses

Pour d'autres au contraire, s'intéresser aux théories économiques contemporaines sans comprendre les fondements historiques de ces théories (antécédents intellectuels, influences exercées certains auteurs, doctrines, …) est tout simplement vain. Selon Marc BLAUG, l'histoire de la pensée économique invite à comprendre la théorie économique comme un cheminement discontinu avec des retours en arrière et des recompositions permanentes. Pour Joseph SCHUMPETER, l'histoire de la pensée économique dispose

sociale qui étudie l’effort. Quels sont ces efforts visés ? 1er type d’effort : le travail. 2ème type d’effort : l’épargne. 3ème type d’effort : l’effort solidaire, soit le fait de ne pas travailler seul, càd préférer travailler en équipe, car on y crée beaucoup plus de richesses. 4ème type d’effort : l’organisation. En économie, il y a toujours un risque. L’échec est possible, c’est pourquoi il faut travailler de manière organisée. Quelle serait la société alternative au capitalisme ? ( On

ILe sujet AUn sujet doué d'une conscience souveraine BLes remises en cause de la souveraineté de la conscience C) L'homme, un être de désir IILa culture ACulture contre nature BLe travail et la technique CLa religion DL'art IIILa raison et le réel ALa raison et la rationalité dans le monde BL'accès à la connaissance et la vérité ? C) La remise en question de la vérité DL'étude du vivant, entre matière et esprit IVLa politique AFondation et fondements de la société BL'individu et la société CLe pouvoir