Ekphrasis

tout ce qui attire l’attention sur les formes nuit à sa compréhension » in Art Forum, été 1967 - toute une théorisation autour de la notion du cube et de la grille => processus de génération de la grille / description des nuances de grilles [ → ekphrasis (=>Théostrate, Eikones)] (►Rosalind Krauss, Grilles in « L’origine des avant-gardes et autres mythes ») ⇨ Le minimalisme marque la sortie du moderne dans le postmoderne 1. La prise en compte du contexte dans la présentation des œuvres

antiques, des bric à brac = gout des vieilles choses. cf La Vénus d'Isle. On est dans un cliché d'époque. La référence à cette pendule indique une certaine uchronie. A juste pour fonction de décorer. Une Horloge riche de son temps, presque une ekphrasis. Idée que le mouvement excellent n'est pas remonté depuis deux siècle : trait d'humour. Pour montrer que l'objet en lui même suggère le temps. La seule beauté de l'objet lui confère une sorte d'aura. La fauvette : nom de base, la Sylvie. Caractérisé

éclate soudainement. 6 – Étudier les relations entre organisation et fonction de la description p. 432 (ES/S et Techno) p. 552 (L/ES/S) A  Le passage présente la description d’une œuvre d’art dont le sujet est un paysage maritime : il s’agit d’une ekphrasis, comme le montre l’abondance des termes qui renvoient au lexique de l’art : « premier plan », « peintre », « perspective », « tableau », peutêtre aussi « impression » et « marine » ; le lexique de l’univers marin s’agence dans ce cadre. L’organisation

: venant ajouter une couleur supplémentaire à la palette déjà utilisée dans le texte : « vert », « brun » « gris », « rouge » et rappeler que le poète nous donne à voir une image très picturale de sa Vénus, faisant de son texte une ekphrasis (= description précise et détaillée qui évoque une œuvre d’art ). – L’ensemble de la description est ramassée par « le tout », pronom indéfini qui désigne péjorativement la femme comme un ensemble

« belle » avec « mortels » « eternels »  lien entre beauté et éternité Beauté transcendante Opposition entre « je » ( la beauté ») et « mortel » Saturation du discours avec l’anaphore « je » Ce poème met en scène la puissance de la beauté B. Une ekphrasis (description œuvre d’art) Comparaison dès le premier vers à une œuvre d’art « comme un rêve de pierre »  statue La beauté n’est pas quelque chose de vivant mais une œuvre d’art figée dans l’éternité Description de la beauté dans le deuxième quatrain :

spleen qui dans la vie antérieure nourrit une vision qui suffit à bercer, apaiser le poète par sa dimension idéalisante. Qu’est ce qui fait que ce sonnet est du côté de l’idéal : sa dimension esthétique, on peut le lire comme une « ekphrasis »  : figure de style qui consiste à décrire un tableau comme si c’était la réalité : d’une marine de Claude Le Lorrain (peintre de marines, lumières très chaudes qui évoquent ce paysage marin). Ce qui donne toute sa valeur de rêverie

Relevez les expressions mélioratives, notamment les adjectifs au superlatif, qui caractérisent le corps de la Vénus. S’agit-il d’une description objective ou d’une description subjective ? Cette description subjective emprunte au modèle antique de l’« ekphrasis » où la description tente de restituer la beauté d’une œuvre d’art. L’auteur exprime son admiration à travers de nombreuses formulations mélioratives et superlatives : « une merveilleuse beauté » (l. 302), « il est impossible de voir quelque chose

[exhibition, Athens, National gallery - Alexandros Soutzos museum, 22 December 2003 - 31 March 2004] / edited by Mina Gregori. Milano, Silvana, 2003. 583 p. Salle F – Art – [709.450 9024 GREG 6 i] Contient : Myths, gods, heroes. ancient models and ‘ekphrasis’, p. 318-355 Lécosse, Élisa Iconographie de la Renaissance italienne. Paris, Flammarion, 2004. 289 p. (Tout l'art. Encyclopédie) Salle F – Art – [709.450 9024 HALL i] Miziołek, Jerzy « The "Odyssey" cassone panels from the Lanckoroński collection

obligé à la refouler dans les profondeurs de son inconscient.   2. Le poème d'Eluard inspiré par le dessin est en général déprécié par les critiques, dans la mesure où il semble de prime abord se contenter de ce que l'antiquité grecque nommait une ekphrasis, c'est-à-dire la description d'une œuvre d'art, sans introduire les écarts auxquels la plupart des autres poèmes nous ont habitués. Jean-Charles Gateau écrit par exemple : « Pouvoir est l'un des rares poèmes où Eluard se tient dans l'immanence descriptive

motifs artistiques, comme le tableau de Carquethuit et les phrases “bergottesques”, et comme eux, il sont encastrés dans la chair du texte. C'est en effet, une autre forme de l'ekphrasis147, et qui se présente au lecteur comme matérialité148, une ekphrasis en images et avec des sons. Le narrateur fait le même trajet de transposition que pour la description d'un tableau d'Elstir, il décrit les ondulations acoustiques de la sonate en un autre langage, différent de nature mais qui, tout en traduisant