Einstein Atome Préjugé

univers infini jusqu’à ce qu’ils rencontrent un autre atome. Le choc change le mouvement qui devient circulaire, c’est la formation d’un monde. Les mondes sont en nombre infini. Épicure introduira également la chute des atomes, qui tombent en ligne droite. S’ils tombent c’est parce qu’ils sont lourds. Mais comme il faut qu’ils se rencontrent, à un moment, sans raison, ils s’écartent d’un angle minuscule et finissent par rencontrer un autre atome. De là, Épicure introduit la liberté de l’homme, puisque

simultanées contradictoires entre elles. Le XX es dominé par deux théories majeures : – celle de la relativité générale (Einstein) ; – celle de la théorie quantique des champs ; Le but des scientifiques est d’unifier dans une même théorie tous les phénomènes observés. En physique, il y a quatre forces fondamentales dans la nature : – la gravitation (Newton localement et Einstein partout) ; – l’électromagnétisme ; – le nucléaire : – interaction forte, – interaction faible. Seule la force gravitationnelle

clinamen. Les atomes se rencontrent s’agglutinent les uns aux autres pour former l’univers. Dans la nature, il y a principalement 3 causes du mouvement des atomes :· La pesanteur : l’atome a un poids, une masse qui l’attire vers le bas· Les chocs : un atome qui en touche un autre lui imprime une trajectoire et une vitesse (les deux= déterminisme, nécessité, il y a des lois fixes dans la nature, une physique est possible · Le clinamen : spontanéité de certains atomes (certains ont déviés on ne sait pas

discours de la méthode, paru en 1632. Dans cet ouvrage, l'auteur invite à respecter un certain nombre de règles pour s'assurer du caractère objectif de ce qu'on étudie et surtout, de ce qu'on élabore à partir de cette étude. Notamment la défiance des préjugés et des idées « adventices » (à l'avance, non prouvées) et la non acceptation d'une idée avant qu'elle ne s'impose avec clarté et évidence à la raison. Comme base de méthode, Descartes préconise le doute (doute cartésien). Il faut douter de toute

discours de la méthode, paru en 1632. Dans cet ouvrage, l'auteur invite à respecter un certain nombre de règles pour s'assurer du caractère objectif de ce qu'on étudie et surtout, de ce qu'on élabore à partir de cette étude. Notamment la défiance des préjugés et des idées « adventices » (à l'avance, non prouvées) et la non acceptation d'une idée avant qu'elle ne s'impose avec clarté et évidence à la raison. Comme base de méthode, Descartes préconise le doute (doute cartésien). Il faut douter de toute

physiciens ont développé l’hypothèse de Mendeleïv et en sont arrivés à comparer l’espace à un ensemble limité de grains minuscules. D’une manière encore mystérieuse, ces corpuscules donneraient naissance aux particules matérielles. John Wheeler a dit : «Einstein, au-delà de son travail et de ses écrits, a maintenu une vision à long terme : il n’existe rien dans l’univers à l’exception de l’espace vide courbe. La géométrie courbe décrit d’une certaine manière la gravité. Soumise dans d’autres conditions à

s'ouvrent, la conscience s'assouplit, la margarine est un délicieux aliment, agréable, digeste, économique, utile en toute circonstance. On connaît la morale de la fin : « Vous voilà débarrassés d'un préjugé qui vous coûtait cher ! » C'est de la même façon que l'Ordre vous délivre de vos 44 Mythologies préjugés progressistes. L'Armée, valeur idéale ? C'est impensable ; voyez ses brimades, son caporalisme, l'aveuglement toujours possible de ses chefs. L'Eglise, infaillible ? Hélas, c'est bien douteux :

restait empirique et n’a pas explicité ses fondements. La prégnance de la pensée grecque dans le développement scientifique a conduit à un usage courant des termes grecs en science, technique et philosophie, comme mètre, graphe, photons, spectre, atome, et l’usage de décrire une science ou une discipline nouvelle par une association de mots grecs (biologie, spectrophotomètrie, biosphère, économie, etc…). Pour Pythagore, la science est en premier lieu une recherche des lois qui gouvernent le monde

discours de la méthode, paru en 1632. Dans cet ouvrage, l'auteur invite à respecter un certain nombre de règles pour s'assurer du caractère objectif de ce qu'on étudie et surtout, de ce qu'on élabore à partir de cette étude. Notamment la défiance des préjugés et des idées « adventices » (à l'avance, non prouvées) et la non acceptation d'une idée avant qu'elle ne s'impose avec clarté et évidence à la raison. Comme base de méthode, Descartes préconise le doute (doute cartésien). Il faut douter de toute

épouvantables, genoux picotés de rouge et découverts, pieds longs et en dedans, yeux caves, menton effilé. Prince de Ligne cité in POLIAKOV Léon : Histoire de l'antisémitisme, Calmann-Lévy, 1968, vol. 3, p. 60 15 5 20 10 La force des préjugés est si grande que je connais un personnage, certainement pas un sot, qui s'évertuait à me convaincre, contrairement à l'évidence de ses yeux et des miens (des miens, certainement), que chaque Juif a un œil notablement plus petit que l'autre : stupide