Égisthe

mon chagrin s’aiguisait ” (v. 208 p. 184), “ c’est mon amour pour toi qui m’ont ôté la douce vie ” (v. 203 p. 183) - Agamemnon se plaint de sa mort proférée lâchement: “ Je pleurais quand je le vis là, pris de pitié ” (v. 305 p. 189), “ « c'est Egisthe qui a préparé mon trépas, aidé de ma maudite épouse, et il m'a tué chez lui [...] Telle fut ma mort lamentable » (v. 409-410 page. 189) - Achille préférant une vie de domestique à sa mort: “ Achille: « Ne cherche pas à m'adoucir la mort [...] J'aimerais

sont nombreux de situations qui trahissent l’enfermement du personnage dans un espace clos alors même qu’il croit s’en être échappé, comme Œdipe fuyant Corinthe, ou qu’il croit évoluer librement, comme Oreste dans les Mouches, ou bien enfin comme Egisthe renaissant se métamorphosant en roi bon et noble, mais trop tard dans un univers où la rédemption passe par la mort. L’intérêt de toute œuvre est là : dans le contraste entre ce que croit savoir le héros et ce que sait le spectateur, à moins que

cette scène la temporalité accélérée qui va nous exposer en l espace de quelques répliques une fin tragique, la mort est centrale dans ce passage, à la ligne 7 la première euménide va glisser l'idée qu'Oreste est venu "tuer" Clytemnestre et "tuer Égisthe" puis tout au long de la scène le sujet principal serra encore une fois la mort, notamment celle d'Électre, sa propre fille, encore une fois suggère par Clytemnestre incarné par l'euménide à la ligne 14 où elle se dit que "si une épée comme celle-ci

chérubin dans le cabinet n’est en faite que victime du subterfuge organisée par sa servante Suzanne. Le troisième texte, dans lequel la tromperie est utilisée, est Electre où Agathe trompe son mari avec un jeune homme, qu’elle trompe lui-même avec Égisthe. Ici, le jaloux, le jeune homme, découvre le mensonge d’Agathe car elle vient elle-même de lui apprendre comment mentir dans le but de dissimuler l’adultère à son mari. Chez Marivaux, c’est par le biais d’une mise en abyme que la jalousie est crée

représentation des mythes, ainsi que la représentation de la mort, l’élément moteur du tragique d’une pièce. Cette scène est de l’Acte II d’Electre de Jean Giraudoux : c’est l’avant-dernière scène de la pièce. La mort de Clytemnestre et de son amant Egisthe vient d’être commise par Oreste, le frère du personnage éponyme de la pièce, étant pousse par la vengeance pour la mort de son père Agamemnon. Le mythe d’Electre a été joue pour la première fois sur scène au Vème siècle avant Jésus Christ, repris

l'absurde : - Les Mouches (1943) de Sartre est une pièce de théâtre qui a été écrite et représentée pour la première fois pendant la Seconde Guerre mondiale. C'est ainsi que la situation des Atrides correspond à celle de la France occupée. En effet, Egisthe est un dirigeant illégitime, qui gouverne le royaume avec la complicité de Clytemnestre, la reine qui a trahi Agamemnon. Les Atrides sont les descendants d'Atrée (dans la mythologie grecque). Atrée est le roi d'Argos et est le père d'Agamemnon

des Atrides et y définit sa conception de la liberté. « Le secret douloureux des dieux et des rois, c'est que les hommes sont libres », explique Jupiter à Égisthe. En effet, Jupiter intervient dans la pièce dès que quelqu'un l'invoque (Électre puis Oreste) pour faire un "miracle", mais perd tout pouvoir sur celui qui se sait libre. Aussi Égisthe ne pourrait gouverner si son peuple avait conscience de l'impuissance du souverain. C'est pourquoi ils doivent empêcher Oreste de "contaminer" le peuple,

3. importance de la scène Voir plus haut Ce passage est un intermède de comédie mais ouvre la voie à Clytemnestre. La dualité des genres correspond à la dualité des personnages. Ouverture : tyrade de clytemnestre Giraudoux, face à face Electre/ Egisthe 1. raison/passion 2. politique/morale Voir plus haut Cet extrait d’elctre est un dialogue sourd où s’opposent deux consciences morales, deux logiqyes irréductibles et deux stratégies inconsciliables Ouverture : Horace de corneille (tout sacrifié pour

mythologiques tout en les adaptant aux préoccupations de leur siècle. Les problèmes: - C’est un mythe de plus de 2000 ans donc déjà connu du public : les personnages sont déjà connus (Agamemnon, le roi lâchement assassiné, le couple Clytemnestre/Egisthe qui accède ensuite au pouvoir, Electre et Oreste appelé à la vengeance et qui perpétuent donc la malédiction des Atrides) et l’intrigue ancienne est déjà connue comme le souligne le mendiant dès le début de la pièce de Giraudoux, puisqu’il raconte

le découvre, Oedipe se crève les yeux pour se punir. Clytemnestre est aussi un personnage de la mythologie grecque, lors de la guerre de Troie, son mari Agamemnon part à la guerre, pendant ce temps la, Clytemnestre entretient une relation avec Egisthe. Agamemnon revient de la guerre avec une nouvelle femme: Cassandre. Par rancune, Clytemnestre tu son mari dans un bain. Le rapport entre ces deux personnages et les personnages de Thérèse Raquin est le fait que dans chacune des histoires, les personnages